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vendredi 18 octobre 2013

Seconde guerre mondiale, camps de concentration, antisémitisme : un ancien SS témoigne.

Décédé il y a 2 jours, l'ancien SS Erich Priebke laisse en guise de testament un entretien lucide qui va à l'encontre du dogme historique érigé en potentat absolutiste.



Entretien donné fin juillet 2013 par Erich Priebke, quelques jours avant son 100e anniversaire



Q. — M. Priebke, il y a quelques années vous avez déclaré que vous ne reniez pas votre passé. Aujourd’hui où vous avez 100 ans, pensez-vous toujours ainsi ?

R. — Oui.

Q. — Qu’entendez-vous exactement par cela ?

R. — Que j’ai choisi d’être moi-même.

Q. — Par conséquent encore aujourd’hui vous vous sentez nazi ?

R. — La fidélité à son passé, c’est une question de convictions. Il s’agit de ma façon de voir le monde, de mes idéaux, de ce que nous Allemands nous appelons la Weltanschauung [façon de voir le monde] et c’est aussi une question d’amour propre et d’honneur. La politique est une autre affaire. Le national-socialisme a disparu avec sa défaite et de toute façon il n’aurait aujourd’hui aucune possibilité de revenir.

Q. — Cette vision du monde dont vous parlez, l’antisémitisme en fait-il partie ?

R. — Si vos questions ont pour but de connaître la vérité il va falloir abandonner les lieux communs : critiquer quelqu’un ne signifie pas qu’on veuille le détruire. En Allemagne, dès le tout début des années 1900 on critiquait ouvertement le comportement des juifs. Le fait que les juifs aient accumulé entre leurs mains un immense pouvoir économique, et en conséquence politique, alors qu’ils représentaient une partie absolument infime de la population mondiale était considéré comme injuste. Il est un fait qu’encore aujourd’hui, si nous prenons les mille personnes les plus riches et puissantes du monde, il nous faut constater qu’une partie notable d’entre eux sont des juifs, banquiers ou actionnaires de sociétés multinationales. Puis en Allemagne, en particulier après la défaite de la première guerre mondiale et l’injustice des traités de Versailles, les immigrations juives de l’Est européen avaient provoqué de véritables désastres, avec l’accumulation en quelques années de capitaux immenses de la part de ces immigrés, pendant que dans la République de Weimar la majeure partie du peuple allemand vivait dans une extrême pauvreté. Dans ce climat les usuriers s’enrichissaient et le sentiment de frustration à l’égard des juifs croissait.

Q. — Une vieille histoire dit que les juifs pratiquaient l’usure qui était admise par leur religion, alors qu’elle était interdite aux chrétiens. Qu’y a-t-il de vrai, d’après vous ?

R. — En fait, ce n’est certainement pas une idée qui m’est personnelle. Il suffit de lire Shakespeare et Dostoïevski pour comprendre que de tels problèmes avec les juifs ont effectivement existé au cours de l’histoire, depuis Venise jusqu’à Saint-Pétersbourg. Ceci ne veut absolument pas dire que les seuls usuriers à l’époque étaient des juifs. J’ai fait mienne une phrase du poète Ezra Pound : « Entre un voleur juif et un voleur aryen je ne vois aucune différence ».

Q. — Pour toutes ces raisons, vous justifiez l’antisémitisme ?

R. — Non, écoutez, cela ne signifie pas qu’il n’y ait pas chez les juifs des gens bien. Je le répète : l’antisémitisme veut dire haine, haine indiscriminée. Et moi, même au cours de ces dernières années de ma persécution, moi qui suis vieux, privé de liberté, j’ai toujours refusé la haine. Je n’ai jamais voulu haïr même ceux qui me haïssaient. Je parle seulement de droit à la critique et j’en explique les motifs. Et je vous dirai de plus : il ne faut pas oublier que, en raison de leurs raisons religieuses particulières, une grande partie des juifs se considéraient supérieurs à tous les autres êtres humains. Ils s’identifiaient au « Peuple élu » de la Bible.

Q. — Hitler aussi disait de la race aryenne qu’elle était supérieure.

R. — Oui, Hitler s’est laissé aller lui aussi à recourir à cette idée équivoque de supériorité. Ce fut là une des causes d’erreurs sans retour. Considérez toutefois qu’un certain racisme était la norme dans ces années-là, non seulement au niveau des mentalités populaires mais aussi au niveau des gouvernements et du système juridique. Les Américains, après avoir déporté les populations africaines et avoir été esclavagistes, continuaient à être racistes, et en réalité ils faisaient de la discrimination contre les Noirs. Les premières lois, dites raciales, d’Hitler ne limitaient pas les droits des juifs plus que n’étaient limités les droits des Noirs dans divers Etats des USA. Il en était de même pour les populations indiennes de la part des Anglais et des Français, qui ne se sont pas comportés tellement différemment avec ce qu’on appelle les sujets de leurs colonies. Et ne parlons pas du traitement que subissaient à l’époque les minorités ethniques de l’ex-URSS.

Q. — Et ensuite comment les choses se sont-elles aggravées en Allemagne, d’après vous ?

R. — Le conflit s’est radicalisé, il a empiré. Les juifs allemands, américains, anglais et la communauté juive mondiale d’un côté, contre l’Allemagne de l’autre. Naturellement, les juifs allemands se sont retrouvés dans une situation toujours plus difficile. La décision qui fut prise ensuite de promulguer des lois très dures rendit la vie vraiment difficile aux juifs en Allemagne. Ensuite, en novembre 1938, un juif, un certain Grynszpan, pour protester contre l’Allemagne, a tué en France un conseiller de notre ambassade, Ernst von Rath. S’ensuivit la fameuse « Nuit de cristal ». A travers le Reich des groupes de manifestants ont brisé les vitrines de magasins appartenant à des juifs. C’est à partir de ce moment que les juifs furent considérés seulement et uniquement comme des ennemis. Hitler, après avoir gagné les élections, les avait, dans un premier temps, encouragés de multiples façons à quitter l’Allemagne. Par la suite, dans le climat de forte méfiance à l’égard des juifs allemands, causé par la guerre et le boycott et en raison du conflit ouvert contre les plus importantes organisations juives mondiales, il les enferma dans des camps, en tant qu’ennemis. Il est certain que pour beaucoup de familles, qui souvent n’avaient rien à se reprocher, ce fut désastreux.

Q. — Par conséquent, pour vous, il faut rechercher chez les juifs eux-mêmes la cause de ce qui leur est arrivé ?

R. — La cause est à rechercher un peu de tous les côtés. Chez les Alliés, aussi, qui déclenchèrent la seconde guerre mondiale contre l’Allemagne, à la suite de l’invasion de la Pologne, pour revendiquer des territoires où la forte communauté allemande était soumise à d’incessantes vexations. C’étaient des territoires qui avaient été placés par le Traité de Versailles sous le contrôle de l’Etat polonais nouveau-né. Contre la Russie de Staline et l’invasion de cette dernière dans le reste de la Pologne, personne n’a bougé le petit doigt. Mieux : à la fin du conflit, qui avait pris naissance officiellement pour défendre précisément indépendance de la Pologne contre les Allemands, on fit cadeau à Staline, sans façon, de tout l’Est européen, Pologne comprise.

Q. — Donc, toute politique mise à part, vous épousez les thèses historiques révisionnistes ?

R. — Je ne comprends pas bien ce qu’on entend par révisionnisme. Si nous parlons du procès de Nuremberg de 1945, alors je peux vous dire que ce fut une chose incroyable, une grande mise en scène créée exprès pour déshumaniser le peuple allemand et ses chefs aux yeux de l’opinion publique mondiale. Pour s’acharner sur le vaincu mis désormais dans l’impossibilité de se défendre.

Q. — Qu’est-ce qui vous fait dire cela ?

R. — Que peut-on dire d’un prétendu tribunal qui juge seulement les crimes des vaincus et non ceux des vainqueurs ; où le vainqueur est en même temps accusateur public, juge et partie lésée et où les articles du délit ont été spécialement créés après la constatation des faits, autrement dit pour condamner rétroactivement ? Le président américain Kennedy lui-même a condamné ce procès en le qualifiant de chose « dégoûtante » en ce que « les principes de la constitution américaine avaient été violés pour punir un adversaire vaincu ».

Q. — Si vous voulez dire que le délit de crime contre l’humanité qui a permis de condamner à Nuremberg n’existait pas avant d’être invoqué par ce tribunal international, cela veut dire en tout cas que les accusations concernaient des faits quand même terribles.

R. — A Nuremberg, les Allemands furent accusés du massacre de Katyn, et puis en 1990 Gorbatchev reconnut que c’étaient eux, les accusateurs russes, qui avaient tué les vingt mille officiers polonais par une balle dans la nuque dans la forêt de Katyn. En 1992, le président russe Eltsine produisit également le document original contenant l’ordre signé de Staline. Les Allemands furent aussi accusés d’avoir fait du savon à partir des juifs. Des échantillons de ce savon aboutirent dans les musées des USA, en Israël et dans d’autres pays. Il fallut attendre 1990 pour qu’un professeur de l’Université de Jérusalem étudie les échantillons et finisse par admettre qu’il s’agissait d’une escroquerie.

Q. — Oui, mais les camps de concentration ne sont pas une invention des juges de Nuremberg.

R. — Dans ces années terribles de guerre, enfermer dans des Lager (en italien ce sont les camps de concentration) les populations civiles qui présentent un danger pour la sécurité nationale était une chose normale. Dans le dernier conflit mondial les Russes en ont fait autant, tout comme les USA. Ces derniers en particulier avec les citoyens américains d’origine orientale.

Q. — Toutefois, en Amérique, dans les camps de concentration pour les populations d’ethnie japonaise il n’y avait pas de chambres à gaz ?

R. — Comme je l’ai dit, à Nuremberg on a inventé une infinité d’accusations. Pour ce qui concerne le fait que dans les camps de concentration il y avait des chambres à gaz, nous attendons encore les preuves. Dans les camps, les détenus travaillaient. Beaucoup de détenus sortaient du Lager pour travailler et rentraient le soir. Le besoin de main-d’œuvre pendant la guerre est incompatible avec la possibilité qu’au même moment il y ait eu, dans quelque point du camp, des files de personnes se rendant à la mort par gazage. L’activité d’une chambre à gaz est envahissante, mortelle, et même à l’extérieur elle est terriblement dangereuse. L’idée d’envoyer à la mort des millions de personnes de cette manière, dans le lieu même où vivent et travaillent d’autres personnes sans que ces dernières s’aperçoivent de quoi que ce soit, c’est de la folie, difficilement réalisable d’un point de vue pratique.

Q. — Mais vous, quand avez-vous entendu parler pour la première fois du projet d’extermination des juifs et des chambres à gaz ?

R. — La première fois que j’ai entendu des choses pareilles la guerre était finie et je me trouvais dans un camp de concentration anglais, j’étais avec Walter Rauff. Nous sommes restés tous les deux pantois. Nous ne pouvions absolument pas croire des choses aussi horribles : des chambres à gaz pour exterminer des hommes, des femmes et des enfants ! Pendant des jours nous en avons parlé entre nous, avec le colonel Rauff et d’autres collègues. Nous avions beau avoir été tous des SS, chacun d’entre nous à son niveau à une position particulière dans l’appareil national-socialiste, mais jamais des choses pareilles n’étaient parvenues à nos oreilles. Imaginez que, des années et des années plus tard, j’ai appris que mon ami et supérieur Walter Rauff, qui avait aussi partagé avec moi des morceaux de pain dur dans le camp de concentration, avait été accusé d’être l’inventeur d’un fantomatique camion à gaz ! On ne peut pas croire à des choses de ce genre quand on a connu Walter Rauff.

Q. — Et tous les témoignages de l’existence des chambres à gaz ?

R. — Dans les camps on n’a jamais découvert des chambres à gaz, sauf celle construite après la guerre par les Américains à Dachau. Il n’existe pas de témoignages fiables sur le plan judiciaire ou historique à propos des chambres à gaz ; à commencer par ceux de certains des derniers commandants et responsables de camp, comme par exemple celui du plus connu des commandants d’Auschwitz, Rudolf Höss. Outre les grandes contradictions de son témoignage, il fut torturé avant de déposer à Nuremberg et, après son témoignage, sur l’ordre des Russes on le fit taire pour de bon en le pendant. Pour ces témoins, considérés comme précieux par les vainqueurs, les violences physiques et morales qu’on leur infligea en cas de manque de complaisance étaient insupportables ; ainsi que les menaces de vengeance sur les membres de leur famille. Je sais, par expérience personnelle en prison et celle de mes collègues, comment les vainqueurs parvenaient à extorquer, dans les camps de concentration, des confessions aux prisonniers, qui souvent ne connaissaient même pas l’anglais. Et puis, le traitement réservé aux prisonniers dans les camps russes de la Sibérie était connu, on signait alors n’importe quel type d’aveux demandé ; un point c’est tout.

Q. — Donc pour vous ces millions de morts sont une invention ?

R. — Moi j’ai connu personnellement les Lager. La dernière fois que je suis allé à Mauthausen, c’était en 1944 pour interroger le fils de Badoglio, Mario, sur l’ordre d’Hitler. J’ai tourné dans ce camp de long en large pendant deux jours. Il y avait d’immenses cuisines en fonction pour les internés et il y avait aussi à l’intérieur du camp un bordel pour leurs exigences. Pas de chambres à gaz. Malheureusement tellement de gens sont morts dans les camps mais pas en vertu d’une volonté de tuer : la guerre, les dures conditions de vie, la faim, l’absence de soins adéquats ont tourné au désastre. Mais ces tragédies des civils, elles étaient à l’ordre du jour non seulement dans les camps mais dans toute l’Allemagne, et principalement à cause des bombardements sans discernement des villes.

Q. — Par conséquent vous minimisez la tragédie des juifs : l’Holocauste ?

R. — Il ne s’agit pas de minimiser, une tragédie est une tragédie. S’il y a un problème, c’est celui de la vérité historique. Les vainqueurs du second conflit mondial avaient intérêt à ce qu’on ne leur demande pas de rendre compte de leurs crimes. Ils avaient rasé des villes allemandes entières où il n’y avait pas un soldat, et ce pour tuer des femmes, des enfants et des vieillards et ainsi affaiblir la volonté de combattre de leur ennemi. C’est ce qui est arrivé à Hambourg, à Lübeck, à Berlin, à Dresde et à tant d’autres villes. Ils profitaient de la supériorité de leurs bombardiers pour tuer impunément et avec une cruauté folle les civils. Puis c’est arrivé à la population de Tokyo et, finalement, avec les bombes atomiques, aux civils de Nagasaki et d’Hiroshima. Pour cette raison il était nécessaire d’inventer des crimes spéciaux commis par l’Allemagne et de les colporter suffisamment pour présenter les Allemands comme des créatures maléfiques et autres non-sens : des sujets de romans d’horreur sur lesquels Hollywood a tourné des centaines de films. D’ailleurs, depuis lors la méthode des vainqueurs de la deuxième guerre mondiale n’a pas beaucoup changé : à les entendre ils exportent la démocratie à l’aide de ces prétendues missions de la paix contre les canailles, ils décrivent des terroristes qui ont commis des actes toujours monstrueux, indicibles. Mais dans la pratique ils attaquent surtout au moyen de leur aviation ceux qui ne se soumettent pas. Ils massacrent les militaires et les civils qui n’ont pas les moyens de se défendre. Finalement, d’une intervention humanitaire à l’autre dans divers pays, ils placent, sur les fauteuils des gouvernements, des marionnettes qui servent leurs intérêts économiques et politiques.

Q. — Mais alors certaines de ces preuves inattaquables comme les films et les photographies des camps, comment les expliquez-vous ?

R. — Ces films sont une preuve supplémentaire de la falsification. Presque tous proviennent du camp de Bergen-Belsen. C’est un camp où les autorités allemandes envoyaient les internés des autres camps qui étaient inaptes au travail. Il y avait à l’intérieur un secteur pour convalescents. Rien que cela en dit long sur la volonté des Allemands d’assassiner : il semble étrange que, en temps de guerre, on mette en place une structure pour accueillir ceux qu’on voulait gazer. Les bombardements de 1945 ont laissé ce camp dénué de vivres, d’eau et de médicaments. Une épidémie de typhus s’est répandue qui a causé des milliers de malades et de morts.

Ces films datent de ces faits, lorsque le camp de réfugiés de Bergen Belsen, dévasté par l’épidémie, en avril 1945, était alors entre les mains des Alliés. Les scènes furent tournées exprès, à des fins de propagande, par le metteur en scène anglais Hitchcock, le maître de l’horreur. Il est affreux de voir le cynisme, l’absence de tout sens d’humanité avec lesquels encore aujourd’hui on spécule sur ces images. En les projetant pendant des années sur les écrans de télévision, accompagnées de fonds musicaux angoissants, on a trompé le public en associant, avec une ruse impitoyable, ces scènes terribles aux chambres à gaz, alors qu’elles n’avaient aucun rapport. Un faux !

Q. — D’après vous, le motif de toutes ces mystifications serait, de la part des vainqueurs, de couvrir leurs crimes ?

R. — Dans un premier temps il en fut ainsi. Un scénario identique à celui de Nuremberg fut inventé aussi par le général Mc Arthur au Japon avec le procès de Tokyo. Pour pendre les accusés ils imaginèrent d’autres histoires et d’autres crimes. Pour criminaliser les Japonais qui avaient été victimes de la bombe atomique, ils allèrent à l’époque jusqu’à inventer des accusations de cannibalisme.

Q. — Pourquoi « dans un premier temps » ?

R. — Parce que par la suite la littérature sur l’Holocauste fut utilisée principalement par l’Etat d’Israël pour deux raisons. La première est bien expliquée par un écrivain juif fils de déportés : Norman Finkelstein. Dans son livre L’Industrie de l’Holocauste, il explique comment cette industrie a rapporté, à travers une campagne de revendications, des milliards d’indemnisations dans les caisses des institutions juives et dans celle de l’Etat d’Israël. Finkelstein parle d’un « véritable racket d’extorsions ». Pour ce qui concerne le second point, l’écrivain Sergio Romano, qui n’est certes pas un révisionniste, explique qu’après la « guerre du Liban », l’Etat d’Israël a compris qu’en augmentant et en mettant l’accent sur l’aspect dramatique de la « littérature sur l’Holocauste » cela lui aurait procuré des avantages dans son contentieux territorial avec les Arabes et « une sorte de semi-immunité diplomatique ».

Q. — Dans le monde entier on parle de l’Holocauste comme d’extermination, mais vous, vous avez des doutes ou vous le niez carrément ?

R. — Les moyens de propagande de ceux qui aujourd’hui détiennent le pouvoir mondial sont inextinguibles. Au travers d’une sous-culture historique créée spécialement et divulguée par la télévision et le cinéma, on a manipulé les consciences en travaillant sur les émotions. En particulier les jeunes générations, à commencer par l’école, ont été soumises à un lavage de cerveaux, abreuvées d’histoires macabres pour assujettir leur liberté de jugement. Comme je vous l’ai dit, voilà 70 ans que nous attendons les preuves de ces méfaits que conteste le peuple allemand. Les historiens n’ont pas trouvé le moindre document qui concernerait les chambres à gaz : pas un ordre écrit, pas un compte rendu ou un avis de la part d’une institution allemande, pas un rapport d’un employé. Rien de rien.

En l’absence de document, les juges de Nuremberg ont considéré comme acquis que le projet qui s’intitulait « Solution finale du problème juif » à l’étude dans le Reich, qui évaluait les possibilités territoriales permettant d’éloigner les juifs de l’Allemagne et par la suite des territoires occupés, y compris la possibilité de transfert à Madagascar, était un code secret de couverture qui signifiait leur extermination. C’est absurde ! En pleine guerre, alors que nous étions encore vainqueurs aussi bien en Afrique qu’en Russie, les juifs, qui avaient été en un premier temps simplement encouragés, furent poussés, à la fin 1941, de toutes sortes de façons à quitter l’Allemagne de manière indépendante. Ce n’est que deux ans après le commencement de la guerre que commencèrent les mesures restreignant leur liberté.

Q. — Admettons que l’on découvre les preuves dont vous parlez. Je veux dire un document signé d’Hitler ou d’un autre dignitaire. Quelle serait votre position ?

R. — Ma réponse serait celle d’une condamnation décisive de faits de ce genre. Tous les actes de violence indiscriminée contre des communautés, sans même tenir compte des responsabilités individuelles, sont inacceptables, et absolument condamnables. Ce qui est arrivé aux Indiens d’Amérique, aux koulaks en Russie, aux Italiens enfouis dans les fosses en Istrie, aux Arméniens en Turquie, aux prisonniers allemands dans les camps de concentration américains en Allemagne et en France, comme dans les camps russes, les premiers qu’on a laissés mourir de faim volontairement par la volonté du président Eisenhower, les seconds par celle de Staline. Ces deux chefs d’Etat n’ont volontairement pas respecté la convention de Genève pour sévir jusqu’à la tragédie. Tous ces épisodes, je le répète, sont à condamner sans restriction, y compris les persécutions faites par des Allemands au détriment de juifs ; qui ont indubitablement eu lieu. Mais les vraies, non celles qui ont été inventées par la propagande.

Q. — Vous admettez donc la possibilité que ces preuves, qui auraient échappé à une éventuelle destruction pratiquée par les Allemands à la fin du conflit, pourraient un jour survenir ?

R. — Je vous ai déjà dit que certains faits doivent absolument être condamnés. Par conséquent en raisonnant par l’absurde si nous devions trouver demain des preuves sur les chambres à gaz, la condamnation de choses aussi horribles, de celui qui les a voulues et de qui les a utilisées pour tuer, devrait être sans discussion et totale. Vous voyez, j’ai appris que dans la vie les surprises peuvent ne jamais finir. Mais dans ce cas précis, je crois pouvoir exclure la chose avec certitude parce que pendant presque soixante ans les documents allemands, séquestrés par les vainqueurs de la guerre, ont été examinés et évalués par des centaines et des centaines de chercheurs, si bien que ce qui n’a pas émergé à ce jour pourra difficilement émerger à l’avenir. Pour une autre raison je dois considérer la chose comme extrêmement improbable et je vous explique pourquoi : alors que la guerre était déjà bien engagée, nos adversaires ont commencé à insinuer des soupçons sur des activités homicides dans les Lager. Je parle de la déclaration interalliée de décembre 1942, dans laquelle on parlait généralement de crimes barbares de l’Allemagne contre les juifs et on prévoyait la punition des coupables.

Puis, à la fin de 1943, j’ai appris qu’il ne s’agissait pas de propagande de guerre générale, mais qu’en réalité nos ennemis pensaient fabriquer de fausses preuves de ces crimes. La première nouvelle me fut donnée par mon compagnon de cours, un grand ami, le capitaine Paul Reinicke, qui passait ses journées en contact avec le numéro deux du gouvernement allemand, le Reichsmarschall Göering : il était son chef d’escorte. La dernière fois que je l’ai vu je lui ai fait part de ce projet de véritables falsifications. Göering était furibond du fait qu’il considérait ces mystifications comme infamantes aux yeux du monde entier. Précisément Göring, avant de se suicider, contesta violemment devant le tribunal de Nuremberg la production de preuves falsifiées.

Un autre signe me fut donné par le chef de la police Ernst Kaltenbrunner, l’homme qui avait remplacé Heydrich après sa mort et qui fut ensuite envoyé à la potence à la suite du verdict de Nuremberg. Je l’ai vu vers la fin de la guerre pour lui rapporter les informations recueillies sur la trahison du roi Victor Emmanuel. Il m’indiqua que les futurs vainqueurs étaient déjà à l’œuvre pour construire de fausses preuves de crimes de guerre et autres atrocités qu’ils auraient inventées sur les Lager comme preuves de la cruauté allemande. Ils se mettaient déjà d’accord sur les détails sur la façon de mettre en scène un procès spécial pour les vaincus. Mais surtout j’ai rencontré en août 1944 le collaborateur direct du général Kaltenbrunner, chef de la Gestapo, le général Heinrich Müller. Grâce à lui j’avais réussi à fréquenter le cours des élèves officiers. Je lui devais beaucoup et il m’avait pris en affection. Il était venu à Rome pour résoudre un problème personnel de mon commandant, le colonel Herbert Kappler.

À cette époque, la cinquième armée américaine était sur le point de percer à Cassino, les Russes avançaient vers l’Allemagne. La guerre était déjà inexorablement perdue. Ce soir-là il me demanda de l’accompagner à son hôtel. Comme il y avait entre nous un minimum de confiance, je me permis de lui demander des détails importants sur la question. Il me dit que, grâce à l’espionnage, il avait eu la confirmation que l’ennemi, dans l’attente de la victoire finale, était en train d’essayer de fabriquer les preuves de nos crimes pour mettre en place un procès spectaculaire de criminalisation de l’Allemagne une fois vaincue. Il avait des nouvelles précises et il était sérieusement inquiet.

Il soutenait qu’il ne fallait pas se fier à ces gens parce qu’ils n’avaient ni sens de l’honneur ni scrupules. J’étais jeune alors et je n’accordai pas le juste poids à ses paroles mais les choses, en fait, se passèrent exactement comme le général Müller m’avait dit. Voilà les hommes, les dignitaires qui, selon ce qu’on raconte aujourd’hui, auraient imaginé et organisé l’extermination des juifs par chambre à gaz ! Je trouverais cela ridicule s’il ne s’agissait pas de faits tragiques. C’est pourquoi, lorsque les Américains, en 2003, ont agressé l’Irak sous prétexte qu’il possédait des « armes de destruction massive », avec tant de faux serments prêtés devant le conseil de sécurité de l’ONU par le secrétaire d’État Powell, alors que c’était eux précisément qui avaient été les seuls à les utiliser dans la guerre, je me suis dit : rien de nouveau !

Q. — Vous-même, qui êtes citoyen allemand, savez-vous que des lois en Allemagne, en Autriche, en France, en Suisse punissent de prison celui qui nie l’Holocauste ?

R. — Oui, les pouvoirs forts mondiaux les ont imposées et sous peu les imposeront aussi en Italie. La ruse ce sera en fait de faire croire aux gens que celui qui, par exemple, s’oppose au colonialisme israélien ou au sionisme en Palestine est antisémite ; que celui qui se permet de critiquer les juifs est toujours et de toute façon antisémite ; que celui qui ose réclamer les preuves de l’existence de ces chambres à gaz dans les camps de concentration, c’est comme s’il approuvait l’idée d’exterminer les juifs. Il s’agit d’une falsification éhontée. Ces lois démontrent justement la peur que la vérité vienne à la surface. Visiblement on redoute qu’après la campagne de propagande à base d’émotions, les historiens ne s’interrogent sur les preuves, les chercheurs ne se rendent compte des mystifications.

Ces lois vont justement ouvrir les yeux à qui croit encore à la liberté de pensée et à l’importance de l’indépendance de la recherche historique. Il est évident que pour ce que j’ai dit je pourrais être poursuivi, ma situation pourrait certainement empirer mais je devais raconter les choses telles qu’elles se sont réellement passées, le courage de la sincérité était un devoir à l’égard de mon pays, une contribution, à l’occasion de mes cent ans, à la rédemption et à la dignité de mon peuple.
 Source :
http://olodogma.com/wordpress/2013/10/12/0421-la-mort-derich-priebke-livre-un-important-message/


Source trouver:
Leschroniquesderorschach

7 commentaires:

  1. 1
    Bonjour,

    après avoir lu un livre rapporté du camp d'Auschwitz par un ami, livre qui décrivait en détail les nombreuses expérimentations des médecins maudits à Auschwitz, je reste très sceptique après lecture de cet article. PRIEBKE souligne que la rumeur concernant les savons faits à partir des juifs était fausse... mais il ne dit rien des autres faits, qui ont été étayés, des abats-jours réalisés à partir de la peau de juifs, des dents en or extraites par la force des bouches de juifs morts ou vivants, des expériences atroces et insensées menées sur des femmes juives qu'on avait inséminées de force, pour faire des expérience sur le croisement de races, ou de celles dont on avait brisé à coup de hache l'os de la jambe, en y insérant des tas de débris afin de provoquer une infection magistrale, et prouver que l'utilisation d'un antibiotique donné n'aurait pas pu les guérir (donc elles étaient destinées à mourir estropiées et dans d'atroces souffrances), ceci pour écarter les critiques qui étaient nées après qu'un dignitaire ait été traité sans succès avec ledit antibio, et que dire des soldats russes et autres ennemis, qui étaient laissés nus une nuit entière sur des plaques en fer ou en pierre, par moins je ne sais plus combien (-10° ?) et recouvert d'un linge mouillé (qui communique encore plus le froid au corps entier), pour mesurer combien d'heures il leur fallait pour mourir... ceci parce que des soldats étaient morts noyés après que leur avion ait été atteint au-dessus des eaux, et il fallait prouver qu'on n'aurait pas pu les sauver de toute façon... donc on a mis en état de mort des quantités d'hommes, et on tentait parfois de les réchauffer par des moyens ridicules (comme le contact avec le corps d'une femme, alors qu'ils étaient déjà plongés en profonde hypothermie et proches de mourir) pour tenter de découvrir le moyen le plus rapide pour les réchauffer. Il ne dit rien non plus des expériences où on mettait des prisonniers, soldats ou juifs, dans des cages en fer et on leur envoyait des décharges de volts extrêmement puissantes pour simuler les convulsions des malades du tétanos...

    Dans tout cela, aucun respect pour la dignité humaine, ni des civils juifs ou autres, ni des soldats ennemis faits prisonniers. Les médecins SS n'avaient aucun code de déontologie, les expérimentations les plus atroces ont été menées sans anesthésiants sur des humains, et ce furent pour la plupart des expériences débiles, comme celle de prouver qu'un remède n'aurait de toute façon pas fonctionné. Et on ne se contentait pas de un ou deux cas, mais on en faisait des séries... tant qu'à faire, puisqu'ils avaient toutes ces personnes gratuitement sous la main, et n'avaient aucun compte à rendre à la justice...

    S'il dit clairement que nombre (bon nombre dirons-nous) de familles juives qui n'avaient rien à se reprocher se sont retrouvées emmenées de force dans ces camps de concentration où les conditions de vie étaient extrêmement précaires (et là les témoignages même en France occupée sont éloquents), où ils étaient employés comme main-d'oeuvre gratuite, corvéable à merci, jusqu'à épuisement ou maladie, dans quel cas on les envoyait vers un autre camp, à Bergen Belsen, qui a en fait fait office de mouroir en raison des circonstances historiques, mais beaucoup mourraient même dans leur camps d'origine, nous dit-il... il est permis de se demander : JUSQU'OÙ CETTE EXPÉRIENCE DE GARDER AINSI LES JUIFS ENFERMÉS DANS DES CAMPS SERAIT-ELLE ALLÉS POUR LES ALLEMANDS ?

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  2. 2
    PRIEBKE a beau souligner qu'il a faite sienne cette phrase du poète Ezra POUND : "Entre un voleur juif et un voleur aryen, je ne vois aucune différence"

    Eh bien moi j'en vois une : le juif, même non-voleur, se retrouve en camp de concentration, dans les conditions ci-dessus vaguement décrites, qu'on peut mieux imaginer encore, et le voleur allemand est jugé par la justice allemande et se retrouve dans une prison, où il n'est pas contraint à travailler et n'est pas soumis à des conditions de vie qui le mènent à l'épuisement ou à la mort à brève échéance, et surtout, la peine de l'allemand voleur est limitée dans le temps... alors que le juif,... eh bien j'aimerais que l'on me cite un seul juif qui est sorti des camps de concentration allemands du temps d'HITLER.

    Certes, PRIEBKE met en lumière un certain nombre de vérités, à savoir les turpitudes des russes, des américains et autres peuples en différentes occasions, cela est vrai, cela ne doit pas être occulté, mais cela n'enlève rien à ce qui s'est réellement passé en Allemagne et dont il est important de rappeler un certain nombre de points.

    Je me demande en outre comment se sont terminées les autres expériences de camps de concentration auxquelles il fait allusion, dans les autres pays... il serait intéressant d'en connaître l'évolution dans le temps. En effet, PRIEBKE semble dire que le phénomène de camp de concentration tel qu'il a eu lieu en Allemagne était tout à fait normal dans le contexte de l'époque...

    Quand y en a-t-il eu en France libre ???

    Y en a-t-il eu en Italie ?

    Ce qui me gène c'est la banalisation et en définitive l'excuse que l'on apporte : "l'autre a pas fait mieux" donc c'est justifié en soi.

    Par contre tout ce qu'il dit sur l'hypocrisie des Etats-Unis, qui ont leur élite satanique qui infiltre bien les rouages du pouvoir, est certainement vrai et mérite qu'on s'y arrête. D'ailleurs c'est vers les Etats-Unis que bon nombre d'anciens SS ont pu fuir et ont été récupérés par les USA. Le directeur de l'ancienne usine qui fabriquait le gas utilisé dans les camps de concentration a trouvé abris là-bas. Ses connaissances ont été utilisées dans certains secteurs de l'armée.

    Les alliés ne sont pas les seuls capables de créer des fausses pièces ou d'en détruire des compromettantes... les nazis l'ont fait eux aussi. Leur fuite a été savamment préparée à l'avance.

    Je conçois que ceux qui ont été pris dans les filets, et jugés ensuite à Nuremberg, étaient peut-être les boucs émissaires pour couvrir les autres, plus importants, qui avaient pu fuir avec les vrais secrets du régime...

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  3. 3
    Je conseille en outre la lecture d'un livre de poche qui explore le contenu de la très grande "Bibliothèque privée d'HITLER". La lecture de ce livre m' a permis de comprendre sans doute possible que Hitler était bien initié d'une importante société occulte, sataniste, et qu'il était littéralement possédé par des démons. Les livres le plus lus par Hitler étaient marqués, cornés, et des passages entiers étaient soulignés par lui, parfois annotés, montrant ce qui focalisait réellement son intérêt : or il s'agissait majoritairement et principalement de livres occultes. Les autres livres faisaient plutôt office de figuration dans le lot, certains n'avaient même pas été touchés.

    La théorie de la supériorité de la race arienne promue par Hitler tirait ses racines dans l'occulte.

    De nombreux citoyens allemands ont été bernés par la montée en puissance d'Hitler, dans les débuts ils ont fait confiance à certains de ses discours apparemment en faveur du peuple allemand, qui traversait une crise économique, comme le souligne l'article ci-dessus, et ils ont même aidé, soutenu Hitler, lequel a pu avancer dans son programme et acquérir le pouvoir et l'affermir. Puis ces mêmes allemands ont découvert peu à peu qui était réellement leur "Führer", et bon nombre l'ont combattu, et ont été eux-mêmes persécutés.

    Personne n'avait le droit de critiquer le régime nazis, les journalistes allemands étaient également enfermés dans des prisons pour ce "crime".

    Si ce régime avait pu garder le pouvoir, pauvres de nous tous.

    J'ai lu quelque part que les élites mondialistes ont fait un test grandeur nature avec le régime nazi, et puis lui ont mis un stop parce que le temps n'était pas encore venu. MAIS ce régime préfigure la venue de l'ANTECHRIST.

    Le commandant nazi PRIEBKE, s'il est sincère (Dieu seul le sait), a pour le moins été berné lui aussi.

    HITLER n'était pas le seul sataniste au pouvoir, ceux qui l'entouraient de très près l'étaient aussi.

    Je m'étonne que PRIEBKE prétende que son ami de prison Walter RAUFF, a été selon lui accusé à tort d'être l'inventeur d'un "fantomatique" camion à gaz. Selon PRIEBKE, il n'existe aucun document prouvant l'existance de fours crématoires dans les camps de concentration, mais que penser des documents présentés dans le lien ci-dessous à propos de ce camion à gaz et envoyés à PRIEBKE ??

    http://www.holocaustresearchproject.org/einsatz/rauff.html

    Les sources sont indiquées en bas du lien en question.

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  4. 4
    Je crois qu'il nous faut être très circonspects avant de balayer d'un coup de manche tout ce qui concerne les camps de la mort. Il y a eu des témoignages de rescapés et aussi d'anciens SS, et je ne crois pas que tous ont été donnés sous l'effet de la torture.

    Il y a eu en particulier une incroyable évasion d'anciens SS vers les pays d'Amérique latine, ainsi que vers les USA, et le pathétique Dr. MENGELE a pu fuir aux USA et a pris l'identité du Dr. GREEN, en continuant là-bas ses expériences commencées dans les camps SS en Allemagne de MANIPULATION MENTALE sur plus de 5000 jumeaux juifs. Aux USA, ses recherches ont été utilisées dans les projets MK-Ultra, sous l'égide des services secrets, je sais plus lesquels, CIA ou FBI... bref, divers pays sont infiltrés par ces élites satanistes, encore aujourd'hui, et le fait que certains procès ont été truqués, des faits faussés, n'enlève rien à l'existence de ces élites satanistes, y compris en Allemagne spécialement sous HITLER.

    Walter RAUFF est né en 1906. La nouvelle de sa mort par crise cardiaque suite à un mandat d’extradition contre lui a été connue le 14 mai 1984, il a été enterré à Santiago du Chili.

    Ce qui est intéressant dans cette interview, c'est que cet homme, PRIEBKE, à près de 100 ans de vie sur cette terre, après tout le temps de réflexion qu'il a eu, ne renie rien de son passé de nazi. N'a-t-il donc pas eu le temps de réfléchir à l'aspect occulte, sataniste, du régime et du personnage d'Hitler ?

    Faut-il donc que à la mort d'un de ces anciens nazis, les hommes présents se sentent encore obligés de faire un salut nazi sur leur tombe pour les honorer ? (cf. le lien ci-dessus concernant W. RAUFF)

    N'ont-ils donc rien appris ?

    N'y a-t-il pas d'autre idéal qui leur soit resté dans le coeur que celui du national-socialisme, et nazisme, même après découverte des erreurs de ce régime ?

    Voyons, des hommes qui sont si bien documentés, qui savent des choses que nous ne savons pas, qui savent, - comme le fait excellemment bien PRIEBKE dans cette interview, rappelant les fausses accusations dont ont été l'objet les allemands, notamment concernant le massacre de Katin, et les savons... - faire des liens entre divers événements historiques et mettre en évidence des erreurs grossières de l'histoire, comment ne poussent-ils pas leur réflexion plus loin, comme nous savons le faire nous-mêmes, simples citoyens ?

    Que font-ils de l'idéal du Christ ?

    Cela me fait beaucoup penser à une confrontation que j'avais vu à la TV il y a plusieurs années, à l'occasion de l'anniversaire du lâcher de la bombe d'Hiroshima, entre le pilote américain qui avait largué la bombe, et une japonaise brûlée sur tout le corps par la bombe, dont la photo d'elle enfant, nue (car les vêtements avaient été brûlés) et courant sur une route de campagne, avait fait la une des journaux de l'époque, cette femme était devenue religieuse, et elle faisait face à celui qui avait largué la bombe... lui n'a exprimé aucun regret, il a affirmé que si c'était à refaire, il le referait... et elle était digne, sans haine, elle a exprimé le pardon. Mais quel pardon peut bien atteindre un tel homme qui ne regrette rien ???????

    J'ai appris en lisant l'ouvrage écrit par une journaliste chrétienne, que la bombe avait été larguée sur la communauté chrétienne catholique la plus importante du Japon. Ce n'est pas un hasard.

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  5. Personnellement, et en toute sincérité je dois dire que l'article de cet homme nous pousse à la réflexion, malgré son côté « je ne regrette rien ». Cependant, à bien le lire, il dit que la méchanceté d'un Nazi, d'un Juif ou d'un américain reste condamnable. Je pense qu’il y a une part de vérité dans ce que dit cet homme, qui doit nous aider à aller au delà des thèses officielles, fruits d'une manipulation éhontée par ceux-là même qui ont agi derrière tout ça, et à la fin ont fait porter le chapeau à une seule personne, Hitler. Les crimes contre les Juifs sont des choses terribles et condamnables. Mais on oublie trop d'aller au delà de cette cruauté contre cette communauté pour voir la plus grande méchanceté satanique chez ceux qui se sont fait passer pour les sauveurs. Et pendant tout ce temps, jusqu'à avant la fin de cette histoire, où étaient ces bienfaiteurs de l'humanité. Mes propos ne sont pas sans appuis ou exemples similaires pour notre temps. Je suis Congolais, et je parle de l'extermination du peuple Congolais, organisée et entrain de se faire alors que je vous parle, et cela au vu et au su de toute la communauté internationale qui est sur place, faignant de servir de représentant de la paix, en laissant faire les génocidaires. Le monde est cruel et tout ce que l'on nous raconte dans les livres à sensation sont loin de traduire la vérité. Pour ma part, j'ai appris le sens de ce que ces paroles du Christ pouvaient vraiment dire ; « Je suis, le chemin, la vérité et la vie, nul ne vient au Père que par moi. » Oui et combien cela est vrai ; personne ne peut parvenir à la vérité des choses telle qu'elles doivent être si le Christ ne l'affranchit, et par sa vie répandu en lui pour une vie d'une nature spirituelle et différente de ce que nous développons dans ce monde de corrompus et de satanistes.
    Dernière observation; on parle du satanisme d'Hitler, et je suis d'accord là dessus, mais pourquoi le satanisme juif ne fait pas aussi l’objet d'une même condamnation ? Regardez encore aujourd'hui, un nombre important des juifs occultes et satanistes sont dans le monde et font leur loi en toute impunité. En Amérique, en Europe, et en Palestine même, et encore parmi les grands financiers sataniques de notre époque. Pour finir, je n'approuve ni ne blanchit les massacres juifs, je les condamne et les condamnerais jusqu'à la fin de ma vie. Mais à mon avis, la vérité n'est pas dans tout ce que l'histoire nous raconte. Soyez bénis.

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  6. Bonjour
    Dans un premier temps il est bon de rappeler qu'il n'y a eu que des Juifs en camps !!!
    Tu commences par les tortures et expériences sur le génome humain (y a pas besoin d'être juif pour ça sache le) Sache que cela est coutume dans toute guerre, sans doute moins aujourd'hui car le plus gros est référencés ! Ensuite des camps, suivant les différents empires il y en a tjrs eu ! ( égyptien, Perse, Grecs, Romain)
    Pour ma part j'ai franchement du mal à croire au lien :http://www.holocaustresearchproject.org/einsatz/rauff.html qui nous vends une chambre à gaz (en meme temps toutes représentations :photos, maquettes,... sont douteuses) dans un Van ! Cela me rappel les "armes de destruction massive" dissimulées et déplacées continuellement sur des camions… pour justifier la seconde guerre en Irak. Quand l'on voit la complexité d'une chambre à gaz (hermétique 100%, sasse de sécurité, porte en plomb comme dans les sous marin, générateur de recyclage et purification d'air,...) j'ai du mal à croire qu'ils ont puent en faire quelque chose de mobile à cette époque(vibration, sécurité;...). Désolé de mon franc parlé mais je n'en vois pas l'intérêt et surtout l'efficacité. Si c'est pour en tuer 1 ou 2 en 15min c'est pas très rentable. Ensuite tu dis "Selon PRIEBKE, il n'existe aucun document prouvant l'existance de fours crématoires dans les camps de concentration" alors sauf erreur de ma part, je ne vois nul part cette idée. Il n'y a aucune référence à l'interview de fours crématoires. Il parle et remet en cause les CHAMBRE A GAZ, pas les fours. Ca à la limite c'est plus crédible pour se débarrasser de corps infestés par le Typhus ou autre maladie. Il faut en moyen 1h30 pour bruler un corps. L'idée du gazage puis du four semble stupide vu comme ça, une perte de temps. autant les parquer et lâcher une bombe dessus ou faire péter la batisse à l'explo ou je sais pas mais quelque chose de radical à l'image du parti. Et pour fini à la fin tu donnes une référence qui, encore une fois je peux me tromper, mais rappel plutot l'image de la petite fille nue sur une route du Vietnam bombardé au napalm par les USA et non le Japon et la Bombe A comme tu le décris. Sur ceux, pour le reste je suis assez d'accord, à bonne entendeur salut et bonne réflexion ...

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  7. Pour ceux qui parlent anglais, voici un extrait d'un enseignement chrétien évangélique prophétique lu au lien suivant, qui parle d'Hitler, décrivant son attrait extrême pour le "pouvoir", à tel point qu'il voulait avoir pour lui le pouvoir que Dieu a, et en conséquence nourrissait une haine extrême pour tous ceux qui ressemblaient d'une manière ou d'une autre à Dieu, à savoir les chrétiens et les juifs, et qu'il tentait de les détruire :

    "One of the reasons the Elite are in the trouble they are, is because they have a lust for power. Their lust is not necessarily for money; they have all the money they need. Why would someone make plans to kill millions of people in a country? Is it because of the love of money? They are beyond that now. It is the love of power. The Lord let me experience the love of power that Hitler walked in. It was terrible. He rose up in this love of power to such an extent that he hated God with such a vile hatred that he wanted to kill or destroy anything that even remotely resembled God. That means he wanted to kill both the Jews and the Christians. If he saw a Bible, he wanted to rip it up because of his hatred for God. His hatred was all rooted in the lust for power, wherein he felt that God had more power than He needed, and Hitler wanted the power that God had. It was as evil a thing as you could imagine. It expressed the very heart of Satan himself."

    http://www.worldforjesus.org/articles-prophetic.php?ID=313

    Cet extrait fait suite à l'explication d'un rêve dans lequel le prophète voit les élites des USA se réunir et disserter sur le meilleur moyen de faire disparaître des millions de personnes aux USA qui ne font pas partie de l'élite... et dans la pièce il voit entre autres Bill Gates, David Rockefeller, Oprah Winfrey, Warren Buffet, Ted Turner, George Soros, Michael Bloomberg, et beaucoup d'autres visages qu'il ne connaît pas...

    Plus haut il parle des projets de l'élite de déstabiliser économiquement l'Europe, et par ricochet également les USA, afin de préparer l'introduction de la monnaie unique mondiale, et l'instauration du Nouvel Ordre Mondial, et nous invite à prier Dieu d'intervenir afin d'empêcher autant que possible la réalisation des plans de ces élites mondiales sataniques et qu'à la place se réalisent les PLANS DE DIEU pour nos vies et nos nations.

    Le "satanisme juif" dont parle le Pasteur Martin Makabu ci-dessus existe bel et bien, autour de la Khabbale, il forme une branche très crainte par les autres juifs, mais il ne saurait être assimilé au judaïsme en lui-même. Les élites sataniques du monde entier sont en train d'oeuvrer dans les coulisses à l'avènement du Nouvel Ordre Mondial et de l'Antéchrist. Lorsque l'Antéchrist viendra, il établira son pouvoir absolu et fera disparaître ceux qui l'ont aidé et qui espéraient une place au soleil... cela a été prophétisé. L'Antéchrist se fera passer pour le "messie" d'Israël, auprès de ceux qui attendent encore le messie, et n'ont pas reconnu le Vrai Messie d'Israël, le Christ Jésus, mort sur la Croix pour nos péchés, afin de nous sauver pour l'éternité.

    On peut donc s'attendre à ce que cette branche satanique qui existe en Israël, et qui, encore une fois, n'est pas "tout" Israël, joue un rôle prépondérant et clé dans la venue de cet Antéchrist.

    Prions pour que Dieu ouvre nos yeux à tous, à tous ceux qui accueilleront la grâce, et nous vienne en aide pour lutter contre ce mal extrême.

    Nous sommes le levain dans la pâte, un petit peu de levain fait lever toute la pâte, n'ayons pas peur, notre prière peut être puissante puisque Dieu est avec les humbles qui s'appuyent sur Lui !





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