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mardi 23 août 2011
Les insurgés sont entrés dans le QG de Kadhafi
Les insurgés ont pris le contrôle du quartier général de Mouammar Kadhafi à Bab al-Aziziya après plusieurs heures de combats acharnés, selon des journalistes sur place. Des combats continuent ailleurs dans Tripoli. Le suivi des événements.
17h34: les forces insurgées sont entrées dans le QG de Kadhafi à Bab al-Aziziya à Tripoli et en ont pris le contrôle, annonce un porte-parole de l'opposition libyenne. Pas de nouvelle du leader libyen.
16h51: le Conseil national de transition en Libye affirme contrôler 80% de Tripoli, dans un entretien avec la cheffe de la diplomatie européenne Catherine Ashton.
16h42: les rebelles libyens ont forcé la première entrée de l'enceinte du quartier général de Mouammar Kadhafi, rapporte la chaîne Al Arabiya.
16h27: le président russe de la Fédération internationale des échecs, Kirsan Ilioumjinov, déclare avoir parlé au téléphone avec Mouammar Kadhafi. Celui-ci lui a dit qu'il se trouvait à Tripoli et n'avait pas l'intention de quitter la Libye, ajoutant qu'il était en "bonne santé".
16h25: le journaliste de CNN Matthew Chance raconte sur son fil Twitter (en anglais) ce que vivent les quarante journalistes étrangers coincés à l'hôtel Rixos: "Je me suis rendu dans ma chambre plus tôt. La porte avait été défoncée, la chambre pillée. Rien n'a été volé."
16h22: deux membres importants de l'armée libyenne ont fait défection ainsi qu'un parent proche de Mouammar Khadafi, annonce le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini, dans un entretien à la chaîne d'informations italienne Sky TG24.
16h00: un porte-parole du CICR affirme que les hôpitaux de Tripoli sont totalement débordés par le nombre de blessés qui leur arrivent. "Il n'y a pas assez de personnel".
15h04: les deux principaux postes frontaliers entre la Tunisie et la Libye ont été fermés lundi mais les passages restent possibles au cas par cas, indique un représentant du ministère de la Défense tunisien.
14h59: les rebelles libyens avancent vers le port pétrolier de Ras Lanouf, en direction de la ville de Syrte, enfonçant le front Est dont les forces pro-Kadhafi se sont retirées, selon un porte-parole militaire de la rébellion.
14h58: qualifiant la situation à Tripoli de "très dangereuse", l'OTAN prévient qu'elle poursuivra ses opérations en Libye tant que les forces kadhafistes seraient actives.
14h56: Kadhafi ne représente pas une cible pour l'Otan, affirme le porte-parole de l'opération Protecteur unifié, le colonel canadien Roland Lavoie, qui ajoute ne pas savoir où le dirigeant libyen se trouve.
14h11: la fin du régime de Kadhafi "est proche", estime la porte-parole de l'Otan. Elle affirme que ses partisans menaient "une bataille perdue".
14h00: le colonel Mouammar Kadhafi est toujours à Tripoli, selon son fils Seif al-Islam.
13h00: l'envoyé spécial de la RTS Yves Magat fait savoir sur son fil Twitter qu'il est entré en Libye par le sud de la Tunisie. Auparavant, il racontait qu'à Tataouine, avant de passer la frontière, il avait vu des pickups remplis de bidons qui venaient chercher de l'essence pour les combattants de l'opposition libyenne.
12h24: certains hôpitaux à Tripoli sont à court de médicaments et d'équipements vitaux, selon Médecins sans frontières (MSF). Il manque aussi du personnel, précise l'ONG qui dit renforcer son action médicale. La journaliste Alex Crawford, de Sky News, rapporte, depuis l'hôpital principal, que les médecins sont à court de personnel et de matériel, alors que les combats aux environs s'intensifient.
12h21: Kadhafi et ses fils devraient être jugés par la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye, déclare le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini, estimant que ces derniers seront rapidement capturés.
11h50: l'AFP rend compte de violents combats à la roquette et à l'artillerie lourde autour du complexe résidentiel du colonel Kadhafi.
11h45: la Cour pénale internationale (CPI) n'a "jamais" eu la confirmation de l'arrestation de Seif al-Islam, le fils de Mouammar Kadhafi, affirme le porte-parole de la Cour.
11h40: l'hôtel Rixos où sont logés les journalistes étrangers a été secoué vers 11h par une forte explosion à proximité créant un mouvement de panique parmi les reporters, rapporte l'AFP. Selon Jon Williams, un producteur de la BBC, qui compte des journalistes sur place, l'hôtel serait même la cible de tirs de roquettes.
11h20: selon les images diffusées en direct par la chaîne Al-Jazeera, les combats se poursuivent à Tripoli: bruits de tir et fumée.
11h10: les forces loyales à Kadhafi ont tiré lundi trois missiles Scud depuis les environs de Syrte, bastion du régime et ville d'origine du dirigeant libyen, en direction de Misrata contrôlée par les rebelles, indique l'Otan qui dénonce un acte "irresponsable".
11h03: l'ancien président croate, Stipe Mesic, proche de Mouammar Kadhafi, a assuré que le dirigeant libyen lui avait dit la semaine dernière dans un "message verbal personnel" qu'il était prêt à se retirer "complètement" de la vie politique si les frappes de l'Otan cessaient.
10h49: le bateau en provenance de Benghazi qui devait arriver à Tripoli pour évacuer 300 étrangers a été retardé pour des raisons de sécurité, informe l'Organisation mondiale des migrations (OIM).
10h30: le journaliste de la BBC Matthew Price indique sur son fil Twitter (en anglais) depuis l'hôtel Rixos que toutes les équipes des chaînes de télévision qui logent dans l'établissement du centre-ville sont en sécurité, mais pour la plupart privées d'accès internet.
10h25: l'envoyé spécial de l'ONU en Libye, Abdel Ilah Khatib, affirme au quotidien jordanien semi-gouvernemental Ad Destour que le régime libyen a demandé qu'il intervienne auprès de l'ONU avant l'offensive lancée samedi soir par les rebelles sur Tripoli.
09h39: la victoire des insurgés "n'est pas complète" et l'Otan doit rester en alerte et aller au bout de sa mission, déclare le chef de la diplomatie française Alain Juppé sur Europe 1.
09h25: l'Iran "félicite" le "peuple musulman libyen" et souligne la nécessité de respecter les aspirations des peuples.
02h08: Tripoli est "sous le contrôle" du régime, affirme Seif al-Islam à des journalistes à Tripoli. Selon lui, les forces loyales au régime ont fait subir à la rébellion de "lourdes pertes aux rebelles qui prenaient d'assaut" la résidence de son père. Son père qui serait toujours à Tripoli, selon lui. Lire: Seif al-Islam, le fils de Kadhafi, est toujours libre
Live : ICI
Source: Tsr
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