Rechercher dans ce blog

lundi 19 mai 2014

Mon bébé est mort après ses premiers vaccins de 2 mois témoignage

Mon bébé est mort après ses premiers vaccins de 2 mois
Alicia LeAnn Bohn,  11 avril 2014 
  
Voici mon petit garçon Gunner Wayne. Il est né le 14 janvier 2014. Il est mort moins de 18 heures après avoir reçu la série de vaccins qu’il devait recevoir à huit semaines : 
  
HIB (Pedvaxhib) 
  
PEDIARIX (DTCa – HEP.B – POLIO inj.) 
  
PREVNAR 
  
ROTATEQ 3 
  
Les médecins examinateurs ont parlé de la “mort subite du nourrisson”, mais je connais la vérité et je ne vais pas m’arrêter jusqu’à ce que je découvre toute la vérité ! Quand j’ai demandé au médecin qui a examiné l’enfant si sa mort pouvait avoir un rapport avec les vaccins, il m’a répondu : «  je ne peux pas parler de cela ». Cette réponse m’a renvoyée à ma propre intuition. - Je voudrais presser les parents et les futurs parents de faire leur propre recherche avant qu’ils n’acceptent que l’on injecte à leur enfant toute une série de produits meurtriers. Personnellement, je donnerais tout ce que j’ai pour pouvoir retrouver mon petit garçon !! DE GRACE, FAITES VOS RECHERCHES AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD !!!! 
  
Alicia Le Ann Bohn 
  
Source : Vaccinationnetwork 



L’histoire de la petite Adaline avec les vaccins

  
Par Erwin Alber, 16 janvier 2014 
  
Sweet-Adaline-seringue.jpg
   
Une maman veut partager son histoire. Elle écrit : 
  
« Je maudis les vaccins après avoir mis mon bébé dans son berceau. Tout ce que je pouvais faire n’était que pleurer. La prochaine fois que quelqu’un vous dira « les vaccins sont sans danger », «  les dommages sont rares », «  les anti-vaccins sont fous », je voudrais vous demander de partager mon histoire avec ces personnes. Parce que les souffrances sont malheureusement bien réelles. 
  
J’ai hésité à publier la photo de ma petite fille (ci-dessous), mais j’ai finalement pensé que je devais le faire parce que je veux que tout le monde sache par quelles situations il nous a fallu passer avec les vaccins en lesquels j’ai cru. Je ne pouvais pas arrêter de pleurer en voyant que mon bébé pleurait lui aussi alors que je lui caressais la tête en priant. Je suis sûre  qu’elle finira par en sortir, mais continuer à attendre que sa situation s’améliore est, d’heure en heure, plus difficile. Après qu’elle fut intubée, j’ai dû sortir. J’aurais préféré pouvoir prendre sa place. Elle n’est qu’un bébé qui ne comprend pas. » 
  
adaline-respirateur.jpg La petite Adaline en détresse respiratoire à l'hôpital 
  
L’histoire de notre merveilleuse petite Adaline   
« Adaline était un bébé heureux quand elle est née le 7 mai 2013. A deux mois, elle a reçu ses vaccins de routine comme tout le monde et nous ne nous sommes pas posé la moindre question. La nuit suivante, la santé d’Adaline s’est aggravée et n’a fait qu’empirer dans la suite. Elle a commencé par souffrir des effets indésirables suivants : enflure, rougeurs, irritabilité, somnolence, étourdissements, nausées et vomissements. Cinq jours plus tard, elle était léthargique et vomissait des caillots de sang. Nous l’avons emmenée aux urgences où ils ont vu qu’elle souffrait d’un grave reflux et de déshydratation. Elle y est restée quelques jours, puis on l’a ramenée à la maison. A partir de ce moment, notre petit ange n’a plus jamais été la même
  
On nous a dit que ces réactions au vaccin étaient normales et qu’il était prudent de lui administrer la seconde série de vaccins prévus pour les 4 moisC’est ainsi qu’à 4 mois Adaline a reçu sa nouvelle série de vaccins. Cette fois, elle est tombée malade beaucoup plus rapidement. Elle a fait de graves convulsions, a souffert de terribles vomissements, des caillots de sang se sont formés et tout son corps était enflé. Elle a perdu un demi kilo cette semaine-là. Comme elle était à peine réceptive, elle fut emmenée à l’hôpital texan des enfants. Elle y fut admise pour un séjour de quelques semaines pour y faire de nombreux tests. Nous avons découvert que son cœur qui était parfaitement normal souffrait maintenant de régurgitation tricuspidienne, qu’une valvule était endommagée et devait probablement être remplacée. Nous avons aussi appris qu’elle souffrait de gonflements internes dans tout le corps. Comme elle ne savait plus manger, on a dû lui mettre une sonde gastrique. Elle a aussi été mise sous moniteur d’apnée et moniteur cardiaque pour vérifier l’état du cœur et des poumons. On lui a aussi administré plusieurs médicaments pour que tout soit sous contrôle. A l’âge de 4 mois, elle a subi sa première intervention chirurgicale. Mon cœur était brisé de la voir souffrir. On m’a dit qu’elle souffrait de tas de choses horribles. Mais heureusement, elle a récupéré de la plupart de ces problèmes. Elle a finalement pu rentrer à la maison avec une sonde gastrique, un moniteur d’apnée et quelques médicaments pour le cœur, ses vomissements et sa mobilité
  
Depuis, elle a encore dû passer quelques séjours à l’hôpital et devra encore y retourner. 
  
Je ne savais rien des dangers des vaccinations. Les « risques » qui sont repris sur les notices n’avaient rien à voir avec ce qu’a vécu ma petite fille. Ces vaccins ne devaient lui faire aucun mal ; ils étaient, en outre sensés la protéger. 
  
Nous voulons plaider, prendre la défense des enfants dont la santé a été endommagée par les vaccins, les enfants qui ont eu des problèmes cardiaques, les enfants auxquels on a dû placer des sondes gastriques, les enfants qui souffrent comme Adaline. Je veux espérer que les jeunes parents prendront le temps de faire leur propre recherche sur les vaccins et les médicaments que l’on administre à leurs enfants innocents
  
Source: Vaccinationinformationnetwork 
  
Il nous paraît important de rappeler ici qu’un document confidentiel de la firme GSK sur son vaccin Infanrix hexa (que nous avons publié sur ce site) liste plus de 800 effets secondaires possibles, pouvant affecter tous les systèmes du corps, y compris le cœur et les poumons avec des effets secondaires comparables à ceux décrits par la famille d’Adaline ! Autisme, diabète, épilepsie, mort subite, hépatite etc complètent le triste palmarès de cette liste de drames pouvant découler d’une telle vaccination… 
  
Par ailleurs, un autre élément qui doit faire couper court à tout déni malvenu et non éthique du corps médical entre la vaccination et ce type de désastre est la notion importante de « rechallenge » qui est une notion cruciale en pharmacovigilance. De quoi s’agit-il exactement ? Le rechallenge, c’est la répétition, la ré-occurrence d’une série d’effets secondaires après la ré-administration d’un ou des produits qu’on suspectait d’avoir déjà pu déclencher la première série initiale d’effets secondaires. C’est un indice fort supplémentaire qui plaide en faveur d’un lien de cause à effet entre le ou les médicaments (ou vaccins) et les troubles constatés.
  
La médecine peut-être dangereuse et même mortelle dans son entêtement coupable, ses idéologies et son dogmatisme. Ce triste cas en est un exemple parmi tant d’autres et malheureusement, cela ne se passe pas qu’aux Etats-Unis mais en Belgique aussi où des enfants ayant déjà mal réagi à des vaccins sont expulsés de crèches en cas de certificats médicaux de contre-indication, au motif que les parents n’avaient qu’à accepter de revacciner malgré tout leurs enfants, mais en milieu hospitalier ! 
  
Le dogme vaccinal est d’une violence inouïe, il faut revacciner, quitte à ce que cela entraîne la mort ou des séquelles irréversibles, il faut revacciner jusqu’à ce que les parents osent enfin s’élever de façon infranchissable contre toute nouvelle ré-administration de vaccins. C’est ce qui s’est notamment passé avec les parents de la petite Stacy, décédée en 2011 une semaine seulement après ses 3 premiers vaccins réalisés à l’ONE, alors que la petite était déjà enrhumée. Des travailleurs de l’ONE étaient venus encore jusqu’au domicile des parents peu après le décès pour essayer de les influencer afin qu’ils continuent d’administrer les vaccins à la petite Leslie, la jumelle survivante de Stacy, malgré qu’elle avait elle aussi manifesté des effets secondaires graves comme des apnées qui auraient pu la tuer mais que l’équipe de l’ONE avait été entraînée à minimiser. 
  
Fait intéressant (on verra si cela se vérifie dans les faits avec des parents de plus en plus harcelés par cette tyrannie vaccinale in-dé-fen-da-ble !!), le site officiel de la Communauté Française en matière de vaccins – qui continue cependant d’afficher fièrement comme bannière des images de sa pub vaccinalereconnue comme trompeuse par le Jury d’Ethique Publicitaire en 2011 - mentionne désormais… pour se couvrir ( ?) ce qui suit : 
  
« Comme pour tout vaccin, si un effet secondaire important survient après l’administration d’une dose, il constitue une contre-indication formelle à la poursuite de ce vaccin. » 
  
On notera « à CE vaccin »… ben oui, vous ou votre enfant réagirez peut-être mieux à un autre vaccin qui comportera par exemple un petit peu plus de formaldéhyde et moins d’alu et de mercure ou vice-versa, ces gens-là ont toujours en tête le reste du château de cartes des autres vaccins quand ils se trouvent confrontés à des victimes (de plus en plus nombreuses) qui menacent toujours plus le reste de cet édifice et en définitive, de leur idéologie anti-scientifique !

Source trouver:

1 commentaire: