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jeudi 7 août 2014

Tusk: Pendant plusieurs heures sur un risque accru d'intervention

Tusk: Pendant plusieurs heures sur un risque accru d'intervention

 Danger d'une intervention directe de la Russie en Ukraine est plus que si il ya une douzaine de jours ou - a déclaré Donald Tusk. Le Premier ministre a annoncé que reçoit des informations à propos de la détérioration de la situation "pendant plusieurs heures". Il a averti que - si elle vient à la guerre - il ne sera pas un conflit que nous connaissons.

- Il est possible que la prochaine phase de la crise en Ukraine pourrait être plus grave que le présent - le premier ministre a déclaré lors d'une conférence de presse. Mais ne précise pas quelles informations se justifie en disant que le risque accru d'une intervention russe.
Tusk a déclaré qu'il ne faut pas s'attendre à ce que la possibilité d'une intervention russe serait la guerre au sens classique du terme. - Ce conflit ne ressemblera pas à l'heure, l'état déclare la guerre à un autre pays et il ya quelques règles - at-il dit.
Le Premier ministre a fait valoir que la Pologne est «meilleure que par le passé" prêt à repousser l'agression menée d'une manière inhabituelle, comme la Russie a présenté, entre autres, en Crimée. Tusk a souligné le fait que, à son avis, la Pologne n'est pas directement menacée.
Quant à la réaction possible de l'Occident à nouveau mouvement russe, selon le Premier ministre "n'a pas une bonne réponse" à cette question.

augmentation de la tension


Commentaire Tusk entrée dans l'atmosphère de tension croissante dans l'est de l'Ukraine. Nous sommes constamment s'y déroulent de violents combats avec les séparatistes de l'armée ukrainienne pro-russes. Il ya de nombreuses indications que les forces gouvernementales commencent opération de libération de Donetsk, ce qui pourrait entraîner des pertes civiles graves.
En revanche, le long des frontières orientales de l'Ukraine Russie a porté une force considérable, comptant environ 40-50 mille soldats. Parmi eux se trouvent les troupes déguisés en «gardiens de la paix." Les autorités russes suggèrent qu'ils peuvent les utiliser pour stabiliser la situation, en particulier autour du site du crash d'un Boeing de la Malaisie. Dans le même temps l'accent sur la «catastrophe humanitaire» de plus en plus à Donetsk et de Lougansk, les grandes villes occupées par les séparatistes.
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