Comment les prédateurs sexuels utilisent le procès d’Outreau contre la parole des enfants
Monsieur Lazare Zylbergleitt a évoqué le principe fondateur du syndicat de la magistrature et la sanction du juge Burgaud. La sanction de ce juge est souvent estimée trop légère par rapport aux faits qui lui sont reprochés. En réalité la vérité est beaucoup plus complexe et noire que celle qui a été présentée par la quasi totalité des médias.Pour s’en convaincre il suffit d’étudier deux ouvrages que toutes les institutions taisent le plus soigneusement du monde.
Le premier « Outreau, la vérité abusée, 12 enfants reconnus victimes » émane de la brillante experte d’Outreau, Marie-Christine Gryson Dejehansart. Le vrai visage du procès et décrit avec minutie et montre les méthodes visant à briser la parole des experts et déstabiliser la parole des enfants.
Le second émane de Jacques Thomet, (ancien rédacteur en chef à l’AFP) journaliste au grand courage qui a réétudié tout le procès d’Outreau et décrit les incroyables zones d’ombre cachées au public. Après deux ans d’étude, cet ouvrage est un réquisitoire accablant sur ce procès. Son livre »retour à Outreau, contre-enquête sur une manipulation pédocriminelle » est censuré par toute la presse (comme celui de l’experte d’Outreau).
Un autre journaliste d’investigation, Serge Garde, a lui aussi creusé l’affaire et a réalisé un film avec d’autres humanistes défenseurs des enfants. Ce film « Outreau l’autre vérité » n’est passé que dans quelques salles en France. Ce qu’il révèle est aussi accablant. Le juge Burgaud va probablement demander sa réhabilitation tant les élements en sa faveur apparaissent aujourd’hui clairement.
Il n’est pas impossible que ce procès rebondisse un jour.
Un chroniqueur judiciaire donne raison à cette nouvelle analyse mais tient à rester ananyme car il a peur de s’attirer des ennuis. D’autres tentent tout pour décrédibiliser les critiques mais refusent tout face à face avec ceux qui remettent en question certains aspects du jugement.C’est le cas des avocats de la défense. Sur le site de « Médiapart », il est possible de trouver les arguments de Marie Christine Gryson Dejehansart qui critique la presse qui a été unanime à lui refuser son droit de réponse alors qu’elle a été diffamée, insultée dans les médias de façon scandaleuse (Le Canard Enchâiné a participé au lynchage avec stupidité). Il faut savoir que dans les affaires de pédocrimalité, il n’est pas rare que les vrais humanistes s’attirent les pires ennuis. Une femme médecin a d’ailleurs rédigé un livre éloquent à ce sujet. Il s’agit de Catherine Bonnet auteure du livre »l’enfance muselée ». Elle explique que dès que les enfants se disent victimes de crimes sexuels en réseaux, les défenseurs des enfants sont attaqués, diffamés, condamnés et parfois interdits de travailler. Cette humaniste a reçu le soutien de deux cents professionnels honnêtes (avec pétition) eux aussi condamnés pour avoir dénoncé des crimes sexuels à l’égard des enfants.
En ce qui concerne le Syndicat de la Magistrature, je n’ai pas trouvé une seule ligne en faveur des associations de défense des enfants. D’une façon générale, la gauche judiciaire ne parle jamais de tous ces dénis de justice exposés sur le site « Donde Vamos (les autres politiques non plus d’ailleurs).
Le procès d’Outreau est utilisé aujourd’hui par beaucoup de prédateurs et d’avocats défenseurs des pédocriminels pour tenter de nier la parole des enfants réellement victimes.
Le pourcentage des enfants qui mentent dans ce genre d’affaire est très faible (entre 3 et 6% d’après tous les psys internationaux). Beaucoup d’enfants sont donc abandonnés à leurs agresseurs.
Le grand public ignore encore ce drame caché mais de plus en plus de spécialistes connaissent aujourd’hui le dessous des cartes. L’avenir dira si les vérités encore étouffées sortiront un jour pour donner naissance à une nouvelle justice équilibrée.
En attendant, la quasi totalité de nos institutions inspirent aujourd’hui une méfiance grandissante et ce n’est pas la presse, dans sa quasi totalité, qui fera renaître cette confiance.
Un journaliste indépendant, Olivier Bonnet, a donné une formule pour les affaires sensibles:
Pouvoir+justice+médias = circulez il n’y a rien à voir. Il semble bien que cette analyse soit partagée par un nombre grandissant de citoyens informés.
Comment les prédateurs sexuels utilisent le procès d’Outreau contre la parole des enfants
RépondreSupprimerMonsieur Lazare Zylbergleitt a évoqué le principe fondateur du syndicat de la magistrature et la sanction du juge Burgaud. La sanction de ce juge est souvent estimée trop légère par rapport aux faits qui lui sont reprochés. En réalité la vérité est beaucoup plus complexe et noire que celle qui a été présentée par la quasi totalité des médias.Pour s’en convaincre il suffit d’étudier deux ouvrages que toutes les institutions taisent le plus soigneusement du monde.
Le premier « Outreau, la vérité abusée, 12 enfants reconnus victimes » émane de la brillante experte d’Outreau, Marie-Christine Gryson Dejehansart. Le vrai visage du procès et décrit avec minutie et montre les méthodes visant à briser la parole des experts et déstabiliser la parole des enfants.
Le second émane de Jacques Thomet, (ancien rédacteur en chef à l’AFP) journaliste au grand courage qui a réétudié tout le procès d’Outreau et décrit les incroyables zones d’ombre cachées au public. Après deux ans d’étude, cet ouvrage est un réquisitoire accablant sur ce procès. Son livre »retour à Outreau, contre-enquête sur une manipulation pédocriminelle » est censuré par toute la presse (comme celui de l’experte d’Outreau).
Un autre journaliste d’investigation, Serge Garde, a lui aussi creusé l’affaire et a réalisé un film avec d’autres humanistes défenseurs des enfants. Ce film « Outreau l’autre vérité » n’est passé que dans quelques salles en France. Ce qu’il révèle est aussi accablant. Le juge Burgaud va probablement demander sa réhabilitation tant les élements en sa faveur apparaissent aujourd’hui clairement.
Il n’est pas impossible que ce procès rebondisse un jour.
Un chroniqueur judiciaire donne raison à cette nouvelle analyse mais tient à rester ananyme car il a peur de s’attirer des ennuis. D’autres tentent tout pour décrédibiliser les critiques mais refusent tout face à face avec ceux qui remettent en question certains aspects du jugement.C’est le cas des avocats de la défense. Sur le site de « Médiapart », il est possible de trouver les arguments de Marie Christine Gryson Dejehansart qui critique la presse qui a été unanime à lui refuser son droit de réponse alors qu’elle a été diffamée, insultée dans les médias de façon scandaleuse (Le Canard Enchâiné a participé au lynchage avec stupidité). Il faut savoir que dans les affaires de pédocrimalité, il n’est pas rare que les vrais humanistes s’attirent les pires ennuis. Une femme médecin a d’ailleurs rédigé un livre éloquent à ce sujet. Il s’agit de Catherine Bonnet auteure du livre »l’enfance muselée ». Elle explique que dès que les enfants se disent victimes de crimes sexuels en réseaux, les défenseurs des enfants sont attaqués, diffamés, condamnés et parfois interdits de travailler. Cette humaniste a reçu le soutien de deux cents professionnels honnêtes (avec pétition) eux aussi condamnés pour avoir dénoncé des crimes sexuels à l’égard des enfants.
En ce qui concerne le Syndicat de la Magistrature, je n’ai pas trouvé une seule ligne en faveur des associations de défense des enfants. D’une façon générale, la gauche judiciaire ne parle jamais de tous ces dénis de justice exposés sur le site « Donde Vamos (les autres politiques non plus d’ailleurs).
RépondreSupprimerLe procès d’Outreau est utilisé aujourd’hui par beaucoup de prédateurs et d’avocats défenseurs des pédocriminels pour tenter de nier la parole des enfants réellement victimes.
Le pourcentage des enfants qui mentent dans ce genre d’affaire est très faible (entre 3 et 6% d’après tous les psys internationaux). Beaucoup d’enfants sont donc abandonnés à leurs agresseurs.
Le grand public ignore encore ce drame caché mais de plus en plus de spécialistes connaissent aujourd’hui le dessous des cartes. L’avenir dira si les vérités encore étouffées sortiront un jour pour donner naissance à une nouvelle justice équilibrée.
En attendant, la quasi totalité de nos institutions inspirent aujourd’hui une méfiance grandissante et ce n’est pas la presse, dans sa quasi totalité, qui fera renaître cette confiance.
Un journaliste indépendant, Olivier Bonnet, a donné une formule pour les affaires sensibles:
Pouvoir+justice+médias = circulez il n’y a rien à voir. Il semble bien que cette analyse soit partagée par un nombre grandissant de citoyens informés.
Hervé Jean