Message de ma sœur Janett
Je suis Christian Seemann, le frère de Janett Seemann. Janett a eu l’autorisation de me contacter par téléphone. Elle m’a demande de publier ce message :
« Je voulais remercier de tout mon cœur ceux qui me soutiens moralement et financement dans ces temps difficiles. Merci de vos lettres car chaque une me donne la certitude qu’il y a des gens à l’extérieur qui ont compris et qui se battent maintenant aussi pour moi pour faire savoir ma vérité. Ca me donne l’espoir et la force de surmonter ces épreuves.
Je voudrais vous faire part de l’histoire de mon arrestation et ma garde-a-vue.
Après de m’avoir crié déçue de me mettre par terre sous menace d’armes et ensuite de m’avoir menotté dans le dos je suis transporté à la gendarmerie de Besançon. La première chose comédie dans la voiture est : « Votre garde-a-vue peut très bien se passer comme ca peut mal se passer. Ca dépendra de vous! »
Ensuite, je suis interrogée, transportée à Poitiers, encore interrogée,…
Ensuite, je suis interrogée, transportée à Poitiers, encore interrogée,…
Pendant les deux jours d’interrogatoire je suis en permanence menottée avec un poignet sur la chaise, même pour manger. Pourtant j’étais toujours calme et inoffensive.
On m’a même menacé de m’attaché la nuit sur la lit dans des conditions pareils…bref…passons…
Maintenant je suis dans la Maison d’Arrêt de Saintes. Ici, ca se passe bien jusque là, je suis traitée correctement.
Oui, j’ai participée à une enquiète pour savoir la vérité sur les dires de Sandrine Gachadoat qui parlait d’abus sexuels sur ses enfants par son ex-mari et la grand-mère paternelle. Sandrine Gachadoat avait perdu la garde des ses enfants. Il n’était jamais question des les enlever. Si ca avais été le cas, ca aurait été fait, parce que c’était possible. Le but étais d’apporter des nouvelles de ses enfants à la mère et si jamais Lea avait voulu faire des révélations, de filmer son témoignage, mais ca n’a pas été le cas.
Mon espoir maintenant c’est vous qui me lisez tant que vous êtes là pour communiquer par tout moyen la vérité sur cette histoire partout en Europe. Je ne suis pas perdue. Mon destin est entre vos mains. Et j’ai confiance en vous de faire le nécessaire depuis l’extérieur car depuis ici à la Maison d’Arrêt on ne peut rien faire. Je suis positive et je sais que vous ne me laissez pas tomber.
Mille mercis à vous!
PS :
Mon appel contre le placement en détention provisoire à Poitiers le 15 novembre 2012 a eu lieu en audience publique et pas en huis-clos comme ca a été communiqué à mon amie auparavent par l’avocat qui m’a assisté, Maître Roland Gausselin, du barreau de Poitiers.
J’ai demandé ma mise en liberté le jeudi 13, décembre 2012. »
Christian Seemann
Source trouver:
lesamisdejanett@yahoo.fr
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