Cet article pourra choquer certains de par ses révélations mais il est du devoir de chacun de chercher la vérité même si elle est difficile à supporter (et le lecteur est invité à vérifier la véracité des propos de cet article bien entendu).
Derrière les raisons officielles du retrait du pape Benoît XVI se cache un jeu terriblement ténébreux qui agite depuis déjà plusieurs générations les couloirs du Vatican. Il faut remonter au XIXème siècle pour comprendre ce qui se passe réellement derrière les rideaux de la cité vaticane et derrière le sommet de la hiérarchie catholique.
Le carbonarisme (ou charbonnerie) était une société secrète de type maçonnique au dix-neuvième siècle. Elle était organisée en loges appelées « ventes » et dirigées par une Vente Suprême ou Haute Vente. L’objectif du carbonarisme était celui de toutes les sectes : la destruction de la religion catholique. Le Vatican réussit à percer les mystères de la charbonnerie, notamment en saisissant des instructions de la Haute Vente, nommée aussi Alta Vendita. Ces papiers tombèrent entre les mains de Grégoire XVI et le document fut publié à la requête du Pape Pie IX par Jacques Crétineau-Joly dans son livre: « L’Eglise Romaine en face de la Révolution » »en 1859. L’instruction reproduite ci-dessus atteste de la perfidie de la secte, qui avance masquée sous une peau de mouton. « La Maçonnerie combat à outrance la religion et l’Église de Jésus-Christ. […] Le premier cri de la Maçonnerie c’est guerre à l’Église. […] Notre but final est celui de Voltaire et de la Révolution française : l’anéantissement à tout jamais du catholicisme et même de l’idée chrétienne qui, restée debout sur les ruines de Rome, en serait la perpétuation plus tard […] Écrasez l’ennemi quel qu’il soit, écrasez le puissant à force de médisances ou de calomnies; mais surtout écrasez-le dans l’œuf. C’est à la jeunesse qu’il faut aller; c’est elle qu’il faut séduire, elle que nous devons enchaîner sans qu’elle s’en doute, sous le drapeau des sociétés secrètes. Pour avancer à pas comptés, mais sûrs, dans cette voie périlleuse, deux choses sont nécessaires de toute nécessité. Vous devez avoir l’air d’être simples comme des colombes, mais vous serez prudents comme le serpent. Vos pères, vos enfants, vos femmes elles-mêmes doivent toujours ignorer le secret que vous portez dans votre sein. Vous savez que la moindre révélation, que le plus petit indice échappé au tribunal de la pénitence ou ailleurs, peut entraîner de grandes calamités et que c’est son arrêt de mort que signe le révélateur volontaire ou involontaire. […] Or donc, pour vous assurer un pape dans les proportions exigées, il s’agit d’abord de lui façonner, à ce pape, une génération digne du règne que nous rêvons.»
Cette infiltration n’est donc pas nouvelle car elle démarra dès le XIXème siècle et l’influence sur le pape et ses collaborateurs non plus. Elle se sent surtout lorsque l’Église catholique opère des changements importants en son sein. Ainsi le Concile Vatican II a ouvert certaines portes que les conservateurs n’ont pas voulu accepter. L’aggiornamento [adaptation au monde moderne] « pour amener le Christ au monde », concept au départ si salutaire, a parfois défiguré cette Église, l’ouvrant à des courants libertaires.
Les gouvernements et l’élite mondiale influencent ainsi les cardinaux avant un conclave pour qu’ils votent en faveur d’un pape qui leur soit favorable.
Cette influence extérieure ne se limite au choix d’un pape mais débouche dans certains cas sur la mise en place de doctrines ou pratiques qui déstabilisent l’Église ou même la mine. La pire des doctrines, le satanisme, a même fait son entrée dans le Vatican comme l’explique l’exorciste du Vatican, Gabriele Amorth. Il révèle que certains cardinaux se soumettent à la pratique du satanisme et que le pape en est au courant [1]. Paul VI avait bien dit que « la fumée de Satan » était bel et bien entrée dans l’Église.
Selon le père Malachi Martin (également exorciste), ayant travaillé de nombreuses années avec les papes Jean XXIII, Paul XI et Jean Paul II, qui a publié de nombreux ouvrages sur la vie réelle dans le Vatican et notamment sur la dimension luciférienne, l’influence ténébreuse s’est confirmée en 1963 avec la célébration de la messe noire dans la Basilique Saint-Paul. Il décrit en détail cette messe noire réservée aux initiés dans son livre « Windswept house – A Vatican Novel » [2].
Ancien préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, Benoît XVI peut être considéré comme un conservateur et il est évident qu’il a voulu restaurer certaines traditions perdues et voulu purifier l’Église. Le rapprochement avec les traditionnalistes de la Fraternité Saint Pie X en est la preuve. Les francs-maçons de tout le monde furent d’ailleurs surpris par sa nomination en tant que pape et tous les titres des journaux détenus par l’élite maçonne accueillaient l’élection avec réserve voire critique.
Benoît XVI a donc sans aucun doute dû faire face dès le début à beaucoup de contestataires au sein de la Curie et au sein de la hiérarchie. D’abord avec le scandale de la pédophilie qui a fait surface sous son pontificat (alors qu’elle aurait pu être dénoncée sous des pontificats le précédant), le scandale de l’argent blanchi et les difficultés financières du Vatican que cela a généré (notamment l’arrêt des paiements par cartes bancaires au Vatican), ainsi que tous ses discours déformés lors de ses déplacements à l’étranger. La dernière affaire Vatileaks avait démontré des tensions au sein de la Curie et des résistances fortes face au désir du pape d’offrir plus de transparence sur le fonctionnement du Vatican. Notamment en ce qui concerne les finances de l’Église Catholique.
Son voyage en 2011 en Allemagne où beaucoup de prélats refusèrent de lui serrer la main illustre parfaitement cette ambiance malsaine [3]. Ces divisions attisées par le malin, Satan, montre combien il est donc à l’œuvre dans l’Église Catholique (comme dans les autres églises par ailleurs).
Benoît XVI a d’ailleurs insisté dans son discours le mercredi des cendres à la Basilique Saint-Pierre sur l’effet des divisions dans l’Église comme pour expliquer plus clairement, à qui veut bien l’entendre son choix [4]. « Je pense en particulier aux fautes contre l’unité de l’Église, aux divisions dans le corps ecclésial » déclarait-il.
Sa rencontre avec l’Ordre des Chevaliers de Malte dans la matinée du 11 février (2 jours avant sa déclaration de résignation), et le privant d’aller aux obsèques du cardinal Giovanni Cheli devait être d’une importance capitale, comme le révèle Dr. Robert Moynihan, éditeur du magazine « Inside the Vatican ». Le rôle du pape noir, ou Supérieur général de la Compagnie de Jésus (ordre des jésuites), très lié aux Chevaliers de Malte dans le monde n’est plus à démontrer (tous les hauts responsables de l’ONU, des États-Unis, de l’OTAN le reçoivent et l’écoutent avec attention) et celui avec le pape laisse encore des zones d’ombre. Il est très probable qu’il fut aussi présent lors de cette rencontre. S’il n’est pas certain que le pape soit aux ordres du pape noir, il est clair que cette rencontre a été importante dans le processus de décision du pape [5].
Sans doute Benoît XVI a-t-il préféré le retrait à la mort. Car des menaces de mort avaient déjà été annoncées au sein même de l’Église Catholique à son sujet [6]. « Un groupe de cardinaux s’est mis en mouvement avec un objectif double et ambitieux : la prise de la secrétairerie d’État, puis la conquête du conclave avec un pape choisi dans leurs rangs », écrivait alors « la Repubblica ».
Selon les documents de Vatileaks, la Curie est divisée en clans ennemis qui font référence respectivement aux cardinaux Bertone, Sodano et Bagnasco. Les factions s’affrontent au détriment du bien de l’institution. Scandales financiers, comme ceux qui se multiplient au sein de l’IOR, la banque du Vatican, et sexuels, comme l’accusation d’homosexualité portée contre Dino Boffo, le directeur de l’Osservatore Romano : tout est bon pour délégitimer l’adversaire. Et la parole du pape n’est plus écoutée. Ainsi Benoît XVI n’est-il même pas arrivé à imposer la transparence au sein de l’IOR, accusé de blanchir des capitaux illicites. L’abdication de Benoît XVI apparaît donc comme un geste extrême de rupture avec le système gangrené. Quelques semaines seulement avant de devenir pape, Joseph Ratzinger avait dénoncé « la saleté dans l’Église » [7].
Certaines prophéties ont déjà annoncé que Benoît XVI serait le dernier pape avant un pape qui allait accompagner l’Église catholique au sein de la tribulation avant la parousie (Retour du Christ). Notamment selon la prophétie qui est attribuée à Malachie, ou saint Malachie. [8] Benoît XVI serait le dernier pape avant celui de la Grande Tribulation de la « Fin des Temps » avec l’Antichrist. De plus l’ésotérisme chrétien indique que le successeur de Benoît XVI serait luciférien, voire qu’il ne serait pas élu « régulièrement » lors d’un conclave. Les semaines et mois à venir vont nous mettre en évidence si tout ceci est vrai.
On peut tout de même déjà constater que Saint Malachie décrit le futur « faux » pape par « Pierre le Romain ». Or Benoît XVI quittera ses fonctions officiellement le 27 février sur la place Saint Pierre [9], jour précédent la Saint Romain [10]. On peut également constater que si l’annonce officielle du départ du Pape a été faite le lundi 11 février (le 11 étant un nombre très apprécié par « certains » cercles et le 11/2 soit 112 étant le numéro correspondant à « Pierre le Romain » dans la prophétie de Saint Malachie), la décision définitive de Benoît XVI a certainement été prise en prière le « dimanche » 10 février « jour du Seigneur ». Or le 10 février était le jour du nouvel an chinois, celui du « serpent » qui symbolise Satan dans la Bible …
On peut bien entendu penser à de simples coïncidences mais pour les croyants, il est également possible de penser à des signes servant à avertir ou à confirmer ce qui est déjà acquis pour beaucoup : l’imminence d’années extraordinairement difficiles pour l’humanité, la « Fin des Temps » (qui n’a jamais signifié « fin du monde »).
Il est aussi étonnant de savoir que l’élection du nouveau pape se fera à l’époque où la comète C2011/L4 comète baptisée « PANSTARRS » en référence au dieu « PAN », ennemi de l’Église catholique, symbole du diable, qui fait perdre son humanité à la foule, sera visible. Certains pourront alors penser que cette nouvelle étoile guidera les nations vers le nouveau prince. Le Vatican est d’ores et déjà prêt à suivre cet astre depuis son observatoire sur le Mont Graham en Californie, grâce à son télescope nommé Lucifer (oui vous avez bien lu !), après avoir investi des millions de dollars pour ce projet [11], [12].
D’autres prophéties comme celle de Garanbal [13] et celle de Notre Dame de Salette : « Rome perdra la Foi et deviendra le siège de l’Antéchrist ! » sont très intéressantes. La dernière partie du message de Fatima (conservée secrète) est elle aussi prophétique. Même si ces prophéties sont à prendre avec précaution, il s’avère qu’une partie s’est déjà confirmée.
De plus, certains signes viennent confirmer cette théorie. L’éclair tombé sur la Basilique Saint Pierre (symbole des fondations de l’Église catholique), qui plus est, diffusé par la BBC comme signe de rapatriement pour tous les francs-maçons, quelques heures après la déclaration du pape, reste une coïncidence troublante [14]. De même, juste après le discours de Benoît XVI, les paiements par carte dans le Vatican étaient à nouveau autorisés, comme par levée d’embargo ! [15]
Cette résignation, conséquence des efforts des « dominations, des autorités, des princes de ce monde de ténèbres, des esprits méchants dans les lieux célestes » comme le dit Paul dans sa lettre aux Éphésiens, ne doit pas effrayer. Car cette bataille spirituelle était prévue dans la Bible et l’Histoire ne s’arrête pas là. Car Dieu promet un monde meilleur et un festin éternel pour ceux qui croient en Lui et en Son Fils unique Jésus-Christ, mort et ressuscité pour nos pêchés. Un Grand Vainqueur qui reviendra régner à la Fin des Temps. Il s’agit donc d’une lumière claire et puissante derrière des nuages.
Pour en savoir plus sur le pouvoir temporaire du prince de ce monde et de ses mensonges et sur l’espoir qui existe malgré cet aspect inquiétant, le livre de Daniel Peyron « De la Dictature du Mensonge à la Libération » pourra éclairer ceux qui cherchent à comprendre le monde tel qu’il est et le plan de Dieu Créateur de ce monde qu’Il ne laisse pas tomber.
[4]http://www.catholicherald.co.uk/news/2013/02/13/full-text-of-benedict-xvis-general-audience-address/
[7]http://www.lepoint.fr/societe/les-veritables-raisons-du-renoncement-de-benoit-xvi-14-02-2013-1627180_23.php
[9]http://www.dhnet.be/infos/monde/article/424581/benoit-xvi-fera-ses-adieux-aux-fideles-le-27-fevrier.html
[11]http://www.astronomy.com/en/sitecore/content/Home/News-Observing/News/2010/04/LUCIFER%20allows%20astronomers%20to%20watch%20stars%20being%20born.aspx
Source trouver:
Pleinsfeux
Le Vatican est d’ores et déjà prêt à suivre cet astre depuis son observatoire sur le Mont Graham en Californie, grâce à son télescope nommé Lucifer (oui vous avez bien lu !)... : wikipedia de LUCIFER (atronomie) : "Il est à noter que sur le même site, se trouve le télescope du Vatican (Vatican Advanced Technology Telescope qui fait partie de l'observatoire du Vatican. Le nom de LUCIFER est probablement un sigle en rapport avec cet autre observatoire..."
RépondreSupprimertrès bon article , juste un point de désaccord sur le fait que Benoit 16 soit victime.Benoit 16, tout comme Jean-paul 2, Paul 6 et jean 23 ,est un infiltré.
RépondreSupprimerCette infiltration à été croissante et Benoit 16 représentais la dernière marche de l'apostasie.
Benoit 16 à écrit de nombreux livres avant d'être pape, ce qu'on y trouve dedans est surprenant! voir l'analyse ici -->http://www.youtube.com/watch?v=MjTcHvSRAhU
Depuis paul 6, les "papes" qui se sont succèdes ont tous été franc-maçon, Benoit 16 n'y à pas fait exception.
Un vrai pape serait resté jusqu’à la MORT sur le trône de saint-Pierre
Interview avec Malachi Martin, l’ancien conseiller du fameux Cardinal Jésuite Augustin Beavarious et des papes Paul VI à Jean Paul II. Malachi témoigna du meurtre du Pape Jean Paul Ier. Il aurait été empoisonné en buvant une flûte de champagne qui lui aurait été donnée par un membre du clergé aujourd’hui décédé et du Secrétariat d’état du Cardinal Villot. Malachi confirme ici qu’au Vatican, certains religieux s’adonnent au satanisme !
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=stMgtPH8S-A
D'autre part, pour LUCIFER, voir l'explication ici en fin de billet :
http://effondrements.wordpress.com/2012/09/17/autres-temoignages-confirmant-la-venue-du-grand-monarque/
...Ce qui signifie le porteur de lumière, celui qui offre la lumière des étoiles ! Celui qui va donner la réponse ! Malheureusement, les gens non latinistes ont surtout retenu un autre sens, celui de l’ange déchu. Ils ne doivent pas réciter souvent le vendredi, l’hymne des laudes, où Lucifer est ici l’étoile du matin.....