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mardi 3 janvier 2012

Des lumières de rue utilisées pour faire de la surveillance civile: George Orwell n'y avait même pas pensé!

Des lumières de rue sont installées dans les villes américaines pour non seulement permettre au Département de la Sécurité Intérieure (DHS) d'émettre des messages d'urgence et d'effectuer de la surveillance vidéo, mais aussi pour enregistrer les conversations des gens.




Ces lampadaires intelligents se retrouvent, jusqu'à maintenant, dans la ville de Détroit, Chicago et Pittsburgh. Ils sont présentés comme des mesures de protection, de surveillance, parce qu'ils sont reliés à un système d'alerte du DHS. Ils enregistrent tant les images que les sons. Le propriétaire de l'entreprise, Ron Harwood, a été accusé de travailler de concert avec le Homeland Security et de mettre en place un réseau de haute technologie relié via un puissant système wi-fi.

Harwood a déclaré que les lumières de rue vont nous faire sentir plus en sécurité et plus heureux car ils représentent la manière dont les entreprises et le gouvernement peuvent travailler ensemble pour créer des avantages économiques, environnementaux et sociaux!!!

Selon lui, cette technologie n'est pas une menace à la vie privée puisque leur existence est rendue publique.

Ces lampadaires de surveillance portent un potentiel d'espionnage sans limite, comme font les caméras de surveillance en Angleterre où des ordres peuvent être donnés via des haut-parleurs pour dire aux gens de ramasser leurs déchets ou de quitter la zone.

Selon un rapport, toutes les villes américaines pourraient accueillir les "Intellistreets" d'ici le printemps 2012.

La loi de détention illimitée sans procès signée par Obama, les camps de la FEMA et ces lampadaires intelligents, tout y est pour la dictature, pour une société orwellienne.

Source: Conscience-du-peuple

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