C’est paru le 14 août dernier, et cela me semble important d’en parler. Un schéma, surtout, à attiré mon regard dans l’article. Il concerne le fameux bâtiment 7 qui s’était effondré après les deux tours du WTC. Encore un article complotiste, allez-vous me dire ? Oui, mais avouez qu’aucun site n’a repris l’article à ce jour ici en France, où on a déjà oublié beaucoup de choses : complote qui veut, et dans un sens, ça complote depuis longtemps maintenant pour démontrer que ses effondrements ont bien été "normaux" et provoqués par des jiadistes armés de couteaux en plastique seulement. L’article est donc ici, et je vous le découvrir avant d’y apporter quelques compléments qui me semblent nécessaires. Treize ans après, on n’a toujours pas de réponse à la question de l’effondrement sans raison claire de ce fameux immeuble N°7, qui est bien la clé fondamentale du problème depuis toujours. Car si c’est effectivement une démolition contrôlée, ce qui pour moi est évident, il convient en effet de se poser des questions sur ses deux voisins immédiats plus imposants… plus "réussis" encore, si je puis me permettre… Jamais trois sans un, pourrait-on dire (ou quatre, avec le Pentagone) ?
Comme rien n’a abouti en treize ans, un jeune homme décidé a eu l’idée de prendre le problème par un autre bout. Celui de se poser la question de comment des bâtiments ont pu s’effondrer à New-York ces dernières années (il y en a eu un récemment (en mars dernier), suite à une explosion de gaz, voir l’image ci-dessous), ce qui aboutirait invariablement à évoquer la chute du bâtiment N°7… les deux immeubles du WTC ne faisant pas partie de l’enquête, puisqu’a été définie officiellement la raison de leur effondrement : les deux Boeings entrés dedans (je n’expose pas ici la réfutation de ces deux engins comme seuls responsables, ça prendrait trop de temps et ça a été assez traité il me semble, ici comme ailleurs). C’est habilement contourner le silence pesant qui entoure les événements, en effet, comme démarche, et elle risque bien d’aboutir, celle-là.
Voici donc de nouveaux critiques de la théorie officielle : "un petit groupe, le NYC Coalition for Accountability Now (NYC CAN), fonctionne en grande partie grâce à un jeune homme nommé Ted Walter, qui a mis au point une solution : amener le public à légiférer sur une enquête formelle sur l’effondrement" (de l’immeuble 7). "Notant qu’aucun gratte-ciel ne s’est jamais effondré à la suite de l’incendie, et constatant que la position officielle sur la destruction du bâtiment 7 ne peut pas être expliqué définitivement, le groupe de Walter a proposé à la ville d’explorer tous les bâtiments qui se sont effondrés depuis, y compris ceux du 11 septembre 2001. L’enquête proposée exclut ostensiblement les bâtiments 1 et 2, des effondrements qui ont été beaucoup étudiés et débattus. Il ne mentionne pas explicitement le bâtiment 7, mais il n’a pas à le faire. Le bâtiment 7 est en effet unique en ce qu’il n’a pas été frappé par un avion. Toute enquête sérieuse sur l’effondrement des bâtiments devrait donc commencer par le bâtiment 7. Le principe est de chercher à obtenir des New-Yorkais un vote sur une mesure de scrutin, sur une initiative de sécurité de grande ampleur. Ses partisans font face à un défi difficile à tenir, et se sont déjà heurtés à certains barrages conséquents. Pourtant, ils persévèrent". C’est bien prendre le problème sous un nouvel angle qui est souhaité, voilà qui est original et qui pourrait s’avérer fort efficace en effet. En jouant sur le thème de la "sécurité" des bâtiments, l’organisation touche une fibre sensible des New-Yorkais, marqués par l’effondrement récent. Un fait rare dans la cité, malgré la vétusté connue du réseau, sans parler du réseau électrique vétuste qui effraie vite le premier visiteur occidental visitant les Etats-Unis, avec les poteaux de bois apparents aux carrefours, les poteaux haute-tension vieillis et les câbles baladeurs en travers des routes, même si à New-York on les enterre depuis pas mal de temps (en créant un réseau inextricable et ingérable, fait de rajours et de raccords perpétuels). Les USA perdent chaque année 6% au minimum de l’énergie produite en raison de cette vétusté !
Treize ans après, l’étude sur le 11 septembre réclame un regard neuf, et le jeune Ted Walter peut en représenter un : il avait en effet 19 ans seulement au moment des faits, et venait juste de débarquer à New-York (ici en photo avec Bob McIlvaine et leurs 67 192 signatures sur leur pétition !). ! "Ted Walter ne correspond pas à la caricature du militant mal rasé, grincheux, criant. Il est réfléchi et calme précise un ami. Il a grandi dans le Wisconsin et le Mozambique, où son père était un fonctionnaire d’un groupe d’aide privée, a obtenu un baccalauréat ès arts à l’Université de New York et une maîtrise en politique publique à l’Université de Berkeley, et a ensuite travaillé pour le Conseil de surveillance de San Francisco. Il est arrivé du Mozambique à New York à 19 ans, au moment d’entrer au collège (là-bas un établissement d’études supérieures !), deux semaines avant les attaques. Le "9/11 était essentiellement mon introduction à New York," dit-il. La première chose qui l’a frappé lui était de se demander pourquoi, si longtemps après que les premiers avions ont frappé le World Trade Center, un autre avion est allé sans en être empêché frapper le Pentagone. Où étaient les défenses américaines tant vantées ? Il a aussi trouvé étrange que l’effondrement d’un bâtiment impliquerait des structures entières a presque se vaporiser dans l’air. Ce n’est pas avant le printemps 2006 que Walter a commencé à rechercher résolument sur les événements. "Au cours des quelques mois où j’ai lu tout ce que j’ai pu trouver, je suis venu à la conclusion que le récit officiel sur le 11 septembre était faux, » dit-il. Redécouvrant ce que d’aucuns avaient pressenti (personnellement ce ne sera pas avant 2004, car j’étais auparavant un partisan de la thèse classique, je l’avoue !).
C’est un point de vue nouveau sur la question et qui évite le gros écueil de la remise en cause globale du 11 septembre, ce qu’aucun New-Yorkais ne pourrait accepter. "L’exclusion des tours (du WTC) de l’enquête peut sembler une concession majeure, mais elle peut effectivement être la partie plus adroite de ce plan. En laissant les tours jumelles, un certain nombre de griefs que les électeurs peut avoir à la réouverture de l’enquête sur le 9/11 peut être évitée. A l’évidence, des gens de l’opposition pourraient soulever à propos des tours serait que les deux ont été frappées par les avions, et donc que ces dernières révéleraient peu de la sécurité des bâtiments classiques. Il serait également difficile de mener une enquête frauduleuse sur le bâtiment 7, car cette destruction du bâtiment ressemble tellement à une démolition contrôlée". Car, adroitement encore, le NYC CAN prend le fameux rapport controversé du NIST au mot, celui qui a rendu responsable de l’effondrement au seul incendie :survenu à des étages intermédiaires : "le rapport sur le bâtiment 7 par l’Institut National des Standards et de la Technologie (NIST) a attribué la destruction de l’immeuble à un "phénomène nouveau" – une dilatation thermique conduisant à un effondrement progressif suite à un incendie. Comme Massimo Mazzucco souligne dans son nouveau film sur le "11 Septembre : Le Nouveau Pearl Harbor", ce nouveau phénomène, si il était vrai, aurait nécessité la réécriture des codes du bâtiment partout dans le monde, car tous les gratte-ciel pourraient être vulnérables aux effondrements en cas d’incendie. Mais depuis, bien sûr, il n’y a pas eu de tels changements de la façon dont les gratte-ciel sont construits. C’est là où la notion de la « sécurité » ne fait qu’ajouter au succès possible de cette initiative" . Et effectivement, en juillet dernier, le groupe avait explosé le nombre de signatures requises pour qu’une pétition soit prise en compte à New-York : 67 000 pétitions soit 30 000 de plus que nécessaire !
Il est vrai qu’il a bien été embarrassé, le NIST, pour "expliquer" à sa façon l’effondrement du N°7. Surtout comment ses 185 mètres et ses 47 étages se sont effondrés en 6,5 secondes, à savoir… en chute libre pratiquement.
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