Cela ne sera bien évidemment une surprise pour personne, ou plutôt cela ne sera pas une surprise pour les membres du Mouvement pour la Vérité :
Le leader du réseau LulzSec au sommet d’Anonymous, arrêté il y a quelques mois à grand fracas médiatique, était non seulement un informateur du FBI, mais aussi et surtout un agent de la CIA !
C’est en tout cas ce que confirme le journaliste du Guardian James Ball, dans un article totalement occulté par les médias alignés franchouillards (et tant d’autres), et pour cause !
Dans cet article étonnant (et fort à propos), qui montre bien qu’Anonymous tout comme Al Qaïda est sous influence, noyauté, infiltré et médiatisé par la CIA et les services secrets pro-NWO, James Ball nous relate son entretien l’an dernier avec Hector Xavier Monsegur, alias Abu d’Anonymous, actuellement sous les verrous :
Alors que le Guardian relayait des informations selon lesquelles d’autres membres du réseau Anonymous accusaient Sabu de soutenir un agenda islamiste extrémiste à la Al Qaïda, celui-ci a contacté James Ball pour les démentir et s’expliquer, en Juillet 2011, soit quelques semaines après qu’il ait été arrêté par le FBI et qu’il ne devienne son principal collaborateur et informateur !
En fait, Sabu aurait vaguement parlé à James Ball des accusations portées à son encontre concernant ses liens avec des islamistes radicaux, pour rapidement lui suggérer de l’interroger sur les rumeurs qui le liaient à la CIA. Puis d’insister lourdement sur ces prétendus liens avec la CIA, qu’il voulait à tout prix réfuter publiquement, sans même que le journaliste n’ait eu l’idée de l’interroger sur ce sujet précis… Du moins selon la version du journaliste lui-même.
On peut retrouver l’ensemble de la retranscription présumée entre le journaliste du Guardian et l’informateur de la CIA du FBI et chef d’Anonymous Abu, ce Portoricain de 28 ans installé à New York et sans emploi, sur le site du Guardian…
Pourquoi Abu voulait-il évoquer ses (non) liens avec la CIA ? Et pourquoi évoquer maintenant toute cette affaire ?
Le journaliste du Guardian ne comprend toujours pas pourquoi le leader d’Anonymous voulait à tout prix évoquer ses (non) liens avec la CIA, et quelles étaient ses motivations pour tenter de médiatiser ces éléments… au moment de l’interview, en juillet dernier, Abu était entre les mains du FBI et s’apprêtait (si ce n’était déjà fait) à balancer ses petits copains du réseau, pourquoi donc voulait-il mêler la CIA à son nom ?
Le journaliste Balls se demande pourquoi diable Abu a développé de lui-même un argumentaire sur l’infiltration de groupes de pirates par des agents secrets, qui noyauteraient (voire mettraient en place) des organisations pour s’attaquer à leurs propres services dans des opérations sous faux drapeaux !
Et l’on peut se demander : pourquoi diable le journaliste se pose ces questions maintenant ? Plusieurs mois après les faits…
Pendant des mois (voire des années) le leader d’Anonymous collabore avec le FBI
La réponse est sans doute plus simple qu’il n’y parait, puisqu’elle ravive la bonne vieille technique de l’écran de fumée :
Cette affaire des vraies-fausses dénégations d’Abu sur ses liens prétendus avec la CIA viserait à cacher ses liens réels avec le FBI, et à discréditer par avance les accusations portées à son encontre pour les ramener au rang de théories du complot compliquées, d’histoires abracadabrantesques, sachant pourtant qu’il travaillait main dans la main avec le FBI jusqu’à ces derniers jours !
Au-delà de l’écran de fumée, au-delà du confort à inventer de faux ennemis pour éviter l’émergence de vrais mouvements d’opposition, le rôle d’Abu alias Hector Xavier Monsegur visait à renforcer le flicage d’internet, selon le site Prisonplanet.com.
Evidemment, selon la version officielle, cette collaboration assez incroyable entre un prétendu rebelle d’Anonymous et ses ennemis héréditaires de la CIA et du FBI n’est pas le fruit d’une quelconque infiltration, voire d’une manipulation montée de toutes pièces et de longue date, mais un repentir récent d’Abu-le-rebelle-de-pacotille (tout cela c’est en effet du toc), afin d’éviter d’être inculpé de 124 ans de prison pour ses prétendus méfaits (les lois US épargnent les collabos sur le principe des lois italiennes anti-mafia, ce qui bien évidemment permet toutes les infiltrations et les manipulations imaginables) !
Une réalité qui corrobore parfaitement les analyses du Mouvement pour la Vérité
Ce qu’il reste au final de toute cette affaire du réseau Anonymous et de son élite LulzSec, c’est que grâce à ses soutiens très hauts placés, Abu et ses collègues d’Anonymous ont pu pénétrer dans des lieux qu’ils n’auraient sans doute jamais pu violer sans certains feux verts venus d’en haut, ils ont pu lancer le mythe d’Anonymous, ils ont plus récemment rendu public des emails de la Stratfor (agence privée satellite de la CIA) qu’ils ont livré à… Wikileaks (bingo !) et provoqué une réaction visant à verrouiller davantage internet, décidément trop exposé aux attaques des vilains pirates !!
Et décidément, malgré les jeux à bandes multiples, le réseau Anonymous apparait plus que jamais étroitement lié aux services secrets pro-NWO, ce que le Mouvement pour la Vérité avait compris depuis bien longtemps maintenant…
Derrière Anonymous et Wikileaks, la CIA n’est jamais très loin
Pour celles et ceux qui trouvent ces affaires un peu trop compliquées à suivre, il faut simplement retenir la règle suivante :
Lorsque l’on entend évoquer dans les médias alignés, ou sur internet, des noms tels qu’Anonymous, Al Qaïda ou Wikileaks, c’est que la CIA n’est généralement jamais très loin…
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