L’affaire touche désormais l’Allemagne, avec un premier cas avéré dans des lasagnes surgelées. Plusieurs carcasses de chevaux provenant d’abattoirs du Royaume-Uni et contenant des traces de phenylbutazone, un anti-douleur proscrit dans l’alimentation, ont été envoyées en France et sont “peut-être entrées dans la chaîne alimentaire”, ont annoncé jeudi 14 février les autorités britanniques.
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