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lundi 7 mai 2012

François Hollande a “gagné un gouvernement mais non pas le pouvoir”…


Quelques heures avant les élections présidentielles françaises, le Financial Times, le journal par excellence de l’establishment, publiait une tribune intitulée
“N’ayez pas peur de la révolution française“.


Cela signifiait-il que les jeux étaient faits ?
Philip Stephens y affirmait qu’avec l’élection française, un vent révolutionnaire allait souffler sur l’Europe«Mais ce serait une erreur de croire que la Ve République est sur le point d’élire un président révolutionnaire», affirmait-il. En dépit d’un changement de gouvernement, les élites au pouvoir «continueront à vénérer l’austérité. Personne n’osera remettre en cause le catéchisme de l’assainissement budgétaire», prédisait l’éditorialiste.
Inutile de faire de longs commentaires : les mondialistes PS version Flamby sont comme les mondialistes UMP version Sarko : ils servent aux grands banquiers du mondialisme planétaire selon le scénario à appliquer. Le cartel bancaire imprime de temps à autre un coup de balancier à droite ou à gauche selon les nécessités du moment.

DÉSORMAIS, MIEUX VAUT IMPOSER L’AUSTÉRITÉ AVEC LA GAUCHE CAVIAR…

Ces deux partis sont donc toujours appelés à jouer le rôle de la thèse contre l’antithèse, mais la vérité élémentaire est que l’un (UMP) comme l’autre (PS) sont aux ordres du grand capital.
Le Financial Times laissait donc entendre que Hollande servirait mieux, désormais, au programme de perestroïka de l’Occident (voir les derniers numéros de LIESI). Nous allons le voir à l’œuvre… et ce ne sera pas triste. Son choix est le suivant : servir les intérêts de ses électeurs ou les intérêts des financiers cosmopolites qui lui ont permis de bien gagner sa vie et de profiter largement des largesses des SCI, où les journalistes assurent qu’il a constitué un très gros magot… comme un bon socialiste qui se respecte.
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