26 février 1993.
Le World Trade Center est secoué par une explosion.
Il a été établi que le FBI avait organisé l’attaque du World Trade Center en 1993.
Le World Trade Center est secoué par une explosion.
Il a été établi que le FBI avait organisé l’attaque du World Trade Center en 1993.
Pour un montant d’un million de dollars, ils avaient engagé un officier de l’armée égyptienne de 43 ans à la retraite, du nom d’Ahmad Salem, et l’avaient fourni, lui et son équipe, en explosifs et en détonateur.
Mais Ahmad Salem pensait qu’il s’agissait de faire exploser quelques bombes sans conséquence.
Paniqué, il a téléphoné au directeur du FBI à New York et a enregistré sur bande sonore l’ordre lui enjoignant de continuer.
Cette bande se trouve aux Archives Nationales.
Le FBI a admis les faits.
Les medias américains en ont un peu parlé.
Mais Ahmad Salem pensait qu’il s’agissait de faire exploser quelques bombes sans conséquence.
Paniqué, il a téléphoné au directeur du FBI à New York et a enregistré sur bande sonore l’ordre lui enjoignant de continuer.
Cette bande se trouve aux Archives Nationales.
Le FBI a admis les faits.
Les medias américains en ont un peu parlé.
Source : http://nemesistv.info/video/1KY3SB5RBSKD/l-attentat-du-wtc-en-1993-et-la-responsabilite-du-fbi#
26 février 1993.
Le World Trade Center est secoué par une explosion.
Il a été établi que le FBI avait organisé l’attaque du World Trade Center en 1993. Pour un montant d’un million de dollars, ils avaient engagé un officier de l’armée égyptienne de 43 ans à la retraite, du nom d’Ahmad Salem, et l’avaient fourni, lui et son équipe, en explosifs et en détonateur.
Mais Ahmad Salem pensait qu’il s’agissait de faire exploser quelques bombes sans conséquence.
Paniqué, il a téléphoné au directeur du FBI à New York et a enregistré sur bande sonore l’ordre lui enjoignant de continuer.
Cette bande se trouve aux Archives Nationales.
Le FBI a admis les faits.
Les medias américains en ont un peu parlé.
http://forum.reopen911.info/p160852-22-09-2008-23-55-51.html
Le World Trade Center est secoué par une explosion.
Il a été établi que le FBI avait organisé l’attaque du World Trade Center en 1993. Pour un montant d’un million de dollars, ils avaient engagé un officier de l’armée égyptienne de 43 ans à la retraite, du nom d’Ahmad Salem, et l’avaient fourni, lui et son équipe, en explosifs et en détonateur.
Mais Ahmad Salem pensait qu’il s’agissait de faire exploser quelques bombes sans conséquence.
Paniqué, il a téléphoné au directeur du FBI à New York et a enregistré sur bande sonore l’ordre lui enjoignant de continuer.
Cette bande se trouve aux Archives Nationales.
Le FBI a admis les faits.
Les medias américains en ont un peu parlé.
http://forum.reopen911.info/p160852-22-09-2008-23-55-51.html
Article de William Reymond
http://www.williamreymond.com/911.htm
6 février 1993. Le World Trade Center est secoué par une explosion. Aujourd’hui, il est impossible de ne pas y voir une tragique répétition des événements du 11 septembre. Mais c’est pour une toute autre raison qu’il faut revenir sur le premier attentat contre les Twins Towers. En 1993, le FBI avait une taupe au sein de l’équipe des terroristes. Un informateur si proche du sommet du réseau que le Bureau à pu suivre la fabrication de la bombe. Mais, paralysés par une lourdeur administrative et la peur du risque, les agents du FBI n’ont pas réussi à stopper une opération dont ils connaissaient l’objectif en avance.
Alors que l’Amérique s’étonne de l’échec de ses services de renseignements à prévenir le 11 septembre, elle ignore les véritables raisons d’une autre faillite : l’attentat contre le World Trade Center du 26 février 1993. La première incursion des terroristes d’Al Quaeda sur le territoire américain fait six victimes, plus d’un millier de blessés et un demi-milliard de dollars de dégâts. Oussama Ben Laden avait rêvé d’un bilan plus lourd, espérant faire chuter au moins un tour. Il attendra huit ans pour voir dans toute son horreur sa vision se réaliser.
Quelques semaines après l’attentat, les agents du FBI capturent un réseau de terroristes agissant sous la tutelle du Sheik Rahman, un des guide spirituel du Jihad islamiste égyptien et du réseau Al-Quaeda. Les hommes du religieux aveugle préparaient une vague d’attaques contre New-York. Le plan était ambitieux. Il s’agissait de détruire le siège des Nations-Unies, s’attaquer aux symboles de la ville telle la Statue de la Liberté et de créer une série d’explosions mortelles dans les tunnels de la ville passant sous l’Hudson River. Au cœur de ce coup de filet sans précédent, Emad Salem, une taupe du Bureau. Salem, la quarantaine, est un ancien officier égyptien convertit dans la fructueuse chasse aux terroristes. Pour un million de dollars et son admission dans le programme de protection des témoins, Salem a permis au FBI de se donner l’illusion de pouvoir peser sur les cellules terroristes.
La collaboration d’Emad Salem avec le FBI New-York est en réalité à deux volets. Alors que lors du procès du réseau Rahman, il n’est quasiment question que de la deuxième partie, c’est la première, celle d’avant la traque, qui est la plus troublante. En effet, Salem avait réussi à gagner la confiance des terroristes et, en liaison avec ses agents traitants à supervisé la fabrication de la bombe destinée au World Trade Center. Et pire encore, confronté à une pression administrative en désaccord avec la réalité du terrain, Salem a du renoncer à son plan initial qui était de changer les composants de la bombe afin d’en limiter les dégâts.
Le 24 juin 1993, alors qu’il vient juste d’être admis dans le Programme de protection des témoins, Emad Salem se confie aux US Marshalls chargé de sa sécurité. Depuis 1991, fatigué par les incessants changements de cap de ses contacts au FBI, il a systématiquement enregistré ses conversations. Avec certains des terroristes mais aussi, c’est plus gênant, avec ses deux agents traitants au FBI New-York : John Anticev et Nancy Floyd. Au total ce sont plus de mille conversations que l’ancien officier égyptien a conservé sur bandes magnétiques. Plus d’une centaine d’heures d’enregistrements dont la lecture des transcriptions est édifiante. Car elle permet d’affirmer que le FBI connaissait en avance les mortels projets du réseau Rahman. En effet, dès le 6 mai 1992, Emad Salem informe John Anticev de l’intention des terroristes de s’attaquer prochainement à New-York. Plus troublant encore, dans l’étrange jeu du chat et de la souris que se livrent limiers et malfaiteurs, la transcription de cette conversation nous apprend que l’option attentat à la bombe a été choisie après une suggestion de la taupe du FBI. En effet, alors que les terroristes hésitent entre une vague d’assassinats et des opérations spectaculaires contre la communauté juive de la ville, c’est Salem qui suggère de s’attaquer à des lieux symboliques de Big Apple. Placée hors contexte, cette information peut prêter à confusion et amener injustement à croire qu’in fine, c’est le FBI qui a choisi le premier objectif d’Al-Quaeda. En fait, Salem avait réussi à infiltrer le réseau avec succès et à devenir le responsable de la sécurité du Sheik Rahman. Dès lors, il ne peut faire autrement que de participer à ces conversations préliminaires et à donner son opinion lorsque un de ses “complices” la lui demande. Mais le plus important à retenir, c’est que plus de neuf mois avant l’attentat contre les Twin Towers, le FBI sait.
Mais il y a pire encore. Une des conversations, dont nous avons réussi à nous procurer un enregistrement, entre Emad Salem et John Anticev au lendemain de l’explosion du 26 février 1993 révèle le jeu dangereux joué par le FBI. Ce jour-là, Salem, visiblement en colère, revient sur la gestion de l’opération d’infiltration. Quelques semaines avant le 26 février, un supérieur de John Anticev a décidé de mettre fin à l’opération. Le terrorisme n’est pas une priorité du FBI et il estime que les moyens investi dans le projet sont trop important. Revenant sur l’avancée de l’opération au moment de son soudain arrêt, Salem déclare sans qu’Anticev le corrige : “ Nous avions déjà commencé à construire la bombe qui a explosé plus tard au World Trade Center. Elle a été construite sous supervision du Bureau et du District Attorney ( NDLR : l’équivalent américain du Procureur de la République). Et nous étions tous informé de cela, nous savions tous qu’ils avaient commencé à construire la bombe. Et par qui ? Par votre serviteur et informateur confidentiel”.
Les révélations de Salem sont graves. Non seulement le FBI savait en avance de la préparation d’un attentat mais grâce à son informateur, n’ignore pas non plus que le projet n’a rien de théorique et qu’une bombe est en fabrication dans un garage du New-Jersey. Et comme si cela ne suffisait pas, un autre enregistrement, dévoile le plan original du FBI : “ C’est votre supérieur qui a tout foutu en l’air. (S’il n’était pas intervenu), nous aurions construit la bombe avec des faux explosifs et ensuite nous aurions capturé les personnes impliquées dans tout cela. Mais ce n’est pas ce que nous avons fait. Et nous en connaissons tous le résultat”.
En fait ce que révèle Salem est terrifiant. Le FBI New York, clairement informé des projets des terroristes, n’avait pas l’intention de prévenir l’attentat. Mais d’altérer la formule de la bombe, laisse faire l’attentat et ensuite réaliser un spectaculaire coup de filet. Une stratégie dangereuse qui s’est avérée suicidaire et qui rappelle les dessous d’un autre attentat : celui d’Oklahoma City. Là encore, le FBI avait un informateur au cœur de la conspiration et là encore, dans son soucis de contrôler l’opération depuis l’intérieur, à été dépassé par les événements. Avec, là encore, la mort d’innocentes victimes.
Même si le FBI est extrêmement discret sur l’incroyable gâchis de l’opération Salem, même si au moment du procès du réseau Rahman, le Bureau a utilisé ses réseaux dans les médias pour éviter de revenir sur les mois précédents le 26 février 1993, il existe deux enregistrements qui prouvent que le FBI New-York a mesuré pleinement l’étendue de sa bavure.
Le premier est, une nouvelle fois, une conversation entre Emad Salem et John Anticev. deux jours après l’attentat. Salem, indigné, annonce son intention de prévenir le quartier général du FBI à Washington des erreurs du bureau de New-York. Le Spécial Agent l’en dissuade d’un : “ je ne pense pas que les gars de New-York souhaiteraient que cela sorte du bureau de New-York pour aller jusqu’à Washington.”.
La deuxième, cette fois-ci entre Salem et Nancy Floyd, son autre contact au FBI, est la preuve indéniable de la responsabilité des agents de New-York dans le premier attentat contre le World Trade Center. Alors que son informateur lui raconte qu’Anticev ne souhaite pas qu’il prévienne Washington, l’agent Floyd répond : “ Bien sur que non. Ils ne veulent pas avoir leur têtes coupées”.
http://www.williamreymond.com/911.htm
6 février 1993. Le World Trade Center est secoué par une explosion. Aujourd’hui, il est impossible de ne pas y voir une tragique répétition des événements du 11 septembre. Mais c’est pour une toute autre raison qu’il faut revenir sur le premier attentat contre les Twins Towers. En 1993, le FBI avait une taupe au sein de l’équipe des terroristes. Un informateur si proche du sommet du réseau que le Bureau à pu suivre la fabrication de la bombe. Mais, paralysés par une lourdeur administrative et la peur du risque, les agents du FBI n’ont pas réussi à stopper une opération dont ils connaissaient l’objectif en avance.
Alors que l’Amérique s’étonne de l’échec de ses services de renseignements à prévenir le 11 septembre, elle ignore les véritables raisons d’une autre faillite : l’attentat contre le World Trade Center du 26 février 1993. La première incursion des terroristes d’Al Quaeda sur le territoire américain fait six victimes, plus d’un millier de blessés et un demi-milliard de dollars de dégâts. Oussama Ben Laden avait rêvé d’un bilan plus lourd, espérant faire chuter au moins un tour. Il attendra huit ans pour voir dans toute son horreur sa vision se réaliser.
Quelques semaines après l’attentat, les agents du FBI capturent un réseau de terroristes agissant sous la tutelle du Sheik Rahman, un des guide spirituel du Jihad islamiste égyptien et du réseau Al-Quaeda. Les hommes du religieux aveugle préparaient une vague d’attaques contre New-York. Le plan était ambitieux. Il s’agissait de détruire le siège des Nations-Unies, s’attaquer aux symboles de la ville telle la Statue de la Liberté et de créer une série d’explosions mortelles dans les tunnels de la ville passant sous l’Hudson River. Au cœur de ce coup de filet sans précédent, Emad Salem, une taupe du Bureau. Salem, la quarantaine, est un ancien officier égyptien convertit dans la fructueuse chasse aux terroristes. Pour un million de dollars et son admission dans le programme de protection des témoins, Salem a permis au FBI de se donner l’illusion de pouvoir peser sur les cellules terroristes.
La collaboration d’Emad Salem avec le FBI New-York est en réalité à deux volets. Alors que lors du procès du réseau Rahman, il n’est quasiment question que de la deuxième partie, c’est la première, celle d’avant la traque, qui est la plus troublante. En effet, Salem avait réussi à gagner la confiance des terroristes et, en liaison avec ses agents traitants à supervisé la fabrication de la bombe destinée au World Trade Center. Et pire encore, confronté à une pression administrative en désaccord avec la réalité du terrain, Salem a du renoncer à son plan initial qui était de changer les composants de la bombe afin d’en limiter les dégâts.
Le 24 juin 1993, alors qu’il vient juste d’être admis dans le Programme de protection des témoins, Emad Salem se confie aux US Marshalls chargé de sa sécurité. Depuis 1991, fatigué par les incessants changements de cap de ses contacts au FBI, il a systématiquement enregistré ses conversations. Avec certains des terroristes mais aussi, c’est plus gênant, avec ses deux agents traitants au FBI New-York : John Anticev et Nancy Floyd. Au total ce sont plus de mille conversations que l’ancien officier égyptien a conservé sur bandes magnétiques. Plus d’une centaine d’heures d’enregistrements dont la lecture des transcriptions est édifiante. Car elle permet d’affirmer que le FBI connaissait en avance les mortels projets du réseau Rahman. En effet, dès le 6 mai 1992, Emad Salem informe John Anticev de l’intention des terroristes de s’attaquer prochainement à New-York. Plus troublant encore, dans l’étrange jeu du chat et de la souris que se livrent limiers et malfaiteurs, la transcription de cette conversation nous apprend que l’option attentat à la bombe a été choisie après une suggestion de la taupe du FBI. En effet, alors que les terroristes hésitent entre une vague d’assassinats et des opérations spectaculaires contre la communauté juive de la ville, c’est Salem qui suggère de s’attaquer à des lieux symboliques de Big Apple. Placée hors contexte, cette information peut prêter à confusion et amener injustement à croire qu’in fine, c’est le FBI qui a choisi le premier objectif d’Al-Quaeda. En fait, Salem avait réussi à infiltrer le réseau avec succès et à devenir le responsable de la sécurité du Sheik Rahman. Dès lors, il ne peut faire autrement que de participer à ces conversations préliminaires et à donner son opinion lorsque un de ses “complices” la lui demande. Mais le plus important à retenir, c’est que plus de neuf mois avant l’attentat contre les Twin Towers, le FBI sait.
Mais il y a pire encore. Une des conversations, dont nous avons réussi à nous procurer un enregistrement, entre Emad Salem et John Anticev au lendemain de l’explosion du 26 février 1993 révèle le jeu dangereux joué par le FBI. Ce jour-là, Salem, visiblement en colère, revient sur la gestion de l’opération d’infiltration. Quelques semaines avant le 26 février, un supérieur de John Anticev a décidé de mettre fin à l’opération. Le terrorisme n’est pas une priorité du FBI et il estime que les moyens investi dans le projet sont trop important. Revenant sur l’avancée de l’opération au moment de son soudain arrêt, Salem déclare sans qu’Anticev le corrige : “ Nous avions déjà commencé à construire la bombe qui a explosé plus tard au World Trade Center. Elle a été construite sous supervision du Bureau et du District Attorney ( NDLR : l’équivalent américain du Procureur de la République). Et nous étions tous informé de cela, nous savions tous qu’ils avaient commencé à construire la bombe. Et par qui ? Par votre serviteur et informateur confidentiel”.
Les révélations de Salem sont graves. Non seulement le FBI savait en avance de la préparation d’un attentat mais grâce à son informateur, n’ignore pas non plus que le projet n’a rien de théorique et qu’une bombe est en fabrication dans un garage du New-Jersey. Et comme si cela ne suffisait pas, un autre enregistrement, dévoile le plan original du FBI : “ C’est votre supérieur qui a tout foutu en l’air. (S’il n’était pas intervenu), nous aurions construit la bombe avec des faux explosifs et ensuite nous aurions capturé les personnes impliquées dans tout cela. Mais ce n’est pas ce que nous avons fait. Et nous en connaissons tous le résultat”.
En fait ce que révèle Salem est terrifiant. Le FBI New York, clairement informé des projets des terroristes, n’avait pas l’intention de prévenir l’attentat. Mais d’altérer la formule de la bombe, laisse faire l’attentat et ensuite réaliser un spectaculaire coup de filet. Une stratégie dangereuse qui s’est avérée suicidaire et qui rappelle les dessous d’un autre attentat : celui d’Oklahoma City. Là encore, le FBI avait un informateur au cœur de la conspiration et là encore, dans son soucis de contrôler l’opération depuis l’intérieur, à été dépassé par les événements. Avec, là encore, la mort d’innocentes victimes.
Même si le FBI est extrêmement discret sur l’incroyable gâchis de l’opération Salem, même si au moment du procès du réseau Rahman, le Bureau a utilisé ses réseaux dans les médias pour éviter de revenir sur les mois précédents le 26 février 1993, il existe deux enregistrements qui prouvent que le FBI New-York a mesuré pleinement l’étendue de sa bavure.
Le premier est, une nouvelle fois, une conversation entre Emad Salem et John Anticev. deux jours après l’attentat. Salem, indigné, annonce son intention de prévenir le quartier général du FBI à Washington des erreurs du bureau de New-York. Le Spécial Agent l’en dissuade d’un : “ je ne pense pas que les gars de New-York souhaiteraient que cela sorte du bureau de New-York pour aller jusqu’à Washington.”.
La deuxième, cette fois-ci entre Salem et Nancy Floyd, son autre contact au FBI, est la preuve indéniable de la responsabilité des agents de New-York dans le premier attentat contre le World Trade Center. Alors que son informateur lui raconte qu’Anticev ne souhaite pas qu’il prévienne Washington, l’agent Floyd répond : “ Bien sur que non. Ils ne veulent pas avoir leur têtes coupées”.
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