Tout le monde, se souvient du cri d’alarme retentissant de certains convaincus du réchauffement, lors des 25,9°C enregistrés au sud-ouest du Groenland ce 30 juillet dernier. On en a fait une preuve « évidente » de phénomène climatique. Mais il faut savoir pour être clair et complet, que cette température fut relevée, qu’un seul jour et s’est estompée en l’espace de 8 heures. Maintenant, ce 13 septembre, ces mêmes scientifiques nous annoncent que durant cet été les glaces polaires ont moins fondu qu’en 2012 ! C’est quoi pour finir, c’est chaud et ça fond, ou les glaces ne sont pas fondues, il faut savoir ?
Afin d’entretenir la mainmise sur le monde avec le syndrome du réchauffement, ils ont trouvés comme excuse, que cela résultait en partie d’une série de cyclones durant l’été. En partie seulement, mais alors le reste c’est quoi ? Et là-dessus on ne nous dit rien, on nous laisse dans l’incompréhension la plus totale.
De plus, les incohérences deviennent chroniques, suivant les données du NSIDC, en 2012 il ne restait que 3.41 millions de km² de glace en Arctique, mais que cette année on aurait épargné la fonte de 1.12 millions de km² de glace, soit la superficie de la France et la Californie combinée, alors qu’au début du communiqué ils déclarent qu’il en subsiste au 13 septembre 5.10 millions de km², chez moi 3.41+1.12=4.53, que sont devenus les 0.57 millions de km² de différence, soit la superficie du Kenya ?
Et voilà que les spécialistes annoncent des prévisions hivernales redoutables et précoces pour l’Europe. A titre d’information, au début de septembre, les premières neiges sont tombées sur le Nord du Québec, soit près d’une cinquantaine de jours avant les premières habituelles. A cette fin septembre, les prévisions s’annoncent bien dans cette teinte, au Groenland, on voit fleurir des températures de -36°C, et pour la péninsule scandinave des -8 à -4°C, pour le 26 septembre, -4°C même à 14h00 et jusqu’à -8° à 02h00. A cette même date, on assistera pour la région de Québec, à des valeurs dignes de l’été indien, 20°C en journée et à peine 0°,2° à 4° au petit matin.
Les premières gelées.
Les prévisionnistes surveillent les anticyclones polaires sur et sous l’Arctique. Selon l’institut « cet été, les glaces arctiques ont conservé une extension importante, que l’on n’avait pas revue depuis 1996 ». Ce phénomène pourrait avoir un impact direct sur l’hiver européen qui pourrait selon les premières prévisions être froid. Pour le mois de septembre, le temps changera lors de la deuxième quinzaine, car les perturbations atlantiques seront de retour. Le temps sera ensuite frais et sec pour le mois d’octobre et des dégradations ponctuelles et potentiellement fortes seront référencées. Les premières gelées précoces seraient également recensées.
Froid et neigeux.
Le mois de novembre s’annonce froid et surtout neigeux. En effet, les premiers flocons pourraient être cette année assez précoces. Un conflit entre les masses d’air au-dessus de la France, serait la cause de ce temps. Les vents de la Scandinavie devraient rencontrer les flux remontant de l’océan et cela aurait pour conséquence selon les spécialistes, des chutes de neige précoces, même en plaine. Il faut également noter selon les prévisionnistes un risque de violentes intempéries pour la Méditerranée.
Déjà en 2012, quelques jours avant novembre, l’hiver prenait déjà ses quartiers sur l’Europe en Pologne, Allemagne mais aussi dans le sud-est de la France, avec des épisodes neigeux et des gelées précoces pour l’ensemble des territoires.
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