Des fonctionnaires de l'organisation américaine de planification familiale "Planned Parenthood", qui prône l'avortement, et de l'industrie de l'avortement disent clairement devant une caméra cachée que des organes "frais" de bébés avortés, dont les yeux, le coeur et des testicules, sont vendus sur le marché noir
Pour le "Planned Parenthood" les fœtus ne sont pas humain,
mais leurs parties du corps le sont...
mais leurs parties du corps le sont...
Les fonctionnaires, en partie payés par le gouvernement, interrogés par l'homme qui tient une caméra cachée révèlent qu'il n'y a aucune loi qui encadre l'industrie de l'avortement, aucune ligne directrice, que des parties de corps et de tissus de bébés avortés sont échangés contre de l'argent et que ceux-ci sont toujours "frais". Sont nommés les tissus cardiaques, les neurones, les yeux et les testicules. La PDG de l'organisation admet qu'ils reçoivent 60.00$ pour un échantillon de tissu et que leur contrat avec StemEpress prévoit un prix pour chaque fœtus. [une responsable impliquée dans le trafic de bébés avortés a dit devant une caméra cachée, il y a quelques semaines, que plus le fœtus est âgé et plus il est payé cher].
Malgré le fait qu'une loi fédérale interdit le trafic d'organes, une des responsables de l'administration du "Planned Parenthood" dit que l'échange d'argent contre des parties de bébés avortés est une échange valable et que jamais elle acceptera de se laisser intimider par des lois ridicules.
Les propos de la directrice des services médicaux, Déborah Nucatola, ont créé une onde de choc et depuis, l'organisation est sous enquête pour trafic d'organes.
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