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dimanche 5 octobre 2014

D'après un document déclassifié de l'armée américaine, le nano-argent peut neutraliser le virus Ebola


Cet article est probablement le plus important que j'ai pu rédiger jusqu'ici sur Ebola. Non seulement parce qu'il montre sans équivoque que les américains ne veulent pas que cette épidémie s'arrête, bien au contraire, mais aussi car il peut, je l'espère, sauver des vies.

On nous a menti depuis le départ en affirmant que le virus Ebola ne disposait d'aucun traitement alors qu'un sérum existe depuis près de 40 ans, mais des solutions économiques et efficaces qui valent le coup d'être essayées comme le chlorure de magnésium ou la vitamine C (intraveineuse, éventuellement liposomale) ne sont pas proposées par les autorités de santé préférant des traitements expérimentaux hasardeux et non testés. 

Cette présentation déclassifiée produite par l'agence de réduction des menaces (DTRA) du ministère de la défense des Etats-Unis (DOD) et le Centre de lutte contre les armes de destruction massive de l'US Strategic Command (USSTRATCOM) démontre aujourd'hui que le nano-argent peut neutraliser le virus Ebola.


Il démontre les effets neutralisants puissants des nanoparticules d'argent contre les virus de la fièvre hémorragique, y compris arénavirus et les filovirus (c'est à dire, le virus Ebola). L'une des principales tâches de la "Defense Threat Reduction Agency" du DOD est d'"anticiper et atténuer les menaces futures longtemps avant qu'elles aient une chance de nuire aux États-Unis et à nos alliés." La présentation a été faite par des chercheurs de la Direction en biotechnologie appliquée, "711e Human performance Wing" de l'Air Force Research Laboratory.

 Les chercheurs ont conclu que in vitro, les nanoparticules d'argent neutralisent les virus de fièvres hémorragiques à l'intérieur des cellules en diminuant l'expression des gènes du segment S et en diminuant de façon concomitante la production de virus de descendance. Ils notent que la neutralisation virale se produit au cours des premières phases de la réplication virale, le traitement des nanoparticules d'argent devrait ainsi être administré avant l'infection virale ou dans les premières deux à quatre heures après l'exposition au virus initial.



Cette étude parle d'expériences in vitro dans les premiers stades de contagion. Nous ne savons cependant pas avec certitude si le nano-argent est efficace in vivo et plusieurs jours après la contagion mais ce sont tout de même des résultats très encourageants.

Nous aurions pu en avoir le cœur net mais les autorités ont refusé non seulement d'utiliser, mais carrément d'autoriser l'arrivée d'un colis de 200 bouteilles de nano-silver fourni par le Dr Rima E. Laibow de la Natural Solutions Foundations pour aider les patients de Sierra Leone alors que le président Koroma avait expressément accepté d'essayer le traitement au mois d’Août. Cela montre une fois encore que les américains ne sont pas là bas pour aider, ils sont là pour contrôler le processus de diffusion du virus et veiller à garder la situation sous leur contrôle total car cette souche est utilisée comme une arme biologique. Dès lors, cela serait mal venu qu'une solution d'argent non brevetable pour les labos vienne entacher le business vaccinal à venir.

 Le fait qu'ils viennent prêter main forte sur place leur permet également de se donner bonne presse à domicile comme à l'internationale. Qui pourrait croire à première vue que ceux qui ont provoqué cette épidémie seraient les premiers à venir aider sur place? Pourtant, cette stratégie de diversion par l'humanitaire a montré son efficacité dans le passé: pourquoi changer un plan qui a fait ses preuves?

Venons-en à la partie la plus pénible à entendre:

Le virus Ebola est non seulement aéroporté mais sera plus virulent dans un climat froid

Nous avions déjà vu que de fortes suspicions de la nature aéroportée de ce virus avaient été signalées pendant plusieurs années sur le site web de santé Canada qui l'a censuré peu après que l'alerte ait été donnée cette année. Le CDC a également récemment admis qu'être à un mètre ou même dans la même pièce qu'un patient constitue un risque. Cette fois, le docteur Rima E. Laibow a consulté la littérature médicale de l'USAMRIID et elle confirme que le virus est déjà aéroporté. Les informations qu'elle donne sont capitales:


"Ebola et les virus semblables sont plus transmissibles par la transmission aérienne dans des environnements non-tropicaux, c'est pourquoi le nombre de transmission de ce type en l'automne et en hiver dans l'hémisphère Nord rendra la pandémie plus probable et, qu'elle devrait prendre racine ici. Ebola sera plus contagieux, pas moins."

" Les scientifiques nous disent que, dans les tropiques, le virus Ebola se dessèche par la chaleur, est endommagé par l'humidité et stérilisé par le soleil.

Dans les climats froids, écrivent-ils, son profil de transmission par aérosol sera comme celui de la grippe aviaire, une maladie qui se propage par des gouttelettes provoquées par la toux, les éternuements ou le fait de parler."

"L'exposition à une faible dose de quelques particules virales était au moins aussi dangereuse que l'exposition à une forte dose donc 50 unités virales dans l'air causaient la maladie de façon encore plus efficace que 500 unités virales."

"La grippe, même la plus virulente et la plus mortelle, ne peut infecter que les tissus respiratoires, c'est à dire les poumons. Mais Ebola peut infecter tous les types de cellules dans le corps, ce qui explique le fait que toucher des sécrétions contaminées peut transmettre la maladie, même si vous ne mettez pas vos mains dans votre bouche, par exemple. Et d'après ces études et d'autres que j'ai lu, il est clair que le virus est si robuste que même s'il est lyophilisé, il persiste dans l'environnement et est encore capable d'infecter quelqu'un.

Donc, par temps froid, il est aussi facilement propagé par des gouttelettes que la grippe et il persiste dans l'air et sur ​​les surfaces.


Source trouver:
Fawkes

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