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samedi 25 avril 2020

4 millions d’euros et 600 nouveaux drones : le gouvernement s’enfonce dans la Technopolice


Alors que nous alertions il y a peu [1] sur l’utilisation à grande échelle de drones par les services de police pour contrôler l’application du confinement, le gouvernement semble avoir apprécié le déploiement inédit de ses nouveaux gadgets de surveillance. Le 10 avril dernier, un appel d’offres a été publié par le Ministère de l’Intérieur portant sur l’acquisition de plus de 650 drones [2].
D’après les estimations disponibles [3], cela correspondrait à un doublement du nombre de drones actuellement disponibles pour les forces de police. Alors qu’une récession sans précédent nous est annoncée et que les ressources de notre système de santé sont exsangues, ce sont 4 millions d’euros qui seront dépensés par l’État pour mieux assurer le contrôle de sa population.
Le coeur de cette commande porte sur 565 «micro-drones du quotidien». Le nom même de ces derniers trahit la volonté politique de banaliser la surveillance aérienne et de l’inscrire dans la durée. Leurs capacités techniques laissent pourtant entrevoir leur potentiel liberticide. Ces drones doivent en effet pouvoir permettre le suivi d’un individu… sans être détectés. Il est en effet spécifiquement demandé que ces derniers permettent une « discrétion visuelle et sonore » tout en assurant une capacité de « reconnaissance humaine à une hauteur de vol de 100 m ». Un tel objectif de discrétion est d’ailleurs en totale violation de l’obligation d’information des personnes filmées dans l’espace public [4]
Par ailleurs, 66 « drones de capacité nationale » et 20 «nano-drones» seront aussi mobilisés. Les premiers doivent permettre de suivre une cible de manière autonome située à 500 mètres, tandis que les seconds pèseront moins de 50g et seront difficilement détectables.
L’ampleur de cette commande révèle l’importance donnée à la Technopolice par l’Etat dans sa doctrine sécuritaire – et le drone apparaît en être un des outils principaux. Il semble donc en être de ces machines volantes comme cela l’a été pour tout nouveau dispositif de surveillance. Après une phase d’utilisations exceptionnelles suivie d’une expérimentation à grande échelle (quoi de mieux qu’un confinement pour cela? [5]), l’Etat profite d’un vide juridique pour les déployer massivement.
[1] https://www.laquadrature.net/2020/04/01/covid-19-lattaque-des-drones/
[2] https://www.marches-publics.gouv.fr/app.php/consultation/562523?orgAcronyme=g6l
[3] https://www.liberation.fr/checknews/2020/04/15/pourquoi-le-ministere-de-l-interieur-vient-il-de-commander-des-drones_1785166
[4] https://www.cnil.fr/fr/la-videosurveillance-videoprotection-sur-la-voie-publique
[5]Le ministère de l’Intérieur assure toutefois que la commande n’a rien à voir avec l’actualité : «Cet appel d’offres est sans lien avec la situation sanitaire actuelle, l’expression de besoin et les spécifications techniques ayant été consolidées au cours du second semestre 2019.»
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lundi 28 octobre 2019

Chine tout est sous contrôle


Imaginez des citoyens constamment épiés par des milliers de caméras de surveillance et notés sur chacun de leurs faits et gestes. S’ils sont filmés en train de jeter un papier par terre ou de traverser au feu rouge, c’est une incivilité qui leur coûtera des points en moins





Plus ou moins de droits dans la société selon vos "bons" et "mauvais" points

Si au contraire, ils signalent à la police la présence d’un délinquant, ils seront récompensés par des points supplémentaires. Plus ils auront de points, plus ils auront de droits dans la société. Les plus mal notés eux se verront sanctionnés : interdiction d’obtenir un crédit à la banque ou de prendre le train, par exemple.

Tout ceci n’est pas un scénario de science-fiction mais la réalité du système de notation testé aujourd’hui dans des dizaines de villes en Chine. Notre envoyée spéciale Elise Menand s’est plongée au cœur de ce pays qui a décidé de ficher et classer ses habitants.

Un reportage d'Elise Menand, Antoine Védeilhé, Charlie Wang et Benoît Sauvage diffusé dans "Envoyé spécial" le 10 octobre 2019.

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mardi 26 mars 2019

Appel urgent à se réveiller la 5G est un danger pour le corps et la vie !

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Les soi-disant médias de qualité donnent un rapport enthousiaste sur la nouvelle génération de téléphonie mobile 5G. D’après eux, l'Allemagne serait « à la traîne » en termes de couverture de téléphonie mobile et, en tant que site économique important, elle aurait absolument besoin d'une couverture de téléphonie mobile homogène. D’après eux il ne devrait plus y avoir de zones blanches. La 5G devrait permettre une conduite autonome, elle nous avertirait automatiquement lorsque la bouteille de lait serait vide et elle serait existentielle pour notre avenir. Nous vous interpellons vivement aujourd’hui avec un appel urgent à se réveiller. Voici maintenant les dangers essentiels de la 5G : Sources / Liens : https://www.youtube.com/watch?v=BLGsW... (ARD-Tagesschau 26.11.18) https://www.zeitenschrift.com/artikel... https://www.epochtimes.de/gesundheit/... https://www.5gspaceappeal.org/ https://globalundergroundnews.de/the-... https://www.youtube.com/watch?v=jE4ua...

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jeudi 19 octobre 2017

“D’ici 20 ans, des implants d’intelligence artificielle seront injectés aux humains”


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D’ici 20 ans, des nano-machines dotées d’intelligence artificielle seront intégrées aux humains pour leur permettre de réparer mais aussi de perfectionner leurs muscles, leurs cellules et leurs os, estime John McNamara, chercheur britannique du IBM Hursley Innovation Center.

Récemment, McNamara a présenté ses preuves au Comité sur l’Intelligence Artificielle de la Chambre des Lords, organisme qui étudie les conséquences économiques, éthiques et sociales de l’intelligence artificielle

Selon McNamara, dans une vingtaine d’années, la technologie pourrait avoir tellement progressé que les humains et les machines aient fusionné, ce qui permettrait de réaliser des progrès importants sur le plan de la conscience et de la cognition humaines.
« Nous pourrions aboutir à des nano-machines dotées d’intelligence artificielle. Celles-ci nous fourniront des avantages médicaux énormes tels que la capacité de réparer les dommages des cellules, des muscles et des os et seront peut-être même capables de les développer. »
Via la technologie développée actuellement, nous observons la création d’une technologie qui se mêle à la biologie et qui peut être en mesure d’améliorer directement la capacité cognitive humaine, d’offrir des capacités mentales potentiellement améliorées et d’utiliser de vastes puissances de calcul pour augmenter nos systèmes de pensée, a encore ajouté John McNamara.
« Lorsque nous utiliserons cette technologie injectée dans nous-mêmes et au sein de notre environnement, nous commencerons à pouvoir contrôler notre milieu rien qu’avec notre pensée et nos gestes. »

Développements


Des scientifiques de sociétés comme Microsoft développent déjà un ordinateur conçu à partir d’ADN. Cette machine serait capable de vivre au sein de nos cellules et de dénicher les failles de nos réseaux corporels telles que le cancer. Elle serait en outre capable de redémarrer le système et de supprimer les cellules malades.
Cependant, McNamara met en garde contre les perturbations importantes que pourrait engendrer l’avènement de l’IA, principalement dans les secteurs du commerce du détail et des services. Nous pourrions aboutir à une période de chômage généralisé, présage-t-il.
« De nos jours, être pauvre revient à ne pas pouvoir se payer le dernier smartphone. Demain, la pauvreté pourrait reposer sur la différence existant entre un groupe de personnes au potentiel extraordinaire sur le plan physique, cognitif, sanitaire et de la durée de vie et un autre groupe de personnes qui en est dépourvu. »
« Le danger immédiat est qu’en déléguant les décisions et le contrôle aux machines, les humains commencent à considérer ces décisions comme correctes ou meilleures que leurs choix et cessent d’y faire attention », a déclaré Noel Sharkey, professeur d’intelligence artificielle et de robotique à l’Université de Sheffield.
Enfin, Miles Brundage et Allan Dafoe, scientifiques du Future of Humanity Institute de l’Université d’Oxford, ont averti que l’intelligence artificielle était susceptible de surpasser les performances humaines dans la plupart des domaines cognitifs. « Cela comporte des risques de sécurité importants », concluent-ils.



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express

TellMeMore Tv

Maitre Confucius

samedi 30 avril 2016

Une puce sous la peau pour entrer au stade


«Je te porte en moi», entonnent les fans de soccer argentins pour soutenir leurs équipes: la formule prend tout son sens alors que le club de Tigre propose désormais à ses abonnés de se faire implanter une puce pour entrer au stade.

Il s'agit du «Ticket passion», permettant de pénétrer dans l'enceinte sans pièce d'identité ni billet, explique aux journalistes Ezequiel Rocino, secrétaire général de Tigre et le premier à porter une telle puce, insérée dans son bras, sous un tatouage aux couleurs du club.

«Porter le club en soi, ce ne sera plus une simple métaphore», s'est réjoui sur Twitter le club de première division, installé à 30 kilomètres au nord de Buenos Aires.

«Grâce à une puce implantée dans le corps avec toutes les données concernant l'abonné, ce dernier pourra accéder au stade juste en approchant son corps du scanner à l'entrée», a indiqué le club.

«Ce dernier lira les informations de la puce et si l'abonné est à jour de ses cotisations, le tourniquet de sécurité s'ouvrira immédiatement pour le faire entrer», a-t-il précisé.

Au-delà de la passion du soccer, le système vise aussi à augmenter la sécurité et améliorer le paiement des cotisations par les abonnés, admettent ses promoteurs.

La puce «ne sera jamais obligatoire» car l'idée est «de ne pas faire quelque chose d'intrusif mais plutôt d'accélérer l'accès (au stade). Il n'y a pas de GPS, juste les données de l'abonné», selon Ezequiel Rocino.

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dimanche 17 avril 2016

Big Brother : 3 000 salariés de Sanofi équipés d'une puce RFID


© The Rundown Live
Depuis le début du mois d'avril, les 3 000 employés de Sanofi installés à Gentilly doivent porter en permanence sur eux une puce RFID, qui permet à l'entreprise de collecter des données anonymisées sur l'utilisation des locaux.

Depuis le 6 avril dernier, les 3 000 salariés de Sanofi installés sur le site flambant-neuf de Gentilly (Val-de-Marne) font désormais l'objet d'un suivi anonymisé de tous leurs déplacements dans les locaux, à travers l'utilisation d'une puce RFID. «  Insérées sur les porte-badges, celles-ci tracent le moindre mouvement : arrêt en salle de pause, déambulation dans les couloirs, passage au quatrième étage, pause pipi... », rapportait la semaine passé le magazine Liaisons Sociales.

Selon la direction de Sanofi, l'objectif de ce suivi est de « gérer de façon simplifiée l'occupation de l'espace, comme la disponibilité des salles de réunion, des bulles, les heures d'affluence aux restaurants d'entreprise ». Inaugurés en juin 2015, le campus de Gentilly dispose en effet de zones de travail sans bureaux attribués, en misant sur la mobilité des personnels pour décloisonner les équipes, au sein des open-space. Mais cette mobilité nouvelle censée encourager la créativité et la coopération demande une gestion nouvelle des espaces et de comprendre comment les salariés se déplacent, quels sont leurs besoins logistiques, etc.

Des puces installées sur le porte-badge une puce RFID

Confrontés à la présentation du projet, les syndicats ont réussi à obtenir que les puces RFID qui étaient destinées à l'origine à figurer sur les badges eux-mêmes soient finalement collées sur les porte-badge, qui changent facilement de main, et que les données soient donc anonymisées. Néanmoins le port du porte-badge reste obligatoire, et comme le souligne un délégué FO dans 20 Minutes, « même avec le porte-badge anonymisé, il est facile de faire un lien entre cette puce et celle du badge qui sont activées ensemble quand on passe les contrôles ». Le syndicat ne parviendrait pas, malgré ses demandes répétées, à obtenir une copie de l'autorisation de la Cnil prétendument délivrée à l'entreprise.

De plus, des caméras 360° sont installées partout, des couloirs jusqu'aux salles de détente, pour scruter en temps-réel l'utilisation des 51 000 mètres carrés du campus de Sanofi. Une surveillance qui accentue la pression sur les salariés, confrontés à un plan de suppression de 600 emplois.

Que dit la CNIL sur la géolocalisation des salariés ?

La géolocalisation des salariés à l'intérieur des bâtiments de l'entreprise est une pratique relativement nouvelle. La CNIL, jusqu'à présent, s'est surtout intéressée à la pratique, bien plus répandue, de la géolocalisation des commerciaux ou des livreurs, à travers les GPS intégrés aux véhicules, ou les données de leurs téléphones mobiles professionnels. En 2015, l'autorité administrative avait ainsi publié des lignes de conduite à destination des entreprises, en rappelant notamment que la géolocalisation ne peut pas être utilisée « pour contrôler un employé en permanence », ni « dans le véhicule d'un employé disposant d'une liberté dans l'organisation de ses déplacements ».

Par analogie, elle ne peut donc pas être employée non plus pour surveiller des employés libres de leurs déplacements à l'intérieur des bâtiments de l'entreprise. Mais ces limites ne valent que pour les données rattachées à un employé précis, et non à la collecte globale de données statistiques, comme Sanofi dit le faire sur Gentilly, ainsi que sur son site du Carteret à Lyon.
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Sott

samedi 5 mars 2016

La vérité peut vous faire peur en 2016


Traduction en francais sur youtube ensuite paramètre après sous-titres et  traduire automatiquement.

mercredi 2 septembre 2015

Malaisie : une puce RFID sur tous les véhicules en circulation pour un système qui pourrait bientôt arriver en Europe ?

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© Inconnu
La Malaisie souhaite généraliser d'ici 2018 l'installation d'une puce RFID sur tous les véhicules en circulation, pour permettre leur suivi. Un système qui pourrait arriver en Europe ? 

Selon un article du Sun Daily repris par Techdirt, la Malaisie aurait décidé d'imposer une puce RFID (Radio Frequency IDentification) active sur tous les véhicules qui seront sur les routes du pays d'ici 2018. Le système d'identification sans fil sera présent sur une vignette à coller sur le pare-brise, et pourra être suivi à la trace par les autorités malaisiennes, y compris à l'aide de satellites qui permettront de suivre le déplacement d'un véhicule en particulier. Un système antivol pourra prévenir la police si quelqu'un tente de décoller l'étiquette. 

"Ce nouveau système permettra à la police et aux autres autorités de suivre efficacement les délinquants", prévient le journal malaisien, qui pense que le système pourra aussi être utilisé pour facturer les déplacements sur les autoroutes en remplaçant toutes les cabines de péages par des lecteurs de puces RFID (exactement comme le système de télépéage proposé en France par les exploitants d'autoroutes). 

Parmi les autres utilisations envisagées figure le suivi des voitures volées, la lutte contre le clonage des plaques d'immatriculation, la surveillance du trafic routier, ou encore le contrôle de l'immigration par le suivi des véhicules étrangers qui passent la frontière. Ce sera d'ailleurs la première application, la vignette devant dans un premier temps être imposée à tous ceux qui se rendront dans l'État de Johor, avant d'être imposée en 2016 et en 2017 aux véhicules venant de Thaïlande, de Bruneï, et d'Indonésie, et d'être généralisée à tous les conducteurs du pays. 

Possible en Europe ? 

En revanche, le quotidien malaisien ne dit rien des préoccupations liées à la vie privée des propriétaires de voitures qui pourraient voir leurs mouvements espionnés, si ce n'est pour rappeler en conclusion que cette possibilité fait polémique dans d'autres pays comme la Belgique, l'Italie, la Grande-Bretagne, ou les Etats-Unis. 

Même si l'on est encore très loin du même système RFID, on rappellera qu'à partir du 1er octobre 2015, tous les véhicules construits en Europe doivent être équipés du système eCall, c'est-à-dire d'une carte SIM qui permet au véhicule de communiquer. Le système est conçu d'abord pour permettre l'appel des urgences en cas d'accident, mais "les possibilités de la plateforme technologique eCall (par exemple les modules de positionnement, de calcul et de communication) pourraient être exploitées pour des services additionnels", avait prévenu la Commission européenne. 

Le système de base obligatoire est toutefois "dormant" par défaut, c'est-à-dire qu'il n'est allumé qu'en cas de détection d'accident lors du déclenchement de l'airbag, et qu'il n'active donc pas en permanence les antennes-relais des opérateurs téléphoniques. C'est uniquement si le conducteur choisit d'activer des services complémentaires, par exemple pour permettre à son assureur de vérifier le nombre de kilomètres parcourus et le bon suivi des règles de sécurité routière, que le système se transformera de fait en traceur. 

Les Etats-Unis réfléchissent par ailleurs à la création de plaques d'immatriculation électroniques, qui exigeraient une communication à distance et donc la possibilité de suivre le véhicule à la trace.


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Sott

jeudi 27 août 2015

Windows 10, un système de surveillance globale?

On en a déjà parlé il y a très peu de temps, on en remet une couche, car lorsqu’il y a un danger, mieux vaut multiplier les informations que de prendre le risque que les personnes passent à côté. Windows10 gratuit, oui mais pendant 1 an, après, il faudra soit payer la licence, soit formater le pc et réinstaller une version ultérieure avec les difficultés en rapport, quand au respect de la vie privée, celui-ci serait très relatif…
Windows 10 récolte des informations sur les sites visités, aussi bienwindows-10-is-spying-on-every-user-but-theres-a-way-out que sur les achats effectués par les utilisateurs. De nombreux pays, dont la Russie, l’Allemagne et la Suisse, le soupçonnent d’espionner ses clients, et ont lancé une enquête pour savoir si ce système d’exploitation américain n’est pas un moyen de surveillance.
Malgré le fait que les paramètres du système sont bien transparents, il existe des détails qui ont attiré l’œil vigilant des services de protection des informations. Ainsi, l’Allemagne est en train de remettre en question la neutralité du système d’exploitation auprès de Microsoft Corporation, rapporte le journal Süddeutsche Zeitung. La date où Microsoft devra présenter ses explications à ce sujet est déjà fixée, selon le chef du service de protection de l’information allemand Thomas Kranig.
Windows 10 est disponible aux utilisateurs partout dans le monde depuis quatre semaines. Le nouveau système est déjà installé dans un ordinateur sur deux, selon les dernières estimations.
Pourtant, Windows 10 fournit non seulement des améliorations et modifications, mais collecte aussi des informations sur ses utilisateurs telles que le nom, le sexe, l’âge, les achats effectués en ligne et les sites visités. On ignore pour quelles raisons ces informations sont collectées et s’il est possible de l’éviter.
Quant à ceux qui ne voudraient pas conférer à Microsoft des droits étendus, on leur conseille de ne pas installer Windows 10, en acceptant tous les paramètres préétablis. On peut également renoncer à un compte Microsoft qui enregistre toute modification et tout document, mais dans ce cas, il faudrait aussi renoncer à certaines mises à jour.
Actuellement, la Suisse et la Russie, suivant l’exemple de l’Allemagne, essaient d’examiner l’activité de Microsoft. Leur objectif principal est de savoir quels types de données collecte Microsoft et dans quel but celles-ci seront utilisées, et si l’entreprise le fera avec l’accord de ces clients. Il est néanmoins possible que cette enquête ait des racines politiques et vise à protéger l’état de l’éventuel espionnage, observe Süddeutsche Zeitung.
Source: Sputniknews


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vendredi 19 juin 2015

Bientôt, la santé connectée à Big Brother

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© Inconnu
Bientôt, très bientôt, viendra le temps où votre pilulier connecté vous rappellera à l'ordre pour prendre vos comprimés. Mais il ne va pas se contenter d'une sonnerie. Vous ne pourrez pas foutre les pilules aux chiottes car elles seront dotées de puce nfc et d'un centre de contrôle. Donc si vous ne les bouffez pas, on vous enverra à domicile un type pour vous avertir que si vous continuez à ne pas ingurgiter les saloperies que l'on vous aura prescrites, votre couverture maladie sautera. Après le fonctionnaire humains viendront des cyborgs (robot). 

Des contrôleurs reliés à un smartphones feront le joint. Nous sommes encore relativement libre de négocier un traitement ou de ne pas l'ingurgiter mais bientôt vous n'aurez plus aucune droit à votre libre arbitre. Vous serez surveillé en permanence par des objets connectés et il va sans dire que tous les médecins devront appliquer les protocoles édictés par Big Pharma sous peine d'être radié. Alors quand vous voyez comment on traite l'hypothyroïdie et le cholestérol vous aurez intérêt à complètement sorti du "Système" et à développer des conduites de prévention. 

Évidemment, on vous présente ça comme avenir radieux de collaboration médecin-patient mais quand on voit comment la plupart des médecins louent des trucs élémentaires, il faut être d'un crédulité et d'une imbécilité sans borne pour se laisser prendre à ce bourrage de crâne. C'est une fois de plus du pur foutage de gueule ! 

Quand à l'implantation de puces, la vogue des implants-party qui arrive à Paris montre comment on compte contourner les réticences en jouant sur un aspect ludique. Notez que ce ne sont même pas des infirmiers qui injectent les puces, et comme part hasard ça ne se fait pas n'importe où mais entre le pouce et l'index, et si vous avez des notions d'acupuncture et de MTC, je vous garantis que vous allez littéralement sauter au plafond. Ne parlons pas des risques du à la maladresse. Notez que l'Ordre des Médecins ne moufte pas, ce qui ne devrait pas vous étonner outre mesure ! 

Bienvenue dans ce nouveau monde hyper carcéral de la "E-dinguerie" ! 

Si vous avez un peu de temps, écoutez la dernière émission de France Inter, Révolution médicale, c'est l'exemple type de conditionnement lénifiant qui évite soigneusement de vous faire peur ! Lénifiant car l'exemple du contrôle du glucose et la gestion électronique d'une pompe à l'insuline constitue le truc débile qui impressionne mais qui n'est nullement extensible à d'autres pathologies. Tout cela va dans le sens d'une mécanisation débile des examens cliniques qui sont devenus la partie la plus faible de la médecine actuelle. L'histoire du sous diagnostic de l'hypothyroïdie étant l'exemple le plus édifiant de l'appauvrissement actuel de la médecine ambiante... 


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Sott

jeudi 11 juin 2015

Le paiement biométrique... monnaie courante d'ici 2020



Payer au moyen d'une empreinte digitale, c'est possible aujourd'hui déjà. Mais s'il n'en tient qu'à Mastercard, le contrôle des paiements par la voix, le doigt ou le selfie deviendra tout à fait normal dans quelques années.

L'entreprise de cartes de crédit déploiera la prochaine génération de solutions d'authentification biométriques à partir de 2016. A l'horizon 2020, elle s'attend à ce que ces solutions soient absolument entrées dans les moeurs pour le contrôle des paiements.

"Il s'agira d'une réelle avancée pour les clients. Un balayage du doigt est quand même plus agréable qu'un login sur un petit écran", déclare Chris Kangas, senior business leader Contactless Payment Solutions chez Mastercard Europe. Et d'évoquer dans un premier temps la reconnaissance vocale, celle des empreintes digitales et du visage, mais cela ne s'arrêtera probablement pas là.

"Les essais vont bon train pour l'instant", affirme Kangas à Data News. "Et ce, tant chez les services de paiement propriétaires tels Apple Pay et Samsung Pay que chez les institutions de paiement générales. "Avec Apple, nous avons par exemple des contacts bien avancés en vue de déterminer si les empreintes digitales sont suffisamment sûres pour le paiement. La dernière chose que l'on souhaite lire dans la presse, c'est qu'un tel système a été piraté et que des consommateurs ont ainsi été spoliés."

Dans la pratique, ce genre de confirmation biométrique sera rarement le seul moyen utilisé. En coulisses, les entreprises de paiement examineront également les habitudes des clients. Quiconque commande tous les mardis un café dans une gare, ne devra même peut-être pas devoir confirmer pour pouvoir payer. Mais si une transaction s'effectue sur votre compte de paiement à partir d'un autre appareil ou en cas d'un montant anormalement élevé, il se peut qu'un scan ou un code pin soit encore requis.

Et ce, même s'il est possible qu'en Europe, l'on doive toujours conserver sous la main un code pin ou un mot de passe, simplement parce que la loi sur les paiements l'exige. C'est ainsi que les banques centrales européennes planchent actuellement sur des directives d'authentification des achats en ligne et mobiles. Elles décideront donc si (et pour quels types de paiement) nous devrons utiliser un code pin, un mot de passe ou une partie de notre corps.

Sources:
http://datanews.levif.be/ict/actualite/le-paiement-biometrique-monnaie-courante-d-ici-2020/article-normal-398435.html
http://www.biometricupdate.com/201506/biometrics-will-be-main-banking-identity-authorization-method-by-2020-says-report


Source trouver:
Conscience-du-peuple

mercredi 3 juin 2015

UNE NOUVELLE TECHNOLOGIE PERMET DE NUMÉRISER L'IRIS D'UN INDIVIDU À UNE DISTANCE DE 40 MÈTRES


Des chercheurs du Centre de biométrie de l'Université Carnegie-Mellon ont conçu un dispositif qui scan l'iris en vue d'identifier un individu et ce, jusqu'à une distance de 40 mètres

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jeudi 21 mai 2015

Des micro-puces RFID bientôt intégrées dans les médicaments !

PROTEUS – DES MÉDICAMENTS AVEC TRACEURS RFID INTÉGRÉS

Parmi les « start-ups » qui cartonnent en Californie, on nous parle toujours de Google, Facebook, Twitter, Snapchat… Mais personne ne parle de Proteus, pourtant valorisée à 1,2 milliard de dollars [1]. Pourquoi ce silence ? Parce que Proteus ne vous regarde pas. Ou plutôt, Proteusvous regarde de trop près.
Des puces électroniques microscopiques dans vos médicaments
Proteus Digital est une société qui a développé des puces électroniques de la taille d’un grain de sable et qui les met dans les médicaments sur ordonnance. Ces puces électroniques sont activées par les sucs gastriques de l’estomac. Elles transmettent alors un signal à votre médecin. Ce signal indique combien vous avez pris de médicaments, à quelle heure, avec quoi…
Officiellement, c’est « pour votre bien ».
Le but officiel est de vous aider à mieux vous soigner : en vous signalant que vous oubliez de prendre vos médicaments, en vous envoyant directement une nouvelle boîte lorsque vous terminez la dernière, en informant votre médecin de ce que vous avez fait depuis votre dernière consultation.
En allant plus loin, on pourrait même imaginer que l’ambulance vienne vous chercher directement lorsque les puces signaleront que vous avez pris au même moment deux médicaments incompatibles !
Système approuvé aux Etats-Unis
Cela fait déjà trois ans que le système de Proteus a été approuvé par les autorités de santé américaines [2]. Il est donc en train d’être déployé là-bas. Autant dire que ce n’est qu’une question de mois avant que cela n’arrive en Europe. Le problème est que le projet réel de Proteus va bien au-delà d’une préoccupation pour notre bien-être et notre santé.
Le pot-aux-roses a été dévoilé par un article qui vient de paraître dans le Wall Street JournalLe but réel de Proteus est de :
« résoudre un problème partagé par les médecins, les compagnies pharmaceutiques, et les assurances santé : les gens ne prennent pas toujours leurs médicaments, ce qui peut entraîner des résultats plus mauvais pour la santé, réduire les ventes de médicaments, et augmenter les dépenses de santé… pour prendre des parts de marché, le système Proteus doit prouver qu’il parvient à augmenter le rythme auquel les patients prennent leurs médicaments…[3] »
C’est cela, ni plus ni moins : un système qui vise à augmenter la consommation de médicaments. Si nous laissons faire, Big Brother saura bientôt quand chacune des pilules qui nous ont été prescrites atteindra notre estomac. Et il saura nous rappeler à l’ordre pour nous faire ingurgiter nos médicaments.
Je ne veux pas paraître pessimiste, mais…
« D’accord, mais cela ne va pas réduire mon libre-arbitre. Si je ne veux pas avaler le médicament, ce n’est pas la puce à l’intérieur qui y changera quoi que ce soit », m’a répondu un ami. J’espère qu’il a raison. Mais je me méfie.
Une fois que ce système sera généralisé, qu’est-ce qui empêchera les autorités de prévoir, toujours « pour notre bien », un système de bonus malus, avec sanction financière pour les « mauvais patients » qui ne prennent pas tous leurs médicaments ? Les autorités partent du principe que ce sont elles qui détiennent forcément la vérité médicale. Que les traitements qu’elles approuvent sont toujours les meilleurs pour la santé.
Celui qui pense autrement, celui qui ne se soigne pas comme on le lui demande, devient automatiquement à leurs yeux une sorte decoupable, qui fait exprès de rester malade. Pire, il impose un coût indu à la communauté. Il devient logique, moral même, de prendre des mesures contraignantes pour le faire rentrer dans le droit chemin. Ne serait-ce qu’au nom des économies budgétaires, de la « rationalisation financière » et de la « solidarité ».
J’espère me tromper, évidemment. J’espère que ces puces électroniques dans les médicaments ne serviront jamais à nous sanctionner parce que nous avons été de « mauvais patients » qui ont cherché à privilégier les produits naturels par rapport aux médicaments chimiques sur ordonnance.
Cependant, le Wall Street Journal signale que d’autres start-up sont sur la piste des médicaments mouchards :MeadWestvaco Corp et Express Scripts Holding Co et même Motorola [4]. Et cela ne me dit rien qui vaille.
Affaire à suivre, donc…
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mardi 12 mai 2015

Les ordinateurs sont à l'écoute: comment la NSA convertit les conversations parlées en texte pour être ensuite archivées

* La National Security Agency (NSA) construit d'énormes bâtiments pour abriter des ordinateurs ultrarapides

Pourquoi Edward Snowden cache son téléphone portable dans un réfrigérateur

Les agences de renseignement en France espionne les conversations téléphoniques, les activités sur les réseaux sociaux et les courriels


Selon des documents top secrets révélés par l'ancien employé de la CIA et de la NSA, Edward Snowden, la National Security Agency (NSA) peut reconnaître automatiquement le contenu des appels téléphoniques en créant des transcriptions approximatives et des représentations phonétiques qui peuvent être facilement recherchées et mémorisées.

Les documents rapportés par Snowden décrivent l'utilisation de mots-clés ainsi que de programmes informatiques conçus pour analyser et extraire le contenu de conversations vocales et même, d'algorithmes sophistiqués pour cerner des conversations d'intérêt.

Des exemples évidents sont contenus dans les documents concernant l'utilisation de la reconnaissance vocale en zone de guerre, mais ils ne donnent pas de détails sur comment vaste est la capacité d'espionnage de la NSA sur des citoyens américains. Toutefois, avec le progrès de la reconnaissance automatique de la voix, la NSA est entrée dans l'ère de l'écoute en vrac.

Un autre dénonciateur et ex-employé de la NSA, Thomas Drake, spécialisé dans le traitement de la voix, a déclaré qu'il a vu une poussée énorme de l'espionnage des communications verbales après les attentats du 11 septembre 2001 [thèse-antithèse-synthèse!].

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