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mercredi 4 août 2010

l’Erreur de Darwin : l’effondrement de la théorie de l’évolution par la science ? - partie 2


“La science n’a pas besoin de l’hypothèse Dieu pour avancer ; la foi n’a pas besoin de la science pour entrer dans la réalité dvine ; mais l’homme a besoin des deux… pour se parachever.” (Serge Tarassenko, physicien nucléaire)


“D’une connaissance du travail de Dieu viendra la conaissance de Dieu”. (Robert Boyle, père de la chimie moderne)

Vaste débat peu médiatisé qu’est celui des origines de l’Homme. D’un côté l’évolutionnisme, de l’autre le créationnisme. Pourtant, ce débat est d’une importance capitale dans un monde en perte de repère, puisque tout le sens et le but de la vie pourrait en dépendre. Mais encore faut-il s’y pencher sérieusement, travailler son esprit critique et outrepasser le cloisonnement de la pensée unique afin d’en saisir la véritable profondeur.

D’un côté la foi, de l’autre la science. Nous avons malheureusement tendance à oublier un peu vite que la foi et la science peuvent être intimement liés et complémentaires. L’un n’exclut pas l’autre. La version officielle, admise, médiatisée et enseignée dès notre plus jeune âge dans nos écoles est celle de l’évolution. Alors, comme à l’accoutumer sur prisedeconscience, nous allons explorer l’autre version des faits, celle que les médias passe sous silence et nous verrons pourquoi ces grandes vérités sont occultés. En faisant passer un examen à la théorie évolutionniste à la lumière de la science, nous constaterons les nombreuses lacunes, faiblesses, mensonges et dissimulations de cette théorie, qui pourrait priver l’homme d’une connaissance libératrice. Avec cette nouvelle vision, chacun pourra naturellement en déduire si oui ou non le créationnisme est viables. Pas question ici de sombrer dans les dangers de l’obscurantisme, le religieux ou le sectaire. Ces vidéos et cet article permettent d’aborder d’un point de vue scientifique la vaste question de nos origines et pourra pourquoi pas ouvrir certains coeurs à une vérité ayant le pouvoir d’impacter positivement leur vie. Comme d’habitude, à vous de peser le pour et le contre, de vous faire votre propre opinion et de travailler votre esprit critique. Il y a la version officielle des origines de l’homme, voici maintenant l’autre version, celle qui pourrait bien ouvrir la porte de nos consciences. En effet, si l’idée du créationnisme est viable, il y aurait donc un créateur que chacun serait en mesure de découvrir et de rencontrer à condition d’abandonner tout préjugé… Cette supposition dépasse largement le cadre de cet article et même de l’ensemble de ce site et ne sera donc pas aborder tant il soulève de questions, de mystère et de passions.

Commençons par une simple question : qui est Darwin ?

Charles Robert Darwin qui a établi la théorie de l’évolution ou « l’évolution par la sélection naturelle » était un naturaliste amateur qui n’avait jamais reçu une formation académique en biologie. Il s’intéressait en tant qu’amateur à la nature et aux êtres vivants.

Impressionné par diverses espèces d’êtres vivants, particulièrement certains pinsons qu’il avait vus dans les îles Galápagos, il a pensé que la diversité de leurs becs était le résultat d’une adaptation à leur milieu naturel. Avec cette idée en tête, il a supposé que l’origine de la vie et des espèces résidait dans le concept de “l’adaptation à l’environnement”. Selon lui, les divers êtres vivants n’étaient pas créés séparément par Dieu mais descendaient tous d’un ancêtre commun et sont devenus différents les uns des autres à cause des conditions naturelles.

L’hypothèse de Darwin ne reposait sur aucune découverte ni expérience scientifique. Il était lui même, parfaitement conscient que sa théorie recouvrait plusieurs grandes lacunes et anomalies. Il en a fait la confession dans le chapitre “Les difficultés de la théorie” de son livre. Ces difficultés concernaient, en premier chef, les archives fossiles, des organes complexes d’êtres vivants qui ne peuvent pas être expliqués par la coïncidence.

Le niveau primitif de la science à l’époque de Darwin (XVIII éme siècle) telles que la génétique, la microbiologie, la biochimie et d’autres n’existaient pas encore. Si celles-ci avaient été découvertes avant que Darwin ne construise sa théorie, ce dernier n’aurait sans doute pas osé avancer ses hypothèses. L’information déterminant les espèces existe déjà dans les gènes et il est impossible à la sélection naturelle de produire de nouvelles espèces à travers l’introduction de changements dans les gènes. S’il avait connu les sciences d’aujourd’hui, Darwin aurait compris que pas la moindre protéine n’aurait pu exister par hasard, encore moins une cellule toute entière. A cette époque la structure et des fonctions de la cellule n’étaient connues que superficiellement, le microscope à électrons n’était pas conçu.

Charles Darwin avança sa théorie dans son livre L’origine des espèces, publié en 1859. Il avoua plusieurs points qui l’embarrassaient dans le fameux chapitre « les difficultés de la théorie », et espérait que ces problèmes seraient résolus dans le futur. Ce souhait, cependant, n’a abouti à rien.

Les fossiles, de nos jours, ont produit des résultats différents des attentes de Darwin. Il pensait que ses successeurs finiraient par trouver les formes intermédiaires expliquant les transformations lentes et régulières des espèces (gradualisme). Au contraire, les faits révélèrent que d’innombrables êtres vivants n’avaient subi aucun processus d’évolution, qu’ils étaient restés identiques pendant des millions d’années, conservant leurs nombreuses caractéristiques complexes.

Deux exemples parmis des milliers :

- Un fossile d’ophiure de 150 millions d’années montrant que les échinodermes n’ont absolument pas changé depuis des millions d’années.

- Un fossile de tortue de 120 millions d’années est la preuve que les tortues ne descendent pas d’autres êtres vivants, qu’elles n’ont jamais subi des étapes intermédiaires de transformation et qu’elles présentent la même structure depuis des millions d’années.

Les formes intermédiaires sensées porter les caractéristiques de deux espèces différentes n’ont jamais existé à aucun moment. Le manque de formes intermédiaires c’est-à-dire la stagnation n’appuient en rien la conception d’évolution graduelle préconisée.

Pour faire face à cette situation infirmant la théorie de l’évolution, les successeurs de Darwin firent d’énormes efforts pour détecter dans les archives fossiles des exemples de l’évolution lente et graduelle qu’il prévoyait. Leur objectif était de prouver que Darwin avait raison, de démontrer que les fossiles de son époque étaient réellement insuffisants et de dénicher des exemples de formes intermédiaires, preuves de l’évolution des êtres vivants.

Cependant, en 1980, les défenseurs de la conception de l’évolution, relevaient que l’histoire de la plupart des espèces fossiles présente deux caractéristiques particulièrement incompatibles avec le gradualisme proposé par Darwin.

1) La stabilité ou « stase » : la plupart des espèces ne présentent aucun changement directionnel pendant toute la durée de leur existence.

2) L’apparition soudaine : dans une zone donnée, une espèce n’apparaît pas progressivement à la suite d’une transformation régulière de ses ancêtres ; elle surgit d’un seul coup, et « complètement formée »……..

Pour de nombreuses personnes (pour ne pas dire la grande majorité de la population lettrée), la théorie de l’évolution est un vérité qui se vérifie au fur et à mesure des découvertes. Ces gens là ont autant de fois en cette conviction que les croyants dotés de la foi du charbonnier et nous verrons plus bas dans cet article pourquoi il s’agit ici de foi.

Il existe de nombreuses découvertes et de détails discordants qui, pour plus de facilité, ont été écartés d’une pichenette : ils ne rentraient pas dans le tableau. Il suffit de surveiller la presse scientifique,les magazines hebdomadaires, les brèves par-ci, par-là, qui relatent des découvertes ou des correctifs allant à l’encontre de ce qui est admis.

Les seuls fossiles par exemple, sont la preuve que les organismes vivants ne sont pas apparus grâce à une évolution progressive, mais plutôt de manière soudaine et sous une forme complète. Les néo-darwinistes rêvent du jour où les formes transitionnelles perdues seraient découvertes un jour.

Malheureusement aucune “forme transitionnelle”, pourtant soutenue par les néo-darwinistes pour démontrer l’évolution progressive des organismes vivants d’un état primitif à celui développé, n’a été découverte en aucun endroit du globe. De plus, l’anatomie comparative a prouvé que les espèces supposées avoir évolué les unes des autres disposent en réalité de caractéristiques anatomiques différentes et qu’elles ne pouvaient en aucun cas être ancêtres ou descendants les unes des autres.

Quant aux mutations des espèces, les néo-darwinistes ont alors essayé d’établir un cas pour les “mutations avantageuses” en procédant à des milliers d’expériences de mutation. Toutes ces tentatives ont été vaines. Par contre les mutations -ou les “accidents”- qui ont eu lieu dans les gènes des organismes vivants ont toujours été nocives. Ils ont également tenté de prouver que les premiers organismes vivants étaient apparus par hasard dans des conditions terrestres primitives que la théorie avait énoncées. Toutefois, ces tentatives s’étaient soldées par un autre échec. Chaque expérience qui cherchait à prouver que la vie aurait pu apparaître par hasard se soldait par un échec. Les calculs de probabilité ont prouvé que même la moindre protéine, la base de la vie, ne pouvait devoir son origine au hasard. Et la cellule qui soi-disant serait apparue par hasard dans des conditions terrestres primitives et incontrôlables, comme le soutiennent les évolutionnistes, ne pouvait pas être synthétisée même dans les plus sophistiqués des laboratoires du 20ème siècle.

Les données scientifiques les plus sérieuses prouvent qu’ils est impossible de donner une explication à l’univers en excluant Dieu. Ces savants ne trouvent pas seulement un univers intelligible et très cohérents, mais ils perçoivent en lui un prodige qui donne un sens à la vie parce qu’ils reconnaissent derrière cette création l’esprit et la main d’un architecte. Cette perception d’un créateur se fait ressentir également dans divers domaines tel que la philosophie. Voltaire n’a-t-il pas dit : “L’univers m’embarrasse et je ne puis songer qu’une telle horloge existe et n’ait pas d’horloger”. Ces érudits défendent donc la pertinence des principes moraux et savent quand il faut cesser de poser la question “pourquoi”. Ils ont eu une vision du monde qui semble bien plus cohérente que la plus part des évolutionnistes.

Le physicien des particules John Polkinghorne démontre avec brio que notre univers intelligible et merveilleusement adapté suggère l’existence de Dieu ; les penseurs athées ont bien du mal à expliquer la précision qui règne dans tous les détails de cet univers :

“Au début de l’expansion de l’univers, il fallait un équilibre parfait entre la force d’expansion (celle qui éloigne les corps) et la force de gravité (qui attire les objets les uns vers les autres). Si la force centrifuge avait été trop grande, la matière se serait dispersée trop rapidement pour pouvoir se condenser en galaxies et pour que les étoiles se forment. Ils ne se seraient rien produit d’intéressant dans un univers tellement dispersé. D’autre part, si la gravité avait été trop prépondérante, le monde aurait de nouveau été attiré vers son point de naissance avant que la vie n’est pu faire son apparition. Nous estimons que pour que la vie ait été possible, il fallait qu’au tout début de la formation de l’univers (le temps de Planck), la force centripète et la force centrifuge ne diffèrent pas de plus de 1 :1060. Celui qui est versé dans les mathématiques ne pourra que s’émerveiller par cette précision. Pour le non-spécialiste, je vais emprunter une illustration de Paul Davies pour faire comprendre ce que cela représente. Davies indique que c’est la précision nécessaire pour atteindre une cible de 2,5 cm placée à l’extrémité de l’univers observable, c’est à dire à vingt mille millions d’années lumière ! “

Imaginons alors qu’aujourd’hui il ne soit pas honteux de se poser des questions ou même, imaginons que croire qu’une entité supérieure ait décidé de créer l’homme, ne soit pas contraire à la raison… Dans ce cadre là, le paléontologue Hans-Joachim Zillmer a compilé de nombreuses découvertes qui prouvent tout autant une vue créationniste que les savants défendent l’évolutionnisme. Mr Zilmer en a fait deux livres intitulée “L’erreur de Darwin” et “Darwin, le mensonge de l’évolution”. Un audio abordant son livre sera présent dans la prochaine vidéo (partie 2).

Les temps ont changés et il ne s’agit pas ici de faire de l’esbroufe. De ce fait, peut-être aussi grâce à internet où quiconque peut vérifier ce qui est dit, le sérieux du travail de l’auteur propose d’apprendre des choses passionnantes et surtout offre une base de réflexion solide qui devrait permettre à n’importe qui de se donner la peine de réfléchir. Inutile de vous obliger à être convaincu ou non… car comme tout le monde le sait, la vérité est ailleurs, et surtout elle est de moins en moins académique !

Hans-Joachim Zillmer, à l’instar de Immanuel Velikovsky, s’est fait toutefois l’avocat du catastrophisme en rapport avec la théorie d’une Terre jeune, la toute première modélisation de la théorie d’une catastrophe de notre jeune Terre suggérant que la Terre est relativement vieille, en tant que planète mais qu’elle fût touchée par une catastrophe d’une terrible ampleur ( le déluge) il y a quelques 5000 à 6000 ans. La thèse centrale au niveau géologique, induite par ces bouleversements, est d’affirmer que les continents connurent de formidables inondations du sud et du nord-ouest de l’Amérique du nord, à travers l’Australie ou les montagnes de l’Altaï, à travers la Sibérie vers la mer caspienne, la mer baltique et l’océan artique. Un déplacement de l’axe du globe terrestre eût lieu en association avec ce qui précède et, d’après lui, c’est à cette période que l’ère glaciaire commença par une rapide glaciation des régions arctiques et antarctiques, connue sous le nom de « grand âge de glace » ( le Pleistocène). C’est à cette époque, d’après Zillmer, que la pesanteur de la Terre augmenta aussi et que certaines espèces animales d’une taille démesurée, tel le sloth d’Amérique aussi gros qu’un éléphant, le stag géant et la mammouth d’Eurasie, s’éteignirent. Ainsi, émergea un nouveau monde avec de plus petits animaux sous des conditions atmosphériques différentes, telles une diminution de la pression atmosphérique et une plus grande pesanteur.

Selon Zillmer, compte tenu de ces catastrophes au niveau du globe terrestre, il n’y a eu, par rapport à une micro ou macro évolution, aucune mutation des espèces animales. Ainsi, il est impossible que le singe ait pu engendrer l’homme. Qui plus est, à cette époque, 80% de l’espèce animale fût éradiquée. Un scénario attribué à la fin de la période glaciaire ( = naissance de la période d’enneigement, toujours selon Zillmer). En conséquence de quoi, Zillmer affirme qu’il n’existe aucune théorie vérifiable de l’espèce humaine, raisonnement qu’il explicite dans son ouvrage « Le mensonge de l’évolution ». Dans son livre « l’Erreur de Darwin », Zillmer explique que les crânes paléolithiques et les squelettes n’ont pas plus de quelques milliers d’années, ceci ayant été confirmé par de nouveaux examens des crânes de l’homme de Néanderhal et de Cro-Magnon provenant d’Allemagne en 2004, analyses découlant d’une nouvelle détermination ayant eu lieu en Angleterre. La thèse exposée par Zillmer dans son ouvrage L’erreur de Darwin, est que le Grand Canyon, synonyme de délivrance de la tribu Havasupai, fût le résultat d’un cataclysme gigantesque du temps de leurs ancêtres, théorie qui a été étayée par les nouvelles recherches de la Commission de Géologie américaine. Des flots gigantesques, d’une taille 37 fois supérieurs au fleuve Mississipi sculptèrent le Grand Canyon par des passages successifs, pour la dernière fois il y a plus de 1000 ans. En outre, il présente dans ses ouvrages de nombreuses preuves archéologique venant confirmer les écritures bibliques (découvertes de squelette de géants, cohabitation des dinosaures et de l’homme etc …). De quoi se poser de sérieuses questions…

On pourrait aussi citer Jean-François Moreel, Docteur en biochimie et spécialiste en génétique moléculaire et en embryologie. M. Moreel œuvre pour la démystification du darwinisme afin de libérer les scientifiques de cette idéologie et leur permettre de reconquerrir leur liberté de penser.

D’après lui, le Darwinisme est une des plus grosse fumisterie intellectuelle de notre époque. Il a écrit plusieurs ouvrages sur le sujet dont “Le Darwinisme envers d’une théorie”. Son livre démontre de façon implacable, au travers des différentes diciplines scientifiques en jeu, de la paléontologie jusqu’à la génétique & biologie moléculaire, que la réalité des connaissances scientifiques conduit de façon irréfutable à la non validité de ce “mythe officiel” qu’est le darwinisme.

Les considérables avancées et découvertes scientifiques dans des domaines tels que L’archéologie, la paléontologie, la biologie ou encore la génétique, semblent rendre la théorie de l’évolution tout simplement invalide et les tentatives de falsification visant à démontrer que des formes transitionnelles existent n’ont pas aidé la théorie évolutionniste (voir dans la vidéo).

Une partie de la science tend visiblement vers le créationnisme tant la complexité et la richesse ordonnée qui nous compose et qui nous entoure rendent naturellement témoignage à un créateur tandis qu’une autre partie toute aussi sérieuse de la science tend de bonne foi vers l’évolutionnisme, excluant Dieu et proclamant que l’univers et tout ce qu’il contient n’est finalement que le fruit du hasard et de l’évolution.

Bien entendu, De nombreux articles scientifiques, sérieux, pertinents et bien plus fourni que celui-ci, démontrent le contraire et présentent la théorie de l’évolution comme une vérité qui n’est plus discutable, et sans les connaissances scientifiques adéquate, difficile de ne pas y adhérer. Mais sans même le savoir, tous ces scientifiques pro-évolutionniste ne démontrent-ils pas seulement la preuve d’une micro-évolution ou adaptation programmée qui est totalement compatible avec le créationnisme ? La macroévolution, donc l’évolution au dessus du niveau de l’espèce est trompeur et non prouvé scientifiquement. En revanche, la microévolution se produit quotidiennement dans la nature et pendant le processus de sélection. L’amalgame entre micro et macroévolution trompent beaucoup de personnes dans la recherches de la vérité. Les règles de l’hérédité sont décrites par les lois de Mendel, qui constituent aujourd’hui l’une des bases de la génétique expérimentale. Si l’on considère en plus les influences climatiques et l’isolement spatial, on obtient des nouvelles variantes d’animaux existants ou aussi d’hommes, qui ne constituent pas une évolution supérieure au sens des théories de Charles Darwin.

Car passer de la micro-évolution (modifications que peuvent subir certaines espèces et qui est prouvée par la science) à la macro-évolution (celle qui explique l’origine des espèces), ne relève-t-il pas subitement du domaine de la foi ?

Voyons maintenant pourquoi l’évolutionnisme et le créationnisme relève tout deux du domaine de la foi.

Le néant peut-il générer de lui même quelque chose ? Même le célèbre bigbang doit bien venir de quelque part ? On sait scientifiquement, que la probabilité qu’une chose ou qu’un être qui procède de rien est nulle. Alors maintenant, est-ce que les évolutionnistes peuvent citer un seul cas d’un être répondant à un arrangement et qui tirerait son origine d’un être sans arrangement ? Si la réponse est non, et c’est le cas, on peut légitimement affirmer que l’origine de toute chose viendrait peut-être d’un être avec arrangement et que cet être pourrait être assimilé à Dieu.

Avec ce postulat de base, on peut affirmer la chose suivante : Un oeuf que n’aurait pondu aucun oiseau n’est pas plus naturel qu’un oeuf qui existerait de tout éternité. Pour paraphraser cet exemple, on peut affirmer que la théorie de l’évolution tente finalement et malgré tout son sérieux de nous dire qu’un oeuf pourrait exister sans qu’aucun oiseau ne l’ait pondu ce qui est rationnellement aussi absurde qu’un œuf existant de toute éternité et ayant engendré les autres. La foi évolutionniste et créationniste sont simplement résumé dans cette illustration. Alors maintenant, si cela relève finalement du domaine de la foi, posons-nous quelques questions simples mais primordiales pouvant répondre à cette autre question : qui croire ?

La véritable foi évolutionniste et le mode de vie en découlant apporte-t-elle autant qu’une véritable foi en Dieu et du mode de vie en découlant ? La foi évolutionniste peut-elle expliquer le mystère insondable des E.M.I (Expérience de Mort Imminente, prochainement abordé sur ce site) ? La foi évolutionniste peut-elle expliquer les innombrables phénomènes surnaturelles et spirituelles existant à travers le monde ? La foi évolutionniste peut-elle rendre la vue à un aveugle ? la foi évolutionniste peut-elle résoudre les innombrables problèmes existentiels tel que le sens et le but de la vie ? la foi évolutionniste peut-elle résoudre cette lutte du bien et du mal à laquelle nous somme tous confrontée ? La foi évolutionniste peut-elle expliquer et résoudre tous les dilemmes moraux ? La foi évolutionniste peut-elle radicalement bouleverser le coeur d’un homme par sa vérité ? La foi évolutionniste peut-elle générer des expériences surnaturelles ? la foi évolutionniste peut-elle déplacer des montagnes ? la foi évolutionniste peut-elle exaucer les prières ? La foi évolutionniste peut-elle expliquer la magie du rire des enfants ? Peut-elle faire des miracles ? Il faut constater une vérité : La foi en Dieu peut visiblement toute ces choses si on s’en réfère au seul exemple des innombrables et authentiques témoignages ayant traversés le temps. Une chose sur laquelle tout le monde s’accorde est que la véritable science ne peut démontrer ni l’existence de Dieu ni sa non-existence. Ajoutons qu’il est une chose que la science ne pourras probablement jamais prouver, c’est bien la relation spirituelle qu’un homme peut avoir avec Dieu.

Posons-nous cette simple question : la science peut-elle prouver l’amour réel que vous avez pour un quelconque proche ? Elle ne le peut pas et pourtant tout le monde s’accorde pour dire que l’amour existe. Le sentiment d’amour est une chose invisible qui n’est admis uniquement par la majorité parce que chacun a pu l’expérimenter une fois dans sa vie. L’amour se rend uniquement visible par nos actes, nos paroles et notre témoignage. De la même façon, Dieu existe de manière certaine pour tous ceux qui l’expérimente. Le témoignage ainsi que les actes de ceux qui vivent une relation avec Dieu est une des ses manifestations visibles. Une phrase biblique dit : “la gloire de Dieu est d’agir de façon caché et la gloire de ceux qui croit est de découvrir ce que Dieu à caché“. Tout comme l’amour n’a de valeur et ne s’expérimente que s’il est sincère, la rencontre avec Dieu n’a de valeur et ne s’expérimente que s’il provient d’un coeur sincère. la bible ne dit-elle pas que « celui qui me cherche de tout son coeur me trouvera » ou encore “croyez et vous recevrez” ? En admettant l’idée de l’existence de Dieu comme correct et satisfaisante, nous rentrerons alors dans l’immense diversité des croyances et des religions ce qui dépasse une fois encore largement le cadre de cet article.

Cependant, nous terminerons tout de même cet article par un cours témoignage d’une personne que l’on pourrait qualifier de créationniste. Cette personne s’appelle Malcolm Muggeridge et voici ses mots après être entré en relation personnelle avec Dieu :

“Je dois sans doute me considérer comme un homme relativement comblé. De temps en temps, les gens me reconnaissent dans la rue ; c’est la célébrité. Je gagne assez d’argent pour prétendre à figurer parmi les gens les plus imposables ; c’est la réussite économique. Comblé d’argent et de d’honneurs, même quelqu’un d’agé peut s’offrir des distractions ; c’est le plaisir. Il se peut qu’une parole dite ou écrite par moi ait suffisamment attiré l’attention pour me faire croire que j’ai laissé un impact sur mon époque ; c’est le sentiment d’épanouissement. Mais je vous le dit, et je vous prie de me croire, multipliez ces petits triomphes par des millions, faites-en la somme : le résultat n’est rien, moins que rien. En fait, c’est même un réel obstacle, comparé à une seule goutte d’eau vive que Christ offre à celui qui est assoiffé spirituellement, quel qu’il soit !“


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