Puis, il enchaîne en lui demandant : « Allez-vous poser votre main gauche sur la Bible et jurer devant Dieu que vous avez marché sur la Lune ? »
Puis après un temps pendant lequel Neil Amstrong semble chercher une réponse, le journaliste renchérit : « Si vous avez vraiment marché sur la Lune, pourquoi ne jurez-vous pas ? »
Les deux protagonistes échangent quelques mots puis le journaliste offre 5 000 dollars à l’astronaute pour jurer sur la Bible qu’il a marché sur la Lune. Après avoir répété son offre plusieurs fois, essuyant refus sur refus, le journaliste est doucement repoussé par l’homme qui accompagne Neil Amstrong et ce dernier termine en lui disant : « Vous ne méritez pas que je vous réponde ».
Certes, la technique utilisée ici par le journaliste est très agressive et n’appelle pas spécialement au débat cordial, mais quand on connaît bien le sujet et toutes les zones d’ombre qui entachent ce prétendu séjour sur la Lune en 1969, on peut facilement imaginer que même dans des conditions beaucoup plus chaleureuses, Neil Amstrong ne jurera jamais sur la Bible qu’il a marché sur la Lune.
Simple petit rouage et surtout figure emblématique de cette escroquerie, l’astronaute Amstrong n’est qu’une épouvantail mis en avant pas la NASA pour porter symboliquement le visage et le nom de la marche sur la Lune.
Il faut se replonger dans le contexte un instant. Nous sommes en 1969, en pleine guerre froide entre le bloc communiste et le bloc capitaliste incarné surtout par les États-Unis. Une course à l’espace est lancée entre les deux blocs et c’est l’Union soviétique qui ouvre le bal en envoyant Spoutnik 1 et Spoutnik 2 dans l’espace en 1957, le second satellite cité hébergeant à son bord le premier être vivant de l’histoire à être envoyé dans l’espace : la chienne Laika.
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Il faudrait connaître et exposer sa position actuelle et passée vis-à-vis de la religion catholique, sinon ça n'a pas beaucoup d'intérêt.
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