Rechercher dans ce blog

vendredi 6 mars 2015

La science révèle l’empreinte de Dieu : Un sérieux plaidoyer en faveur du Dieu créateur



Sommaire

Introduction

« Les cieux racontent la gloire de Dieu, Et l’étendue céleste annonce l’oeuvre de ses mains. Ce n’est pas un langage, ce ne sont pas des paroles, Leur voix n’est pas entendue. Leur trace apparaît sur toute la terre, Leurs accents vont aux extrémités du monde. » Psaume 19.2-5
Chers lecteurs, c’est avec un immense plaisir que nous vous proposons le montage vidéo définitif rapportant les toutes dernières découvertes de la science moderne. Ces découvertes amènent de manière totale et définitive, l’éclatante évidence d’un Dieu tout puissant à l’origine de l’univers dans son ensemble et étant toujours à l’oeuvre aujourd’hui même. Les dernières vidéos à ce sujet sur le site rassemblaient déjà un grands nombre d’éléments et de découvertes scientifiques stupéfiantes reléguant le darwinisme à l’âge de pierre. Cette dernière vidéo pousse l’analyse encore un peu plus loin en livrant des trésors de découvertes inédits mais accessible à chacun et venant clôturer le sujet, pour le moment…
C’est absolument stupéfiant et les implications en découlant sont énormes à tout point de vue, nous en convenons. Toutes les disciplines scientifiques modernes pointent désormais implacablement vers l’évidence totale de Dieu. Le changement de paradigme est tellement énorme que l’information n’est pas prête à circuler rapidement et sera même censurée ou déformée, aussi cette vidéo est d’une importance capitale. Ainsi, les propos bibliques mentionnant l’empreinte de Dieu dans la nature, cumulées aux prophéties annonçant une augmentation considérable de la connaissance dans les temps de la fin, dépeignent une réalité confirmée par les dernières grandes découvertes scientifiques et faisant éclater la magnificence et la toute puissance de Dieu. Quels sont ces preuves ? Quels sont ces signes ? Quelles empreintes le créateur a-t-il laissé dans la nature et l’espace afin de manifester sa toute puissance, son intelligence et sa sagesse infinie ? Soyez attentif, vous risqueriez d’être ébranlé par la finesse de l’Esprit de Dieu. Si une telle évidence est rendu manifeste par la science elle-même, nous serions en droit de nous demander quelle place reste-t-il pour la foi, et en quel Dieu ? Quel serait son message ? Bien que des points commun existent, les différentes religions présentent des distinctions inconciliable entre elles concernant Dieu et son message pour l’humanité (un futur article à ce sujet verra bientôt le jour). En effet, la Vérité est unique et ne saurait se contredire. Cet article, cette vidéo et même tout ce site web, se donnent comme objectif de répondre le mieux possible à toutes ces questions cruciales en se basant, non pas sur une interprétation particulière, mais sur des faits et du concret en appui total sur la parole de Dieu. Dieu ne nous demande pas une foi aveugle, mais une foi vivante basée sur l’humilité, la sincérité et la vérité vis à vis de soit-même et de Dieu. Dieu prend plaisir à confirmer sa parole par l’expérience personnelle qu’il donne de vivre pour un coeur ouvert à la Vérité et permettant d’affirmer avec le personnage biblique Job : « Mon oreille avait entendu parler de toi; Mais maintenant mon oeil t’a vu. »
Cet article reprend divers éléments de l’excellente enquête scientifique réalisée par le journaliste Lee Strobel pour son livre Plaidoyer pour Dieu créateur, que chacun peut retrouver à la rubrique livre du site et dont nous conseillons vivement la lecture à tous les sceptiques ayant besoin de preuves et de concret. Comme l’a dit un homme : « La foi n’implique pas d’avoir un esprit fermé, mais bien au contraire, un esprit ouvert. Opposée à l’aveuglement, la foi mesure la grandeur des réalités spirituelles que les matérialistes négligent, piégés qu’ils sont dans le purement physique. »

Là où la science rencontre la foi

Allan Rex Sandage est le plus grand cosmologiste d’observation du monde. Peu de scientifiques sont aussi respectés que cet ancien protégé du légendaire astronome Edwin Hubble. Sandage a reçu des honneurs aussi prestigieux que divers, comme ceux décernés par la société américaine d’astronomie, la société suisse de physique, la société royale d’astronomie et l’Académie suédoise des sciences, ainsi que l’équivalent du prix Nobel dans le domaine de l’astrologie. Le New York Times l’a surnommé le grand homme de la cosmologie. Beaucoup croyaient sans l’ombre d’un doute qu’un scientifique de sa stature devait probablement être sceptique à propos de Dieu. Mais Sandage, lors d’une conférence sur la science et la religion, en 1995 à Dallas, surpris tous les participants en prenant place du côté des théistes. Encore plus surprenant dans ce contexte de conférence au sujet du big-bang et de ses implications philosophiques, il révéla publiquement qu’il avait décidé de devenir chrétien à l’âge de 50 ans.
Il dit à l’auditoire, captivé par ses paroles, que le big-bang était un événement surnaturel qui ne pouvait pas s’expliquer dans les limites de la physique telle que nous la connaissons. La science nous a entraîné jusqu’au Premier événement, mais elle ne peut pas nous amener jusqu’à la première cause. L’émergence soudaine de la matière, de l’espace, du temps et de l’énergie nous oblige à considérer la réalité d’une certaine transcendance.« C’est ma science qui m’a conduit à la conclusion que le monde est beaucoup plus complexe que ce que la science peut bien expliquer, dira-t-il plus tard à un journaliste. Je ne peux comprendre le mystère de l’existence qu’au moyen du surnaturel. »
Après lui, l’éminent astrophysicien de Harvard, Owen Gingerich, parvint aux mêmes conclusions que son prédécesseur à la tribune, affirmant que c’est avec une vision théiste du monde que s’accordait le mieux le big-bang. Puis vint une session sur les origines de la vie à laquelle participaient Dean Kenyon, un biophysicien de l’université d’État de San Francisco, coauteur d’un livre qui avait fait date et qui affirmait que l’émergence de la vie avait été « biochimiquement prédestinée ». Cela semblait être l’explication la plus prometteuse de l’énigme de la première cellule vivante et de la manière dont elle avait pu s’assembler elle-même à partir de la matière sans vie. À la grande surprise de tous, il réfuta publiquement les conclusions de son propre livre, déclarant qu’il était devenu très critique envers toutes les théories naturalistes des origines. À cause de l’immense complexité moléculaire de la cellule et des propriétés porteuses d’information de l’ADN, Kenyon croyait désormais que tout indiquait l’existence d’un Concepteur à l’origine de la vie. Au lieu d’un conflit entre la science et la religion, on entendit des spécialistes du plus haut niveau dire qu’ils étaient théistes et non pas en dépit de la science mais à cause d’elle. Comme le dit Sandage, « de nombreux scientifiques sont maintenant conduits à la foi au moyen de leurs propres travaux scientifiques ». Bien des personnes, malgré leur arrière-plan scientifique, ne sont pas conscientes de la puissance des découvertes scientifiques pour soutenir la foi en Dieu. Des découvertes qui sont en mesure d’indiquer le chemin vers le salut de l’âme, l’espérance et la foi en un Dieu vivant qui a laissé sa signature dans chaque millimètre de sa création.

Entretien avec Stephen C. Meyer, docteur en biologie moléculaire, spécialiste des questions sur les origines de la vie

Un sérieux plaidoyer en faveur du théisme.

Il est évident que la science nous apprend énormément de choses importantes au sujet du monde naturel. Mais la véritable question est : ces choses pointent-elles vers une réalité qui les dépasse ? La réponse à cette question est oui. La science nous enseigne beaucoup de choses vraies, et certaines de ces choses vraies nous indiquent l’existence de Dieu.
J’ai pour ma part une approche qui est la suivante : les faits scientifiques soutiennent en réalité la croyance théiste. En fait, au cours des cinquante dernières années, dans une gamme étendue de disciplines scientifiques, des faits sont venus à la lumière qui, pris tous ensemble, procure un sérieux plaidoyer en faveur du théisme. Seul le théisme est en mesure de donner une explication de causalité satisfaisante intellectuellement pour tous ces faits. Par exemple, s’il est exact qu’il y a un commencement à l’univers, ce qui est maintenant une chose communément admise parmi les cosmologistes, alors cela implique une cause qui transcende l’univers. Si les lois de la physique sont réglées avec une telle précision pour permettre la vie, comme les physiciens contemporains sont en train de découvrir actuellement, alors il existe peut-être un être qui a conçu ce réglage de précision. S’il y a des informations dans une cellule, comme le montre la biologie cellulaire, cela présuppose une conception intelligente. Il faut des informations biologiques pour que la vie démarre ; les implications vont au-delà du domaine matériel et indique une cause intelligente en amont.
Certaines personnes utilisent cette phrase ancienne de Galilée : « la science vous dit comment va le ciel, la Biblevous dit comment on va au ciel ». Bien que la plupart du temps, la science et la religion soient concernées par des choses différentes, elles ont des territoires qui se chevauchent. Je crois que le témoignage de la science soutient le théisme. Bien qu’il y ait – et qu’il y aura toujours – des points de tensions ou de désaccords non résolu, les développements majeurs de la science au cours des cinq dernières décennies convergent fortement dans la direction du théisme. La science, quand elle est pratiquée correctement, pointe vers Dieu.

Création à partir de rien

Le fait que la plupart des scientifiques croient aujourd’hui que l’énergie, la matière, l’espace et le temps ont un commencement s’oppose fortement au matérialisme. Vous ne pouvez invoquer ni le temps, ni l’espace, ni la matière, ni les lois de la nature pour expliquer les origines de l’univers. La relativité générale souligne le besoin d’une cause qui transcende ce domaine. Et le théisme affirme l’existence d’une telle entité – plus précisément, Dieu. Pour faire court, le naturalisme a de plus en plus de mal en matière de cosmologie ; plus on avance et plus il est difficile de se débarrasser de l’hypothèse de Dieu. Si on les considère ensemble, le big-bang et la relativité générale fournisse une description scientifique de ce que les chrétiens appellent la création à partir de rien. Comme l’a dit le lauréat du prix Nobel, Arno Penzias au sujet du big-bang, « la meilleure information que nous ayons se trouve là où je ne serais pas allé la chercher, dans les cinq premiers livres de Moïse, dans les psaumes et dans la Bible dans son ensemble. »
Le deuxième type d’exemple concernerait « la précision des réglages anthropiques ». Cela signifie que les lois et les paramètres fondamentaux de la physique possèdent des valeurs numériques précises qui auraient pu être différentes. Il n’y a aucune raison fondamentale pour expliquer que ces valeurs aient dû être telles qu’elles sont. Pourtant, toutes ces lois et ces constantes oeuvrent et se complètent d’une manière qui est, d’un point de vue mathématique, proprement incroyable, rendant ainsi la vie dans l’univers possible. Prenez le taux d’expansion de l’univers, dont la précision du réglage et de l’ordre de un sur des milliards de milliards de milliards de milliards de milliards. Et bien, si ce réglage était modifié ne serait-ce que légèrement, que soit plus vite ou plus lentement, la vie ne serait plus possible dans l’univers. Comme l’a dit Sir Fred Hoyle, « une interprétation des faits issue du bon sens suggère qu’un intellect supérieur a tripatouillé la physique, la chimie et la biologie, et qu’il est vraiment illusoire de parler de forces aveugles à propos de la nature. »
Eh bien peut-être que si tout a l’air si bien réglé, c’est qu’il existe une personne qui a procédé à ces réglages. Selon le physicien Paul Davies, le sentiment d’une conception intelligente émerge de toutes parts. Et je suis totalement d’accord avec cela. C’est une preuve puissante en faveur d’une conception intelligente.
Richard Dawkins, de Oxford, a déclaré que « le code machine des gènes est étrangement semblable à celui des ordinateurs ». Si vous y réfléchissez, vous vous rendez compte que les ordinateurs tournent grâce à des logicielsqui sont produits par l’intelligence des ingénieurs. Chaque expérience de l’information que nous avons (que ce soit un code d’ordinateur, une inscription hiéroglyphique, un livre ou une peinture rupestre) indique la présence d’une intelligence. La même chose est vraie pour la présence d’informations dans chaque cellule de toute créature vivante. Cela n’est absolument pas un argument dû à l’ignorance. Nous ne penchons pas vers la possibilité d’une conception intelligente uniquement parce que les théories évolutionnistes et naturalistes sont incapables de donner une explication quant à la présence de ces informations. Nous penchons vers la conception intelligente parce que toutes ces théories ont échoué et parce que nous connaissons une autre entité causale, capable de produire de l’information, à savoir l’intelligence. Personnellement, je trouve que c’est un argument très puissant.
Le déisme est une croyance selon laquelle Dieu a créé l’univers sans plus intervenir ensuite. Cependant il ne peut pas expliquer les actes discrets de conception ou de création après que l’univers ait été créé. Le Dieu déiste n’intervient jamais dans la nature, alors que nous voyons les signes évidents d’une conception intelligente dans l’histoire de la vie et dans toute la création. Par exemple, les informations importantes contenues dans la cellule donnent une preuve convaincante d’un acte de création intelligent de la vie, bien après le commencement de l’univers. D’un point de vue d’ensemble, les connaissances actuelles nous donnent une confiance plus élevée à partir de la science, dans l’existence de Dieu. Le poids des arguments est très, très impressionnant – en fait, pour moi, c’est suffisamment concluant pour dire que le théisme fournit la meilleure explication pour tous les sujets scientifiques que nous avons abordés. La science et la foi ne sont pas en conflit. Lorsque le fait scientifique et l’enseignement biblique sont correctement interprétés, ils peuvent se soutenir mutuellement et c’est ce qu’ils font. Je dirai à toutes les personnes qui en doutent de procéder à leur propre enquête.

Pourquoi n’y a-t-il pas alors plus de scientifiques qui croient en Dieu ?

Tout d’abord, je dirais qu’il faut du temps pour que les nouvelles découvertes se répandent et pour que leurs implications soient pleinement considérées. Plusieurs des meilleures preuves en faveur du théisme sont très nouvelles. Les scientifiques qui sont concentrées sur un champ d’étude particulier peuvent ne pas être au courant des découvertes dans les autres champs d’études. De plus, la vision du monde matérialiste a exercé une certaine domination sur la vie intellectuelle de la culture occidentale depuis cent cinquante ans. Elle est même la vision du monde acceptée par défaut en matière de science, de philosophie et de discipline académique en général. C’est un présupposé. Certaines personnes qui s’en sont dissociées ont rencontré une hostilité intense et parfois même une certaine forme de persécution. D’autre ont pu hésiter à explorer ce domaine ou exprimer des propos favorables envers lui. Cet argument rappelle une citation de Sandage, qui déclara un jour à un journaliste que la communauté scientifique est tellement méprisante envers la foi qu’il existe « une véritable répulsion à déclarer publiquement sa foi, tant l’opprobre encouru peut-être sévère ».
Finalement, à l’intérieur de la culture scientifique, il existe un système de croyance qui est, d’un point de vue philosophique, très discutable. Par exemple, certains pensent que la science ne doit autoriser que des explications naturalistes, ce qui exclut de prendre en considération l’hypothèse d’une conception intelligente. Beaucoup de scientifiques mettent des oeillères et refusent de reconnaître les faits.

Suite:

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire