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dimanche 9 février 2014

Livre numérique : Le gouvernement secret ,par William Cooper


le-gouvernement-secret-2492532*C’est avec plaisir que je vous offre la traduction du chef d’oeuvre de Milton William Cooper,mes amis.Bonne lecture!  Les signes sont de plus en plus nombreux.Les lumières dans le ciel apparaîtront rouges, bleues, vertes, rapidement.Quelqu’un vient de très loin et veut rencontrerles gens de la Terre.Les rendez-vous ont déjà eu lieu.Mais ceux qui ont vraiment vu se sont tus.Pape Jean XXII, 1935Page 2NDT : Ce document est une traduction d’un des plus intéressants chapitres du livre Behold a pale horse, écrit par l’américain Milton William Cooper et publié aux éditions Light Tecnology aux U.S.A. .Light Tecnology Publishing P.O. Box 1495, Sedona, AZ 86336 U.S.A.Voici une présentation rapide de l’auteur, compilée de sa propre petite auto-biographie disponible dans son livre,et agrémentée des commentaires du traducteur : Milton William Cooper, tout comme son père, a décidé de travailler dans l’armée. Après avoir débuté dans l’armée de l’air, William Cooper a continué sa carrière dans la Marine (la NAVY), dans un sous-marin d’abord, puis, il a été affecté sur un pétrolier, et peu après, au Vietnam lors de la guerre. Après quoi, il a été affecté à un travail de côte aux quartiers généraux du Commandeur en chef de la Flotte Pacifique.Il avait obtenu une autorisation au Secret lorsqu’il était dans l’armée de l’air, et il en avait eu besoin d’une pour les sous-marins. Il en a demandé une autre pour travailler dans l’unité administrative de la flotte et l’a obtenue. Il avait alors accès aux données militaires concernant la sécurité nucléaire, puis il lui a été accordé une autorisation Q d’accès aux documents Top Secret afin de travailler dans l’équipe de briefing des services de renseignement. C’est là qu’il a appris les informations qui l’ont conduit à une recherche de 18 ans, aboutissant à l’écriture d’un livre dont ce document représente un des chapitres les plus importants. Il lui a été plus tard donné une autre autorisation d’accès à la cryptographie pour endosser parfois la responsabilité de surveillance du centre de commande, en tant qu’opérateur SPECAT. C’est le jour où il a appris que le bureau des renseignements de la Marine avait participé à l’assassinat de J.F. Kennedy qu’il a décidé de quitter l’armée définitivement.Après avoir essayé de communiquer les informations qu’il détenait (à propos des OVNI, de l’assassinat de Kennedy, du gouvernement secret, des solutions 1,2, et 3, du nouvel ordre mondial,…) à un reporter en 1972,il a été attaqué par deux hommes en limousine qui ont réussi à le pousser du haut d’une colline, où ils l’ont laissé pour mort. Mais il a réussi à grimper la colline et a été secouru. Puis, un mois plus tard, il a été accidenté par la même limousine, accident dans lequel il a perdu sa jambe gauche. Les hommes de la voiture lui rendirent une visite à l’hôpital, lui déclarant que si il continuait, ils le tueraient la prochaine fois. Il leur dit qu’il ne ferait plus rien,et changea sa stratégie. Cela lui a pris 16 ans. Il a démissionné de l’armée en 1975 et dans sa vie civile, il a travaillé comme responsable dans des instituts de formation en photographie, après avoir obtenu un diplôme en photographie. En 1988, ayant lu un magasine qui parlait d’un document découvert par Moore, Shandera et Friedman, qui parlait des agissements cachés du gouvernement à propos des OVNI, Mr Cooper a décidé de rentrer dans l’arène, sachant que le document en question était un faux désignant une opération dont il avait lu,lorsqu’il était dans la Marine, qu’elle servirait à troubler le public, et sachant aussi que Moore et Friedman étaient des agents du gouvernement. Afin, cette fois-ci, d’assurer sa sécurité, il a rédigé ce document dans sa version originale du 23 mai 1989, qu’il a expédié à de très nombreuses personnes tout autour du monde, pour la somme de 27000$ de frais d’expédition (toutes ses économies).Depuis, Mr Cooper a pu constater qu’il était sous surveillance et il n’est pas le seul à le constater. De plus, des agents du gouvernement ont très souvent essayé de faire pression sur ses employeurs. C’est pourquoi Mr Cooper déménage souvent. Tout ce qu’il a dit, il aurait pu ne jamais le dire et vivre en paix, mais sa conscience l’a poussé à nous révéler ce qu’il savait pour que d’autres sachent aussi. Depuis, d’autres ont fait comme lui et la vérité apparaît au grand jour peu à peu.Aux U.S.A. , ces informations ont été l’objet de nombreux reportages, shows télévisés, radiodiffusés et d’articles dans de nombreux journaux et revues. Ce phénomène est aussi connu chez les américains qu’il est inconnu chez nous. Pourtant nous en avons parfois quelques aperçus à travers les films et téléfilm télévisés de «fiction » qui nous viennent des U.S.A.Quelques précisions avant d’entamer le documentIlluminati :Les illuminati constituent une société secrète qui existe depuis le 18ème siècle et qui possède depuisbien longtemps des membres disséminés à travers le monde dans de nombreux cercles d ‘influence. Cettesociété regroupe un ensemble de personnes qui, à travers le monde et depuis bien longtemps ont su et pu,grâce au soutien de quelques puissants, accéder à des postes importants, à partir desquels ils recrutent eux-mêmes des personnes dont les aspirations sont les mêmes. Le but de ces gens est l’instauration d’un NouvelOrdre Mondial à travers l’économie, la politique et la manipulation mentale et psychologique des populations.Conseil des Relations Etrangères (CFR en américain) :C’est une organisation privée composée d’hommes d’affaires exécutifs et de leaders politiques quiétudient les problèmes globaux et jouent un rôle clef dans le déroulement de la politique étrangère des USA. LeCFR est un des groupes semi-officiels les plus puissants qui s’occupent du rôle de l’Amérique dans les affairesinternationales.Ce qui est moins connu, c’est qu’il est contrôle par un groupe élu de personnes recrutées parmi dessociétés secrètes des universités de Harvard et de Yale : le Skull & Bones et le Scroll & Key (ce sont desassociations dans lesquelles sont admises certaines personnes de Harvard et de Yale, ayant passé à cette fincertains rythes initiatiques et certains cérémoniaux), qui sont elles-mêmes des branches de l’ordre des Illuminati.Ces personnes constituent le comité exécutif du CFR, après avoir été admis dans une société secrète du nomd’Ordre de la Quête, aussi connue sous le nom de société JASON (l’admission dans des sociétés secrètespermet aux Illuminati de s’assurer que leurs « recrues » sont en accord avec leurs objectifs).Le CFR contrôle le gouvernement des USA car ses membres (dont certains sont ignorants desmotivations du comité exécutif car tous ne sont pas des adeptes des Illuminati ou de leurs objectifs) ont infiltré àtravers les années toute la branche exécutive du gouvernement : le département d’état, le département de la justice, la CIA, et les militaires les plus hauts gradés. Jusqu’à présent, tous les directeurs de la CIA ont étémembres du CFR. La plupart des présidents en ont été membres depuis Roosevelt. Les membres du CFRcontrôlent la grande presse et la plupart des grands journalistes américains en sont membres. Le CFR est unesociété secrète au sens où elle interdit la prise de notes ou la divulgation d’une quelconque information à proposde ce qui se dit lors de ses meetings, sous peine d’exclusion. Son but est l’instauration du Nouvel Ordre Mondial.George Bush et Bill Clinton sont des membres de la CFR, pour ne citer qu’eux.Commission Trilatérale :La commission trilatérale est un groupe d’élite de quelques 300 hommes d’affaires, politiciens etdécideurs intellectuels les plus influents de l’Europe Occidentale, de l’Amérique du Nord et du Japon. Cetteentreprise est une agence privée qui travaille à la construction d’une coopération politique et économique entreles trois parties du monde précédemment citées. Son grand dessein, qui n’est plus caché depuis longtemps, estle Nouvel Ordre Mondial.La commission trilatérale a été créée en 1972 par le magnat de la banque américain David Rockefeller.La raison de sa création a été le déclin passager du pouvoir du CFR à cause de sa politique vis à vis de laguerre du Viet-Nam qui a mécontenté beaucoup d’américains. La raison de sa création est la même que celle quipousserait quelqu’un à faire courir 2 chevaux dans une même course : c’est de doubler les chances de gagner.Le pouvoir réel est toujours resté solidement dans les mains du CFR. La famille Rockefeller était, est et resteratoujours la bénéficiaire de ces 2 organismes.Groupe Bilderberg :Le groupe Bilderberg (du nom de l’hôtel où s’est tenu sa réunion de constitution en 1954) a été créé demanière à coordonner et contrôler les efforts internationaux des Illuminati en un gouvernement mondial dont il estle corps dirigeant. Ses membres dirigent les cercles intérieurs de la commission trilatérale dont le noyau dirigeanta été choisi lors d’un meeting du groupe Bilderberg en 1972, et les cercles intérieurs du CFR, mais aussi desgrands organismes internationaux tels l’ONU, le FMI, l’OMS,…Vocabulaire utilisé pour la traductionExtranéen :Néologisme créé à partir du latin « extraneus » (étranger) et désignant tout être ou toute réalité quin’appartient pas à la culture humaineAlienigène :Néologisme créé à partir du latin « alienigenus » (qui appartient à une autre race) et désignant tout être dont l’origine et le développement ne correspond pas à ceux des races évolutionnaires de l’humanité terrestre.PerspectivePlusieurs sources d’information ont été utilisées pour la rédaction de ce document. J’avais tout d’abordécrit ce document comme résultat de recherche. Il a été pour la première fois rendu public au Symposium duM.U.F.O.N. , le 2 Juillet 1989, à Las Vegas, dans le Nevada. La plupart de ces renseignements viennentdirectement, ou sont des résultats de ma recherche personnelle dans les documents TOP SECRET/MAJIC que j’ai vu et lu de 1970 à 1973 lorsque je faisais partie de l’équipe de briefing des services de renseignement duCommandeur en Chef de la Flotte Pacifique. Puisque quelques unes de ces informations proviennent de sourcesque je ne peux pas divulguer pour des raisons évidentes, et quelques autres de sources publiées desquelles jene peux répondre, ce document doit être formulé comme une hypothèse. Je crois sincèrement que si lesaliénigènes sont réels, ceci est un document décrivant la véritable nature des choses. C’est le seul scénario qui apu relier les différents éléments. C’est le seul scénario qui répond à toutes les questions et replace les diversmystères les plus importants dans un contexte qui leur donne un sens. C’est la seule explication qui montre leschronologies des événements et démontre que ces chronologies, lorsqu’elles sont assemblées, s’emboîtentparfaitement ensembles. Le plus gros de ce document est, je le crois, vrai, si les documents que j’ai vu dans laMarine sont authentiques. Quant au reste du document, je ne sais pas ce qu’il en est, et c’est pourquoi il doit êtreformulé en terme hypothétique. La plupart des preuves disponibles actuellement et des preuves historiques sonten accord avec cette hypothèse.Le gouvernement secretAu cours des années qui suivirent la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement des Etats-Unis futconfronté à une série d’événements qui allaient, au-delà de toute prévision, changer son avenir et, avec lui, celuide l’humanité entière. Ces événements étaient si invraisemblables qu’ils défiaient toute crédibilité. Le présidentTruman et son cabinet furent si stupéfiés qu’ils se trouvèrent virtuellement impuissants à leur faire face, alors quele pays venait tout juste de traverser la guerre la plus dévastatrice et la plus coûteuse de l’Histoire.Les Etats-Unis avaient gagné la course à l’armement nucléaire. Depuis qu’elle avait mis au point etmême utilisé la bombe atomique, cette nation se retrouvait la seule au monde à posséder une arme dont lapuissance pouvait réduire à néant tous ses ennemis et la planète elle-même. C’était une époque de grandeprospérité pour les Américains. Leur avance technologique et leur économie florissante leur offrait un enviablestanding de vie. Ils exerçaient une influence mondiale et déployaient la force militaire la plus vaste et la pluspuissante de l’Histoire. On peut donc aisément imaginer la consternation et l’inquiétude de l’élitegouvernementale quand celle-ci fut informée de l’écrasement, dans le désert du Nouveau Mexique, d’un astronefpiloté par des êtres à l’apparence d’insectes et de provenance absolument inconnue.De janvier 1947 à décembre 1952, pas moins de 16 astronefs s’écrasèrent ou furent descendus, sanscompter celui qui avait explosé dans les airs et dont rien n’avait pu être récupéré. On en retira 65 corps et un êtrevivant. Hormis l’appareil qui s’était désintégré dans l’atmosphère, treize de ces incidents se produisirent sur leterritoire américain, dont l’un en Arizona, onze au Nouveau-Mexique et un au Névada. L’un des trois autresécrasements eut lieu en Norvège et deux au Mexique. Les apparitions se firent si nombreuses qu’il devintimpossible de compter sur les services de renseignements existants pour effectuer une enquête sérieuse destémoignages probants ou démentir les affabulation.Un appareil fut découvert le 13 février 1948 sur une mésa près d’Aztec au Nouveau-Mexique et un autrede 30 m de diamètre le 25 mars suivant au terrain d’essai de White Sands. Au total, 17 corps furent extraits desdeux appareils. Mais l’élément le plus intrigant fut la découverte, à l’intérieur des deux astronefs, d’uneimportante banque d’organes, de toute évidence prélevés sur des êtres humains. Un sentiment de paranoïas’empara rapidement de tous ceux qui étaient «dans le secret» quand ils comprirent qu’un démon venait de leurdévoiler sa face monstrueuse. Aussitôt, l’affaire fut classifiée «plus qu’ultra-secrète» et scellée dans un coffre desûreté fermé à double tour. Même le projet Manhattan ne s’était pas vu imposer un tel silence pour sa sécurité.Ces événements allaient constituer par la suite le secret le mieux gardé de toute l’Histoire de l’humanité.En décembre 1947 fut mis sur pied le projet SIGN [ NDT : Signe ], lequel réunissait les hommes desciences les plus éminents d’Amérique pour étudier cette sordide affaire dans le plus complet mystère. Il semétamorphosa et, en décembre 1948, devint le projet GRUDGE [ NDT : Rancune ]. Une branche de celui-ci futbientôt créée sous le nom de BLUE BOCK [ NDT : Livre Bleu ]dans le but de diffuser des informations anodineset surtout biaisées. Seize volumes allaient sortir de ce projet. Les Equipes BLEUES furent formées pour repérerles astronefs écrasés et en récupérer les passagers, tant morts que vivants. Plus tard, sous le projet POUNCE [NDT : Ruée ], celles-ci devinrent les Equipes ALPHA.Durant ces premières années, l’Armée de l’air des Etats-Unis et la CIA exerçaient un contrôle absolu surle secret de cette affaire. En fait, la CIA avait d’abord été créée par décret présidentiel en tant que «Groupecentral de renseignements» pour s’occuper expressément du problème de la présence extranéenne. Par la suite,l’Acte de sécurité nationale fut voté et promut ce groupe au titre d’«Agence centrale de renseignements».Le «Conseil de sécurité nationale» fut établi pour superviser les organes de renseignements etspécialement ceux qui étaient rattachés à la question extranéenne. Une série d’ordres et de mémos émanant dece Conseil libéra peu à peu la CIA des limites de ce seul domaine et, lentement mais sûrement, finit par«légaliser» son action directe dans les affaires intérieures et extérieures sous le couvert d’activités quelconques.Le 9 décembre 1947, à la demande pressante des secrétaires Marshall, Forrestal et Patterson, ainsi qu’àcelle de Kennan, directeur du personnel des politiques de planification au Département d’État, le présidentTruman approuva le rapport NSC 4 concernant la «coordination des mesures d’information sur les services de renseignements étrangers». A la page 49 du livre 1 du «Rapport final de la Commission d’enquête sur lesopérations gouvernementales reliées aux activités de renseignements » – Sénat américain, 94e conférence, 2esession, rapport No 94755, 26 avril 1976 – le service des renseignements étrangers et militaires cite: «Cettedirective a donné au secrétaire d’Etat le pouvoir de coordonner les activités de renseignements destinées àcombattre le communisme ».NSC 4A – une annexe ultra-secrète de NSC 4 – chargeait le directeur de la CIA d’entreprendre desopérations de couverture psychologique afin de poursuivre les buts avancés par NSC 4, mais cette demandeinitiale ne définissait aucune procédure formelle quant à la coordination ou à l’approbation de ces opérations.L’annexe ne faisait qu’indiquer au directeur qu’il pouvait «entreprendre des actions indirectes s’il s’assurait, enliaison avec l’État et la Défense, que ces opérations étaient conformes aux politiques américaines. »NSC 4 et NSC 4A furent plus tard amendés sous NSC 10/1 et NSC 10/ 2 qui accordaient des possibilitésde couverture encore plus étendues, ce que prévoyait aussi la charte du Bureau de coordination des politiques(OPC). Ces deux articles allaient jusqu’à valider des pratiques illégales et des procédés en marge de la loi, pourautant que les responsables de la sécurité nationale en conviennent. La réaction ne se fit pas attendre. Aux yeuxdu personnel des renseignements, «tous les coups étaient bons». NSC 10/1 permit la création d’un comitéexécutif de coordination ayant pour fonction de réviser les propositions des projets secrets mais n’ayant pasmandat de les approuver. Ce groupe avait aussi pour tâche secrète de coordonner les projets concernant lesaliénigènes. Les directives NSC 10/1 et NSC 10/2 donnèrent lieu à une interprétation particulière du rôle desgouvernants. Elles semblaient sous entendre, en effet, que ceux-ci préféraient n’être mis au courant de rienavant que les opérations n’aient été accomplies avec succès.Une zone tampon s’installa donc entre le président et l’information. Si jamais des fuites venaient àdivulguer le véritable état des choses, le président serait donc automatiquement couvert par sa méconnaissancedes faits et se trouverait ainsi à l’abri de toute accusation. Mais, avec les années, ce tampon servit à tenir lesprésidents successifs dans l’ignorance la plus complète au sujet de la présence extranéenne ou, tout au moins,permit au gouvernement secret et aux agences de renseignements de filtrer les informations qu’ils voulaient bienleur transmettre. NSC 10/2 établit un comité d’étude formé de sommités scientifiques qui se réunissaient ensecret. Ce comité ne fut pas appelé MJ-12. Les grandes lignes de ses fonctions furent stipulées dans NSC 10/5,un autre mémo de la série NSC dont les ordres secrets préparèrent la venue en scène de MJ-12 quatre ans plustard.James Forrestal, le secrétaire à la Défense, commença à s’opposer au maintien du secret. Son grandidéalisme et sa ferveur religieuse l’amenèrent à pencher en faveur d’une diffusion publique de l’information.James Forrestal était aussi l’un des premiers kidnappés connus. Dès qu’il eut parlé du problème extranéen auxleaders de l’Opposition et à ceux du Congrès, Truman exigea sa démission. Forrestal exprima à plusieurspersonnes ses craintes à cet égard ainsi que son sentiment d’être surveillé. Il avait raison mais les autres neconnaissaient pas ces faits. Aussi interprétèrent-ils ses inquiétudes comme de la paranoïa. On prétendit plus tardqu’il souffrait de troubles mentaux. Il avait été interné au Centre médical de la Marine à Bethesda, bien quel’administration n’en avait pas le pouvoir. En réalité, Forrestal avait été interné pour être isolé et discrédité parceque l’on craignait qu’il n’ébruite la chose. Il n’était pas permis à sa famille et à ses amis de le voir. Finalement, le21 mai 1949, le frère de Forrestal pris une décision fatidique. Il informa les autorités qu’il avait l’intentiond’enlever James de Bethesda le 22 mai. C’est pourquoi, tôt le matin du 22 mai 1949, des agents de la CIA serendirent à sa chambre au seizième étage, nouèrent le coin d’un drap autour de son cou, en attachèrent l’autrebout au plafonnier et le jetèrent par la fenêtre. Le drap se déchira et Forrestal plongea dans la mort, devenantl’une des premières victimes de la conspiration du silence. Les carnets secrets de James Forrestal ont étéconfisqués par la CIA et ont été conservés à la Maison Blanche durant plusieurs années. Sous la pression dupublic, les carnets ont été finalement réécrits et publiés dans une version aseptisée. L’information des véritablescarnets a été plus tard fournie par la CIA sous la forme d’un livre à un agent qui l’a publiée sous la forme d’unefiction. Le nom de l’agent est Whitley Strieber et le livre est Majestic.Le passager qui a été trouvé errant dans le désert et rescapé de l’écrasement d’un astronef à Roswell en1949 fut nommé E.B.E., monogramme formé d’après la désignation proposée par le professeur Vannevar Bushet signifiant «Entité Biologique Extra-terrestre». E.B.E. avait tendance à mentir ou à répondre à sa guise. Onl’interrogea en vain pendant plus d’un an. Il préférât s’abstenir plutôt que de donner une réponse concluante. Il ne commença à s’ouvrir qu’à partir de sa deuxième année de captivité. L’information qu’il livra alors est pour lemoins saisissante. Celle-ci fut compilée dans ce qui est devenu par la suite le YELLOW BOCK [ NDT : LivreJaune ]. Des photographies d’E.B.E. ont été prises que, parmi d’autres, j’ai vu des années plus tard dans leprojet Grudge.Vers la fin de 1951, E.B.E, tomba malade. Le personnel médical fut impuissant à établir un diagnosticpuisque, d’une part, il ne possédait pas d’antécédents sur lesquels se baser pour le traiter et que, d’autre partl’organisme d’E.B.E. transformait les éléments nutritifs en énergie par photosynthèse, à la manière des plantes, àpartir de la chlorophylle, et rejetait aussi les déchets par la peau. Plusieurs experts ont été appelés pour étudiersa maladie, incluant des professeurs en médecine, des botanistes et des entomologistes. On fit appel à unbotaniste, le professeur Guillermo Mendoza, pour le soigner et l’aider à se rétablir. Le professeur Mendozas’efforça vainement de sauver E.B.E. jusqu’au 2 Juin 1952, quand il mourut. Le professeur Mendoza devintl’unique spécialiste en matière de ce type de biologie extranéenne. Le filmE.T.est l’histoire à peine voiléed’E.B.E.Les Etats-Unis avaient désespérément tenté de sauver E.B.E. pour gagner la faveur de ses congénèrestechnologiquement supérieurs en commençant, au début de 1952, à émettre un appel de détresse vers lesvastes espaces sidéraux. Ils ne reçurent aucune réponse mais, étant néanmoins de bonne foi, ils poursuivirentce projet, nommé SIGMA.Par un décret-loi secret du 4 novembre 1952, le président Truman créa la très secrète Agence desécurité nationale (NSA). Celle-ci avait pour objectif premier de décoder le langage des aliénigènes en vued’établir un dialogue avec eux. Cette tâche des plus urgentes s’inscrivait dans la suite des précédents efforts.L’objectif second de la NSA consistait à surveiller toute communication émise par n’importe quel appareil etprovenant de n’importe où sur terre, et ce dans le but de recueillir tout renseignement, tant humain qu’aliénigène,et de préserver le secret de la présence extranéenne. Le projet Sigma fut fructueux.La NSA maintient aussi, de nos jours, des communications avec la base LUNA et d’autres programmesspatiaux secrets. Par décret-loi, la NSA est au-dessus de toute loi qui ne spécifie pas nommément qu’elle estsujette aux prévisions de la dite loi. Cela signifie que, si le nom de cette agence n’est pas écrit dans le texte del’une ou l’autre loi votée par le Congrès, la NSA n’est pas concernée par cette loi. De plus, la NSA remplitbeaucoup d’autres fonctions qui, en fait, la situent en tête des agences de renseignements. De nos jours, la NSAse voit octroyer 75% des sommes allouées à l’ensemble des services de renseignements. Un vieux dicton ditavec raison: «Où va l’argent va le pouvoir». Le directeur de la Centrale de renseignements, quant à lui, n’est plusaujourd’hui qu’un homme de paille maintenu en poste pour berner la population. La fonction première de la NSAvise encore les communications avec les aliénigènes, mais elle s’est maintenant accrue de d’autres projets enliaison avec eux.Le président Truman avait tenu nos alliés – y compris l’Union soviétique – au courant desdéveloppements du problème extranéen. Il avait agi ainsi de peur que les aliénigènes ne se révèlent menaçantspour l’espèce humaine. On avait même dressé des plans de défense unifiée en cas d’invasion planétaire, mais ils’avéra difficile de garder un projet d’envergure internationale à l’abri de la curiosité normale des journalistes àl’égard des gouvernements. On jugea donc nécessaire de confier à une section indépendante le soin decoordonner et de contrôler les efforts internationaux. Le résultat fut la création d’une société secrète qui devintconnue sous le nom de groupe Bilderberg. Ce groupe a été constitué en 1952. Son nom vient de l’endroit dupremier meeting publiquement connu, l’Hotel Bilderberg. Ce meeting public eu lieu en 1954. Ses membres ontété dès lors surnommés les Bilderbergers. Le quartier général de ce groupe est à Genève en Suisse. LesBilderbergers se sont transformés en un gouvernement mondial secret qui contrôle maintenant absolument tout.Les Nations unies d’alors – comme de nos jours, d’ailleurs – ne sont qu’une farce monumentale à l’échelleinternationale.En 1953, la Maison blanche accueillit un nouveau président, un chef militaire entraîné aucommandement des hommes selon des structures hiérarchiques. Habitué à déléguer l’autorité, il préféraitgouverner en s’entourant de comités et ne prenait par lui-même une décision majeure que si ses conseillersétaient incapables d’en arriver à un consensus. Sa méthode habituelle consistait à envisager d’abord toutes lesalternatives en lisant tous les documents et en écoutant tous les avis concernant une affaire, puis à trancher la question en approuvant l’une ou l’autre des multiples propositions. Ses proches collaborateurs ont relaté que sonmot d’ordre se résumait le plus souvent à donner carte blanche dans des termes qui revenaient à dire que «la fin justifie les moyens». Il passait le plus clair de son temps sur les parcours de golf, ce qui n’a rien d’inusité pour unex-officier de carrière qui s’était élevé durant la dernière guerre au grade ultime de Commandant suprême desforces alliées. Ce président était le généralissime à cinq étoiles de l’armée américaine Dwight David Eisenhower.Au cours de l’année 1953 – sa première en poste -, au moins une dizaine d’écrasements de disquesfurent signalés, dont quatre en Arizona, deux au Texas, un au Nouveau-Mexique, un en Louisiane, un auMontana et un en Afrique du Sud, sans compter des centaines d’apparitions- Des trente aliénigènes qui furentrécupérés, quatre étaient encore en vie.Eisenhower comprit qu’il lui faudrait s’attaquer au problème extranéen et arriver à le résoudre seul, sansdevoir le révéler au Congrès. C’est pourquoi, au début de 1953, le nouveau président se tourna vers NelsonRockefeller, son ami et collègue au Conseil des relations étrangères, et lui confia la tâche d’ébaucher la structured’une section secrète qui aurait pour mission de superviser l’ensemble des intervenants reliés au phénomèneextranéen. C’est ainsi que fut conçue l’idée de MJ-12, qui allait prendre corps un an plus tard.C’était Winthrop Aldrich, l’oncle de Nelson Rockefeller, qui avait joué le rôle le plus important enréussissant à convaincre Eisenhower de briguer les suffrages à la présidence des Etats-Unis. Toute le familleRockefeller, et avec elle l’empire Rockefeller, avait très fortement soutenu Ike. Eisenhower appartenait corps etâme au Conseil des relations étrangères et à la famille Rockefeller. En requérant les services de Rockefellerpour s’occuper de la question extranéenne, Eisenhower commit la plus grande bévue de sa carrière, une erreurcapitale pour l’avenir des Etats-Unis et, fort probablement, du monde entier.Moins d’une semaine après son élection, Eisenhower nomma Nelson Rockefeller président d’un comitéconsultatif présidentiel sur l’organisation du gouvernement. Ce dernier était donc responsable de planifier laréorganisation de l’administration, chose dont il rêvait depuis des années. Les programmes de réforme furentcumulés en un seul portefeuille et représentés au Cabinet sous le nom de ministère de la Santé, de l’Educationet du Bien-être. Quand cette nouvelle fonction fut approuvée par le Congrès en avril 1953, Rockefeller se vitassigner le poste de sous-secrétaire d’Orveta Culp Hobby.Ce fut au cours de cette même année que des astronomes repérèrent dans l’espace des objets degrande dimension se déplaçant en direction de la Terre. Ils les avaient d’abord pris pour des astéroïdes maisl’évidence s’imposa bientôt qu’il ne pouvait s’agir que de vaisseaux spatiaux. Les radios du projet Sigmaréussirent à intercepter les communications transmises entre les astronefs, mais nul ne put décoder lesintentions réelles des équipages de ces immenses et nombreux vaisseaux qui, en arrivant à proximité de laTerre, se placèrent sur orbite géosynchrone à très haute altitude autour de l’équateur. Toutefois, lesresponsables du projet Sigma, de concert avec ceux du nouveau projet Platon – lequel avait mission d’établir desrelations diplomatiques avec les étrangers d’outre-espace -, mirent au point un système de signaux basé sur lelangage binaire des ordinateurs et purent ainsi établir un dialogue avec ces voyageurs de l’espace enprovenance d’une autre planète. Leur atterrissage fut convenu et donna lieu à une première rencontre dans ledésert. Le filmrencontre du 3ème type est une version fictive d’événements qui eurent réellement lieu. Un otagea été laissé chez nous en gage de leur retour pour signer un traité.Entre-temps, des extranéens d’une autre race – d’apparence humaine, celle-là – atterrirent à la baseaérienne de Homestead en Floride et purent communiquer fructueusement avec le gouvernement américain. Cegroupe nous mit en garde contre les initiatives de la race en orbite autour de l’équateur. Quant à eux, ils luiavaient plutôt offert d’aider l’humanité dans son développement spirituel mais, pour ce faire, ils avaient exigé dugouvernement qu’il commençât par démanteler son arsenal nucléaire. Ils avaient en outre refusé toutmarchandage technologique avec lui en raison de l’immaturité morale dont nous faisions manifestement preuve àl’égard des inventions que nous possédions déjà. Ces ouvertures de conciliation furent rejetées sur lesfondements que ce serait une folie que de nous désarmer face à un futur aussi incertain. D’un autre côté, leurdécision avait été d’autant plus difficile à prendre qu’ils ne pouvaient s’appuyer sur aucun précédent historique.Un troisième atterrissage eu lieu en 1954 à Muroc, dénommé maintenant base aérienne d’Edwards. Labase a été fermée pendant 3 jours et personne n’était autorisé à y entrer ou en sortir durant cette période. Les aliénigènes s’entendirent avec le gouvernement américain pour rédiger un traité dont les détails seraient discutéslors d’une rencontre ultérieure. L’événement historique fut soigneusement planifié et, Eisenhower s’arrangeapour être en vacances au même moment à Palm Springs. Au jour convenu, le président prétexta une visite chezle dentiste pour esquiver les journalistes et se rendre en catimini à un rendez-vous plus insolite. Les témoins del’événement avaient pu voir trois O.V.N.I. voler au-dessus de la base et atterrir. Les batteries antiaériennessuivaient un exercice d’entraînement et le personnel stupéfié a tiré sur les astronefs qui passaient au-dessusd’eux. Bien heureusement, les tirs ont manqué leurs cibles et personne n’a été blessé.Le président Eisenhower a donc rencontré les aliénigènes le 20 février 1954, et un traité formel entre lanation extranéenne et les U.S.A. a été signé. Le premier ambassadeur aliénigène à avoir jamais été reçu parnotre Etat fut présenté comme étant «Son Altesse toute-puissante Krlll» (prononcer Krill). Un titre aussi pompeuxne pouvait que provoquer les sarcasmes des Américains qui, fidèles à leur tradition anti-royaliste, eurent tôt faitde lui substituer secrètement un sobriquet, commençant par les mêmes lettres en anglais et signifiant «le tout-premier otage Krlll», car il était l’otage qui avait été laissé lors du premier atterrissage dans le désert. Peu aprèscette rencontre, le président Eisenhower eu une crise cardiaque.Quatre autres personnes étaient également présentes lors de cette rencontre : Franklin Allen des journaux Hearst, Edwin Nourse de l’institut Brookings, Gerald Light, du célèbre institut de recherchemétaphysique, et l’évêque catholique MacIntyre de Los Angeles. Leur réaction a été estimée comme unmicrocosme représentatif de la réaction que le public pourrait avoir. En se basant sur leur réaction, il a été décidéque le public ne devrait pas être mis au courant. Plus tard, des études ont confirmé cette décision.Une lettre chargée d’émotion et écrite par Gerald Light reflète bien sa réaction en ces détails froids : «Mon cher ami : je reviens tout juste de Muroc. Le rapport est vrai – terriblement vrai ! J’ai fait le voyage encompagnie de Franklin Allen du journal Hearst, d’Edwin Nourse de l’institut Brookings (ancien conseiller financierde Truman) et de l’évêque MacIntyre de Los Angeles (noms d’emprunt pour la présente, veuillez m’en excuser).Quand nous avons été autorisé à entrer dans la section à accès restreint (après environ six heures pendantlesquelles nous avons été vérifiés sous toutes les coutures possibles à propos de tous les événements, incidentset aspects de nos vies privées et publiques), j’ai eu le sentiment précis que le monde touchait à sa fin, avec unfantastique réalisme ; parce que je n’avais jamais vu autant d’êtres humains dans un état de confusion etd’effondrement aussi total parce qu’ils se rendaient compte que leur conception du monde avait vraiment pris finavec une telle irrévocabilité qu’elle en était indescriptible. L’existence de formes aériennes « autre-avions » estmaintenant et pour toujours révoquée du domaine de la spéculation et fait douloureusement partie de laconscience de chaque responsable scientifique et de chaque groupe politique. Durant mes deux jours là-bas, j’aivu cinq types distincts d’astronefs en train d’être étudiée et manipulée par nos officiels de l’armée de l’air – avecl’assistance et la permission des « Ethériens » !Je n’ai pas de mots pour exprimer mes réactions. C’est finalement arrivé. C’est maintenant une questiond’histoire. Le président Eisenhower, comme vous pouvez déjà le savoir, est arrivé en catimini à Muroc une nuit,SHAEF_Conference_02pendant sa visite à Palm Springs récemment. Et c’est ma conviction qu’il passera outre le terrible conflit entre lesdifférentes « autorités » et qu’il ira directement vers le peuple grâce à la radio et à la télévision – si l’impassecontinue plus longtemps. D’après ce que j’ai pu comprendre, une déclaration officielle au pays est en cours depréparation pour être délivrée vers la mi-mai ».Nous savons qu’une telle déclaration n’a jamais été faite. Le groupe du contrôle du silence a gagné lapartie. Nous savons aussi que deux vaisseaux de plus, pour lesquels nous n’avons aucun témoin, ont soit atterripeu après les 3 autres, soit étaient déjà en possession de la base avant l’atterrissage des 3 autres. Gerald Lighta mis le mot « Ethériens » entre guillemets pour attirer l’attention sur le fait que ces êtres pourraient avoir étéperçus comme des dieux par lui.Il est bon de préciser que l’emblème de ces aliénigènes est connu sous le nom d’insigne trilatéral. C’estcelui qu’ils affichent sur leurs vaisseaux et leurs uniformes. A noter aussi que ces atterrissages et la seconderencontre ont été filmés et que ces films existent toujours.Le président Eisenhower rencontra donc personnellement les aliénigènes et un pacte officiel fut signépar les deux chefs d’Etat au nom de leurs nations respectives. L’entente stipulait qu’aucune des deux parties nedevait s’immiscer dans les affaires de l’autre. En échange de notre engagement à préserver le secret de leurprésence, ils étaient prêts à nous fournir de la technologie de pointe et à aider à l’avancement de notre science.Ils ne signeraient de traités avec aucune autre nation terrestre. Sur une base périodique et limitée, ils pourraientenlever des êtres humains pour des raisons de recherche médicale et d’étude de notre développement, à lacondition expresse que ces sujets ne souffrent d’aucun préjudice et soient ramenés à leur point d’enlèvementsans garder le moindre souvenir de ces incidents. De plus, selon un calendrier fixe, les responsables extranéensdevraient fournir à Majesty douze une liste de toutes les personnes contactées ou kidnappées.Il fut convenu que chacune des deux races désignerait un ambassadeur pour résider à demeure dansl’autre nation aussi longtemps que le traité serait en vigueur. En outre, on se mit d’accord pour procéder à deséchanges culturels par le biais de stages d’études. Ainsi, pendant que seize «stagiaires étrangers» feraient leurapprentissage sur la Terre, seize des nôtres seraient en visite sur leur planète avant d’être relayés par unnouveau groupe au bout d’un certain temps. Une reconstitution de cet événement a été adapté dans le filmrencontre du 3ème type , un « tuyau » qui s’explique par le fait que le professeur J. Allen Hynek était le conseillertechnique du film. J’ai remarqué que le rapport Top Secret contenant la version officielle de la vérité à propos dela question extranéenne, intitulé projet Grudge, que j’ai lu pendant que j’étais à la Marine, avait pour coauteurs leLieutenant Colonel Friend et le professeur J. Allen Hynek, qui était cité comme étant un homme de la CIAattaché au projet Grudge – le professeur Hynek, celui qui a ridiculisé plusieurs incidents O.V.N.I. légitimes quandil travaillait comme membre scientifique du très public projet Blue Book. Le professeur Hynek est l’hommeresponsable de l’abominable phrase : «C’était seulement du gaz des marais ».On accepta aussi de construire, à l’usage des aliénigènes, des bases souterraines dont deux serviraientà des recherches conjointes et à des échanges de technologie. Ces bases extranéennes seraient construites surdes réserves indiennes aux quatre coins de l’Utah, du Colorado, du Nouveau-Mexique et de l’Arizona, et uneautre serait construite dans un lieu appelé Dreamland. Dreamland a été construite dans le désert Mojave près oudans un endroit appelé Yucca. Je ne me souviens plus si c’était Yucca Valley, Yucca Flat, ou Yucca ProvingGround, mais Yucca Valley est ce que j’ai toujours semblé vouloir dire. Plus d’observations d’O.V.N.I. etd’incidents ont lieu dans le désert Mojave de la Californie que dans n’importe quel autre lieu dans le monde ;tellement en fait, que personne ne s’est dérangé pour en faire des rapports. Quiconque s’aventure dans le désertpour parler aux résidents sera abasourdi par la fréquence de l’activité et par le degré d’acceptation démontré parceux qui ont fini par considérer les O.V.N.I. comme un phénomène normal.Toutes ces zones sont entièrement contrôlées par le Département naval, selon les documents que j’ai lu.C’est en effet la Marine qui émet la solde de chaque membre du personnel assigné à ces installations à traversun sous-traitant. Les chèques ne font jamais référence au gouvernement ou à la Marine. Les chantiers ontimmédiatement démarré mais n’ont progressé qu’au ralenti jusqu’à ce que d’importants subsides, en 1957,viennent relancer les activités conformément au projet YELLOW BOCK. Page 12Le projet REDLIGHT [ NDT : Feu Rouge ]fut mis sur pied en vue d’entreprendre au plus tôt les premiersvols expérimentaux à bord d’astronefs. Des installations ultra-secrètes furent construites au lac Groom, dans leNévada, à l’intérieur du rayon d’action des tirs d’essai, dans une zone qui porte pour nom de code zone 51. Nuln’est autorisé à y pénétrer, pas même le personnel, sans un sauf-conduit «Q» de la Marine et un laissez-passerapprouvé par l’administration (présidentielle, appelée Majestic), ce qui ne manque pas d’ironie si l’on songe quemême le président des Etats-Unis n’est pas autorisé à visiter le site. Quant aux échanges technologiques, ils sedéroulaient à la base extranéenne ayant pour nom de code Dreamland, sous terre, dans une portion souterrainedont le nom de code était «The Dark Side of the Moon» [ NDT : La face obscure de la Lune ]. Selon ladocumentation que j’ai lue, au moins 600 êtres aliénigènes résident finalement à plein temps dans ce lieu avecun nombre inconnu de scientifiques et de personnel de la CIA . En raison de la peur des implants, seulementcertaines personnes étaient autorisées à avoir des relations avec les aliénigènes, et ce personnel était etcontinue à être surveillé et contrôlé continuellement.L’armée fut chargée de former une organisation ultra-secrète qui assurerait la pleine sécurité de tous lesprojets liés à la technologie extranéenne. Cette section spéciale fut baptisée l’Organisation de reconnaissancenationale. Etablies à Fort Carson au Colorado, les équipes spécialement entraînées à sécuriser le projet furentappelées Delta. Le lieutenant Colonel James « Bo » Gritz était un commandant de la force Delta.De façon à étouffer les soupçons que les habitants de la région risqueraient d’avoir en apercevant desovnis Redlight, on créa un projet parallèle, celui des avions à réaction SNOWBIRD, fabriqués selon des procédésconventionnels et exhibés à maintes reprises aux journalistes. Le projet Snowbird avait également l’avantage dediscréditer, aux yeux de la population, les témoins d’authentiques appareils extranéens (O.V.N.I. pour le public,V.A.I. pour ceux qui sont dans le secret [NDT: Vaisseau Aliénigène Identifié]). À cet égard, il s’avéra unevéritable réussite puisque les témoignages de la part du public se sont faits plutôt rares jusqu’à ces toutesdernières années.Un fond secret de plusieurs millions de dollars fut constitué et gardé par le Cabinet militaire de la Maisonblanche. Ce capital servit à la construction de 75 installations profondément enfouies sous terre. Aux présidentsqui demandèrent à quel usage étaient destinées ces mises de fonds, on répondit qu’elles serviraient à leurcreuser de profonds abris souterrains en cas de guerre nucléaire. En fait, une très petite quantité était conçue àleur intention. Par contre, des millions de dollars étaient écoulés vers Majesty douze qui les redistribuait à desentrepreneurs pour l’excavation de bases ultra-secrètes, tant extranéennes que militaires, et les installations dela «Solution 2» à travers la nation. Le président Johnson se servit à même ce fond pour faire ériger une salle decinéma et paver la route de son ranch, sans avoir la moindre idée de l’objectif réel de ce trésor.C’est le président Eisenhower qui obtint du Congrès, en 1957, la création de ce fond secret en alléguantqu’il fallait «aménager et entretenir des abris secrets dans lesquels le président pourrait s’enfuir en cas d’attaquearmée». Ces «refuges présidentiels sécuritaires» consistent en de véritables cavernes creusées à uneprofondeur suffisante pour résister à une déflagration nucléaire et sont équipées des appareils decommunications les plus avancés. Mais la majeure partie de ce fond a plutôt servi au creusage des 75installations qui sont aujourd’hui disséminées sous le territoire américain. D’autre part, la Commission del’énergie atomique a ordonné la construction d’au moins 22 autres abris.Leur emplacement et toute question connexe sont traités sous le sceau du secret le plus absolu. LeCabinet militaire de la Maison blanche administre à lui seul la totalité des fonds impartis à ce programme et endistribue les parts suivant un réseau si complexe que même l’espion le plus habile ou le comptable le pluscompétent ne sauraient jamais reconstituer leur parcours pour en retracer la provenance ou en découvrir ladestination. En 1980, seuls les quelques individus placés au départ ou à l’arrivée de ce labyrinthe savaient à quelusage étaient consacrées ces sommes. A la position de départ, il y avait le représentant du Texas GeorgeMahon, président du Comité de crédit budgétaire et du sous-comité de la Défense à la Chambre, ainsi que lereprésentant de la Floride Robert Sikes, président du sous-comité au Crédit de la construction militaire à laChambre. De nos jours, des rumeurs laissent entendre que Jim Wright, speaker de la Chambre, contrôlerait lebudget du Congrès et qu’on se préparerait à le limoger par un coup de force. En bout de ligne, on retrouvait leprésident, Majesty douze, le chef du Cabinet militaire et un commandant au chantier naval de la Marine àWashington.Les fonds étaient libérés par le Comité de crédit qui les allouait au ministère de la Défense à titre deposte ultra-secret concernant la subvention du programme de construction militaire. L’armée ne pouvaitcependant pas dépenser cet argent puisque, en définitive, elle ne savait même pas à quoi il servait. C’est à laMarine, en fait, que revenait l’autorisation de le gérer. Elle commençait par le remettre à ses ingénieurs maritimesde la division de Chesapeake, qui n’en connaissaient pas davantage le but, ni eux ni même le commandant enchef, qui arborait pourtant le grade d’amiral. Un seul homme connaissait la raison d’être, le montant réel et ladestination finale de ce fond ultra-secret. C’était un commandant de la Marine assigné à la division deChesapeake mais qui, en réalité, était aux ordres du Cabinet militaire de la Maison blanche. En vertu du secretabsolu qui entourait ce capital, un très petit nombre d’individus en avait le contrôle. Il leur était donc d’autant plusfacile de faire disparaître jusqu’à la moindre trace de son passage. Ce fond ultra-secret n’a été soumis à aucunevérification comptable et ne le sera sans doute jamais.De fortes sommes furent transférées de ce fond à un autre à Palm Beach en Floride, dans une localitéappartenant à la Garde côtière et appelée Peanut Island. Or, cette «île aux Cacahuètes» est précisémentadjacente à un domaine qui appartenait à Joseph Kennedy. Lors d’un documentaire présenté à la télévision il y adéjà quelque temps sur l’assassinat de Kennedy, il avait été justement question d’un certain officier de la Gardecôtière qui aurait remis une mallette remplie d’argent, de la main à la main à la lisière des deux propriétés, à unemployé des Kennedy. S’agirait-il d’une indemnité versée aux parents pour la perte de leur fils? Toujours est-ilque ces versements ont continué sans interruption jusqu’à ce qu’ils cessent en 1967. Ils auraient prétendumentservi à des travaux d’embellissement et d’aménagement paysager, mais le véritable usage de cet argentdemeure encore inconnu, tout comme, d’ailleurs, le montant des fonds transférés.Entre-temps, Nelson Rockefeller fut encore muté. Il prit alors la place de C.D. Jackson qui avait occupéla fonction d’Adjoint spécial pour la stratégie psychologique. Sous Rockefeller, ce titre fut changé en celuid’Adjoint spécial pour la stratégie de la guerre froide. Ce poste évolua avec les années pour finalementcomporter les attributions qui étaient celles d’Henry Kissinger sous la présidence de Nixon. Le rôle officiel deRockefeller consistait à «fournir conseil et aide en vue de favoriser une meilleure compréhension et une plusgrande coopération entre tous les peuples». Cette description de tâche n’était toutefois qu’un écran de fuméepour dissimuler ses activités secrètes en tant que coordonnateur présidentiel des services de renseignements. Ilen faisait rapport directement au président, et uniquement à lui. Il assistait aux réunions du Cabinet, prenait partau Conseil sur la politique économique étrangère et siégeait au Conseil de sécurité nationale, la plus hauteinstance gouvernementale en matière d’élaboration des politiques.En vertu du décret NSC 5412/1 du mois de mars 1955, Nelson Rockefeller se vit en outre attribuer unautre poste clé, celui de chef du Groupe planificateur de la coordination. Cette unité secrète se prévalait desservices de personnes désignées selon les différents besoins à l’ordre du jour. Hormis Rockefeller, ce comité adhoc comptait à l’origine un représentant du ministère de la Défense, un autre du Département d’Etat et ledirecteur de la Centrale de renseignements. Cette unité fut bientôt appelée le «Comité 5412» ou le «Groupespécial». Le décret NSC 5412/1 établit une nouvelle règle concernant les opérations clandestines. Jusque-là, ledirecteur de la Centrale de renseignements avait pleine autorité sur leur exécution. Dorénavant, ces opérationsseraient soumises à l’approbation d’un comité exécutif.Déjà en 1954, par son décret-loi secret NSC 5410, Eisenhower avait précédé le décret NSC 5412/1 enconstituant un comité permanent – et non ad hoc – qui allait être connu sous le nom de Majesty douze – MJ-12 -et dont le rôle consisterait à superviser et à diriger les activités secrètes ayant rapport à la question extranéenne.Le NSC 5412/1 ne fut promulgué, en définitive, que pour détourner la curiosité du Congrès et de la presse.Majesty douze était composé par Nelson Rockefeller, Allen Welsh Dulles, directeur de la Centrale derenseignements, John Foster Dulles, secrétaire d’Etat, Charles E. Wilson, secrétaire à la Défense, l’amiral ArthurW. Radford, président du Comité interarmes des chefs d’état-major, J. Edgar Hoover, directeur du FBI [ NDT :Bureau fédéral d'investigation], six membres clés du comité exécutif du Conseil des relations étrangères,surnommés «les Mages»., six hommes du comité exécutif du groupe JASON, et le professeur Edward Teller[NDT: « Père » de la bombe H et directeur du laboratoire de Livermore, aux USA (spécialisé dans l’étude desradiations)].Le groupe JASON est un groupe scientifique secret créé au moment du projet Manhattan et administrépar la Miltre Corporation. Le cœur du Conseil de relations étrangères recrute ses membres parmi les anciens deHarvard et de Yale qui étaient sensés avoir passé l’initiation des « Skull and Bones » et « Scroll and Key » dutemps où ils fréquentaient ces universités. Les « mages » sont des membres clés du Conseil des relationsétrangères et sont aussi membres d’un « Ordre secret de la Quête » connu sous le nom de société JASON.Majesty douze est composé de 19 membres. La première règle de Majesty douze était qu’aucun ordrene pouvait être donné et qu’aucune décision ne pouvait être prise sans un vote majoritaire de ses douze plushauts personnages, donc Majorité douze. Les ordres édictés par Majesty douze sont devenus connus en tantque directives de Majorité douze.Le groupe se composa donc, au fil des années, d’officiers haut gradés, de directeurs et hautsfonctionnaires du Conseil des relations étrangères et s’accrut plus tard de membres de la commission trilatérale.Parmi eux se trouvaient George Dean, George Bush et Zbigniew Brzezinski. Au nombre des «Mages» les plusimportant et les plus influents, on comptait John McCloy, Robert Lovett, Averell Harriman, Charles Bohlen,George Kennan et Dean Acheson, dont les politiques allaient se poursuivre jusque vers la fin des années 70. Ilest intéressant de noter que le président Eisenhower de même que les six premiers membres de Majesty douzeissus du gouvernement, étaient aussi membres du Conseil des relations étrangères. Ceci a donné le contrôle del’un des groupes les plus secrets et les plus puissants dans le gouvernement à un club d’intérêt spécial qui étaitlui-même contrôle par les Illuminati.Des recherches approfondies permettront bientôt de découvrir que tous les « mages » n’étaient pas àHarvard ou à Yale, et que tous n’étaient pas choisis pour avoir été membre du Skull and Bones ou du Scroll andkey durant leurs années à l’université. Vous pourrez effacer rapidement ce mystère en obtenant le livre intituléThe Wise Men écrit par Isaac et Evan Thomas, chez Simon et Schuster, New York. Sous l’illustration #9 aucentre du livre, vous trouverez la légende : «Lovett, avec l’unité de Yale, en haut à droite, et sur la plage : soninitiation au Skull and Bones s’est faite sur une base aérienne près de Dunkerke ». J’ai découvert que lesmembres étaient choisis sur une base actuelle par invitation basée sur le mérite postuniversitaire et n’étaient pasexclusivement des membres de Harvard ou de Yale. A cause de cela, une liste complète des membres du Skulland Bones ne pourra jamais être obtenue des catalogues d’adresse du quartier universitaire de Russel Trust,aussi connu sous le nom de Confrérie de la mort, ou du Skull and Bones. Maintenant vous savez pourquoi il aété impossible de répertorier les membres, que ce soit par nombre ou par nom. Je crois que la réponse gît,cachée dans les fichiers du Conseil des relations étrangères, si ces fichiers existent.Quelques personnes choisies furent plus tard initiées dans la branche secrète de l’Ordre de la Quête,connue comme Société JASON. Ces personnes sont membres du Conseil des relations étrangères et à l’époqueétaient connues sous le nom d’Establishment de la côte Est. Ceci devrait vous donner une bonne idée de lasérieuse influence que peuvent avoir les associations universitaires occultes. La Société Jason se porte encoretrès bien de nos jours, mais elle compte aujourd’hui des membres de la Commission trilatérale. Cettecommission existait bien avant d’être rendue publique en 1973. Le nom de cette commission vient de l’insigneextranéen connu comme étant l’insigne trilatéral. Majesty douze a aussi survécu jusqu’à aujourd’hui. SousEisenhower et Kennedy, cette section fut appelée à tort le Comité 5412 ou, plus exactement, le Groupe spécial.Sous l’administration Johnson, elle devint le Comité 303 pour échapper aux allusions compromettantes dont ladénomination 5412 avait été la cible dans un livre intituléLe Gouvernement secret . L’auteur de ce livre avaiteffectivement été mis au courant du décret NSC 5412/1, mais cette fuite n’était qu’une habile manoeuvre dediversion pour encore mieux dissimuler l’existence du décret 5410. Sous les gouvernements Nixon, Ford etCarter, le comité porta le numéro 40 et, sous celui de Reagan, le numéro PI-40. Durant toutes ces années, seulel’appellation de cette section a changé.Dès 1955, il devint évident que les aliénigènes avaient abusé de la confiance d’Eisenhower et nerespectaient pas leur traité. On fit la macabre découverte, à travers tout le territoire américain, de cadavresmutilés non seulement d’animaux mais aussi d’êtres humains. On se mit alors à fomenter de sérieux doutes surl’intégralité des listes que les aliénigènes s’étaient engagés à soumettre à Majesty douze, et on suspecta le faitque tous les kidnappés n’étaient pas libérés. L’U.R.S.S. fut soupçonnée d’avoir engagé des relations avec lesaliénigènes, et cela s’est révélé être vrai. Les aliénigènes ont déclaré qu’ils auraient exercé et qu’ils continuaientà exercer un contrôle sur les masses par le biais de sociétés secrètes ainsi que par le truchement de la sorcellerie, de la magie, de l’occultisme et de la religion. Vous devez comprendre que ces déclarations pourraientaussi être une manipulation. En guise de représailles, l’aviation militaire s’engagea dans de nombreux combatsaériens, mais elle dut baisser pavillon devant la supériorité des extranéennes.En novembre 1955, le décret NSC 5412/2 établit un comité d’étude ayant pour tâche d’«explorer tous lesfacteurs pouvant contribuer à l’élaboration et à la réalisation des politiques étrangères à l’ère nucléaire». C’étaitseulement un nuage de fumée destiné à couvrir le réel sujet d’étude, la question extranéenne. Par un autredécret-loi secret – le NSC 5511 il – promulgué en 1954, le président Eisenhower avait ordonné à ce grouped’«examiner tous les faits, les évidences, les mensonges et les tromperies relativement aux aliénigènes afin d’endégager la vérité». Le NSC 5412/2 n’était qu’une façade devenue nécessaire pour dévier l’attention des journalistes qui commençaient à s’enquérir du but de ces réunions où se regroupaient tant de personnalitéspolitiques aussi importantes. Les premières rencontres eurent lieu en 1954 et furent appelées les rencontresQuantico car elles furent tenues à la base navale de Quantico, en Virginie. Le groupe d’étude réunissait 35membres du Conseil des relations étrangères, tous du groupe d’étude secret. Le professeur Edward Teller futinvité à y participer. Durant les dix huit premiers mois, le professeur Zbigniew Brzezinski tint le rôle de présidentd’étude et fut remplacé par le professeur Henry Kissinger, pendant une égale durée à partir de novembre 1955.Nelson Rockefeller y fit de fréquentes visites pendant les sessions d’étude

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4 commentaires:

  1. Le lien source ne fonctionne pas.

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  2. je n'ai pas trouvé la suite de l'article en suivant le lien Michelduchaine. Pourrais-tu préciser ce lien stp ou peut-être n'est-il déjà plus actif ? Merci

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  3. j'ai aussi repris ce texte sur un article de mon compte facebook (dont je ne propose la lecture qu'à qq personnes seulement) en remettant les espaces là où ils manquaient et en tentant de repositionner qq paragraphes aussi. Si tu veux je peux te l'envoyer avec ces qq corrections de surface si ça te semble utile et t'évite d'y passer du temps... (yvanyum@yahoo.fr)

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    1. Ça c'est une suggestion géniale car cet article a bien besoin d'être aéré un peu, la lecture en est très ardue ... Belle générosité de ta part, Anonyme. :-)

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