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mardi 10 février 2015

L’ONU continue son programme d’immigration de remplacement et souhaite que l’UE accueille encore plus de migrants

Pourquoi y a-t-il autant de migrants qui affluent vers l’Europe? Car ceux-ci souhaitent fuir une nation en plein chaos, ravagée par les guerres, les politiques complètement corrompues, et dans l’espoir de trouver des conditions de vie meilleures, pour eux et pour leur famille.Nous agirions probablement de la même manière si nous y étions confrontés aux mêmes problèmes nationaux. Mais il ne faut pas oublier que si des nations plus puissantes et à la moralité parfois très discutables ne semaient pas le chaos dans les pays africains en questions, il y aurait moins de candidats à l’immigration. Si personne n’avait lancé de conflit en Libye et en Syrie pour des raisons géopolitiques et de spoliation de richesses comme de ressources naturelles, les populations de ces pays ne tenteraient pas leur chance et vivraient probablement plus sereinement sur leur terre natale.
Mais cela ne se limite pas uniquement à cela, car même si la paix avait régné dans les pays africains, il ne faut pas oublier un autre facteur important de l’immigration, celle de remplacement souhaitée par l’ONU comme nous l’explique cet article que certains connaissent peut-être:
nwonu
Récemment des nouvelles passées relativement inaperçues ont été publiées malgré l’interdiction des statistiques « ethniques » en Europe : Londres est désormais peuplé de 45 % d’autochtones ( anglais « dit de souche » ), Bruxelles comprend 76 % de sa population issue directement ou indirectement de l’immigration, et en île-de-France 60 % de naissances seraient le fait de populations extra-européennes.
Ce processus de rapide d’érosion des populations européennes d’origine et leur remplacement par les populations immigrées n’est pas issue de nulle part. Cette politique qui va aboutir à la mise en minorité de la population chrétienne ou traditionnelle de l’Europe a été décidée à New York (ONU) et à Bruxelles (UE). Syndrome de l’aborigène européen ou vaste opération commerciale au détriment des populations mondiales ? Analyse.
La démographie européenne s’avère, comme chacun le sait, une cause perdue, les populations européennes « d’origine » ne font plus suffisamment d’enfants pour renouveler les générations de manière endogène. C’est inévitable et la tendance se renforce sensiblement. A l’inverse, les populations africaines et asiatiques connaissent un boom démographique inédit inversement proportionnel à la qualité de la vie et aux ressources disponibles pour les populations locales.
A cette double fatalité : quasi-disparition pour les uns, appauvrissement et surpopulation pour d’autres, l’ONU avait trouvé la solution, expliquée abondamment dans son « rapport sur les migrations de remplacement publié par la Division de la population des Nations Unies ».
Constatant le déséquilibre démographique mondial qui va aboutir à une explosion de la population africaine (multipliée par 3 avant la fin du siècle) et asiatique induisant une paupérisation encore plus importante et une crise humaine et écologique insurmontable, les élites onusiennes ont élaboré une planification de l’immigration vers l’Europe (et vers d’autres pays dit développés) qui solutionnera d’une part la (presque) disparition de la population européenne et d’autre part soulagera les pays du tiers-monde de la surpopulation qui deviendrait aussi grave que le déclin démographique du « vieux continent ».
Curieusement, pour les experts les USA sont une exception « démographique ». Sans fournir trop d’explications, ils nous disent que l’Amérique connaîtra avec sa démographie interne, une légère hausse de sa population. Donc, tous les « occidentaux » ne sont pas égaux sur le plan démographique, c’est du moins le point de vue de l’ONU. Les USA n’ont par conséquent aucun besoin d’immigrés. Ils sont « autosuffisants » démographiquement.
Par contre, pour l’Europe, les chiffres sont pour le moins édifiants : En 2100, la population européenne autochtone constituera moins d’un tiers des habitants (170 millions) contre une majorité écrasante d’immigrés ou de personnes d’origine immigrée (pour un total de 520 millions d’habitants, soit quasiment le maintien de la population actuelle), L’ONU décide alors de « recommander » des quotas d’immigration visant le remplacement des Européens d’origine qui disparaissent suite à leur démographie ; c’est le concept de « remplacement de population » qui est mis en œuvre. « Tous les pays et régions étudiés dans ce rapport auront besoin d’un flux d’immigration pour éviter que leur population ne diminue. Cependant le niveau d’immigration, relatif à l’expérience passée, varie beaucoup. Pour l’Union européenne, la poursuite des taux d’immigration observés dans les années 1990 suffirait à peu près à éviter une baisse de la population totale, tandis que pour l’Europe dans son ensemble, il faudrait deux fois le taux d’immigration observé dans les années 1990. » (Extrait du rapport de l’ONU)
A la fin de la décennie 1990-2000, l’ONU recommandait une « importation » d’immigrés à hauteur de 4,5 millions d’individus par an, sachant que les populations déjà présentes d’origine immigrée aidaient les « européens de souche » à améliorer leur fécondité. Curieusement le chiffre est passé au cours de cette décennie à 13,5 millions par an. A ce rythme, les mêmes experts prévoient en 2050 que certains pays passeront le cap de la moitié (ou presque) de la population d’origine immigrée. Ce qui signifie que les grandes métropoles européennes n’auront bientôt plus de chrétiens que leurs monuments et leurs cimetières. Ces derniers étant les seuls endroits où les « blancs » seront majoritaires.
Mais loin de culpabiliser les populations immigrées, il est aussi nécessaire d’analyser comment l’Union Européenne a commencé à mettre en œuvre sa nouvelle politique d’immigration dite « choisie ». Le projet de « Carte bleue » a été lancé par la Commission en 2007, et adopté en 2009 (Directive européenne 2009/050/CE). Il s’agit d’un permis de travail délivré aux résidents d’un pays non-membre de l’EU qui lui permet, selon certaines conditions, de venir travailler plus facilement sur le territoire de l’Union.
« La carte bleue utilise le système de l’immigration choisie, qui a pour but de rendre l’immigration à long terme plus rentable pour les pays européens. Elle est destinée uniquement aux travailleurs qualifiés, ce qui écarte la possibilité de voir une immigration d’assistés qui coûte cher aux Etats et génère un sentiment xénophobe parmi la population ».
Cette directive a été particulièrement critiquée par les associations de protection des immigrés et par des intellectuels africains voyant une manifestation de néo-colonialisme dans le « brain drain », soit la fuite organisée des cerveaux des pays les moins développés vers les pays occidentaux. On extrait alors effectivement la matière grise comme l’ont fait les pays colonisateurs avec les matières premières.
Dès lors la question se pose de savoir qui tire un avantage l’immigration de remplacement si elle ne profite ni aux migrants ni aux pays d’accueil, dont la population est extrêmement défavorable à la poursuite de l’immigration vécue souvent comme une invasion ou, comme le dirait le président Poutine, comme une colonisation des colonisateurs par leurs anciennes colonies.
L’ONU et l’UE sont des institutions supranationales qui prennent des décisions collégiales après avoir soumis leurs projets à d’innombrables lobbies. Au-delà des doux rêveurs onusiens pensant que le transfert de population par centaines de millions va sauver la planète, les principales organisations soutenant cette politique ont été les multinationales, les lobbies pétroliers, miniers, agro-alimentaires… soit une oligarchie agissant pour satisfaire ses propres intérêts financiers ; peu importe que l’Afrique devienne un désert intellectuel et que l’Europe chrétienne disparaisse ; D’un côté, un marché de 520 millions de consommateurs sera toujours mieux qu’un petit marché de 170 millions d’Européens, de l’autre, l’immigration pourra faire pression sur les salaires et combler le manque de main-d’œuvre qualifiée … quand l’économie redémarrera.
Nous devons aussi nous interroger sur la déification de la démographie qui, à long terme, constitue une menace pour l’humanité. Toujours plus d’êtres humains, toujours moins de ressources et quand la situation est localement ingérable, nos élites décident de transférer la population mondiale au détriment des uns et des autres. Les hommes ne sont plus que des statistiques, dans lesquelles ils sont même « dollarisés ».
Et nous ne parlons pas des groupuscules extrémistes ou ultras fanatiques, nous vous livrons des décisions votées par l’Organisation des Nations Unies, la même qui défend la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme dans le monde.
Source: French.ruvr.ru
Donc, ce que nous devons comprendre, c’est que l’immigration est avant tout voulue et organisée pour des raisons bien précises, les migrants étant quand à eux des pions déplacés au gré des enjeux géopolitiques du moment. Seulement, cela ne suffit pas, la situation financière des pays ne permet plus aux gouvernements des pays européens de prendre en charge l’ensemble de la population, les mesures d’austérité se multiplient, les banques trichent à tout-va, la BCE va même imprimer pour 1000 milliards d’euros pour que le système tienne encore quelques mois, et l’ONU en veut encore plus, textuellement: « L’Europe devra donc investir dans la mobilité. « Actuellement, nous voyons que des Espagnols qui ne trouvent pas d’emploi dans leur pays partent chercher leur bonheur en Grande-Bretagne. Pourquoi ne pourrions-nous pas organiser un système similaire pour les immigrés? »
L’Union européenne ne gagnera pas son combat face au trafic d’êtres humains tant qu’elle continuera à se focaliser sur une plus grande sécurisation de ses frontières extérieures, a prédit jeudi le Canadien François Crépeau, rapporteur des Nations Unies pour les droits des immigrants.



Les pays de l’UE doivent au contraire reconnaître que l’immigration continuera d’exister et trouver des solutions légales pour autoriser l’entrée dans l’Union, a-t-il poursuivi.
Frontières
« La politique européenne reste pour l’instant bloquée sur l’aspect défense des frontières. Mais il est impossible de fermer totalement ses frontières. Les immigrants continueront à tenter d’entrer en Europe », a encore indiqué le rapporteur des Nations Unies au terme d’une visite de quatre jours à Bruxelles consacrée à la gestion des frontières de l’Europe. Son rapport définitif est attendu pour juin.
Afflux d’immigrés
L’arrivée d’immigrés aux portes de l’Europe est un phénomène en augmentation. Les victimes sont nombreuses, essentiellement en Méditerrannée. On estime ainsi que l’an dernier plus de 3.000 personnes sont mortes en tentant, souvent à bord d’embarcations de fortune, d’entrer dans l’UE.
Trafiquants
Cette obsession européenne a, selon François Crépeau, comme conséquence que les candidats à l’immigration venus de Syrie ou d’Erythrée vont chercher leur salut auprès de trafiquants. « Ce phénomène ne peut exister que lorsqu’on dresse des barrières », a-t-il précisé. « C’est en investissant dans des procédures de contrôle que l’Europe a perdu la gestion de ses frontières extérieures. Celle-ci est désormais aux mains des trafiquants ».
« Chat et la souris »
« L’Europe ne gagnera pas la bataille de cette façon. C’est devenu un exemple du jeu du chat et de la souris. Si on veut coincer ceux qui vivent de ce trafic, il faut précisément abaisser les barrières et fournir de nouvelles voies légales pour l’immigration. Leur ‘secteur d’activité’ s’effondrera dès lors ».
« Répartition »
M. Crépeau plaide donc pour qu’une collaboration s’installe avec des pays tels que les Etats-Unis, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. « Des accords pourraient par exemple postuler que tous ces pays accueillent dans les 5 ans un million de réfugiés et déterminer leur ‘répartition’ entre chaque pays d’accueil. » Ce chiffre d’un million n’est pas exagéré, selon lui. « Il n’y a pas de perspective d’amélioration en ce moment en Syrie et en Erythrée, ces gens continueront donc d’affluer ». Il est en outre important, selon le rapporteur de l’ONU, d’insister sur le fait que le marché du travail des pays européens a besoin d’immigrants.
Mobilité
L’Europe devra donc investir dans la mobilité. « Actuellement, nous voyons que des Espagnols qui ne trouvent pas d’emploi dans leur pays partent chercher leur bonheur en Grande-Bretagne. Pourquoi ne pourrions-nous pas organiser un système similaire pour les immigrés? »
Conscientisation
François Crépeau a cependant reconnu que les choses avaient évolué dans le bon sens en Europe ces dernières années. « Par rapport à ma précédente visite en 2012, j’ai pu remarquer qu’on est plus conscient du problème et qu’on l’appréhende mieux. Je crois que le message a été compris », a conclu le rapporteur de l’ONU.
Source: 7sur7.be



Mais prenons le problème autrement, avec une vision différente qui se rapprocherait plus de la réalité, celle justement qu’il vaut mieux éviter de mettre en avant car elle serait mal considérée. Favoriser l’immigration de masse depuis des décennies influe sur l’économie des pays concernés qui doivent gérer et prendre en charge les nouveaux arrivants. Nous avons atteint un niveau délicat puisqu’à l’heure actuelle nombre de pays ne parviennent plus à assumer leur propre population, comme la Grèce, l’Espagne ou la France. Le nombre de chômeurs explose et il faut les indemniser, le nombre de SDF ne cesse d’augmenter, et il faut continuer à charger la mule, toujours plus…
Les pays affaiblis conjointement avec un système de dette illégal et illégitime (comme la loi de 1973 par exemple…) se voient contraints pour « survivre » d’accepter des accords pseudo-salvateurs qui vont pousser les pays à faire des sacrifices comme se séparer des « bijoux de familles », que cela soit le patrimoine ou les entreprises publiques, nous en revenons alors à la grosse escroquerie financière et à la mise en place du traité transatlantique que Sarkozy lui-même appelait le « Nouvel Ordre Mondial » dans ses discours.
Tout est lié, et l’ONU est avant tout un des bras armés des États-Unis tout comme l’est l’OTAN.
Cherchez toujours à voir les origines et non les conséquences afin de bien comprendre quelle est la réalité.
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