Christina England, 23 janvier 2012
Les compagnies pharmaceutiques traitent des bébés prématurés comme des rats de laboratoire au cours d’études sur les vaccins.
C’est en lisant les résultats d’une étude sur la vaccination de bébés prématurés financée par GlaxoSmithKline que j’ai eu l’impression que quelque chose ne tournait pas rond.
L’étude, bien qu’écoeurante en elle-même, était destinée à tester le vaccin anti rotavirus sur un groupe de 988 bébés prématurés âgés de 27 – 36 semaines.
L’article présentant l’étude qui a été publié dans « Pediatric SuperSite » était intitulé : « Des vaccins anti rotavirus immunogènes à usage humain bien tolérés chez des enfants prématurés » par Felix Omenaca MD, PhD et collègues (1). Ce document précise :
Les chercheurs ont regroupé les bébé prématurés en fonction de leur âge – les bébés de 27 à 30 semaines de gestation et ceux de 30 à 36 semaines. Le vaccin anti rotavirus (RIX4414, GlaxoSmithKline) a été administré en deux doses à 658 prématurés. 330 ont reçu un placebo avec les vaccinations de routine, comprenant le vaccin contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche l’hépatite B, l’Haemophilus influenzae et le vaccin contre la polio. Les bébés de France et d’Espagne ont également reçu le vaccin contre la pneumonie à streptocoque ; les bébés du Portugal ont aussi reçu le « Neisseria meningitides ».
Les chercheurs ont demandé aux parents/gardiennes de signaler les effets secondaires. Ils ont noté qu’il n’y avait pas de différence significative entre les rapports de réactions graves du groupe qui avait reçu le vaccin et les rapports du groupe placebo (respectivement 5,1% et 6,2%). Les effets indésirables non sollicités comprenant des fièvres de plus de 39,5 C, six épisodes de diarrhée par jour (ou davantage), trois épisodes de vomissements par jour, perte d’appétit et irritabilité ont été rapportés chez 29,3% des bébés prématurés dans le groupe ayant reçu le vaccin et chez 40,7% du groupe placebo. »
Pour moi les problèmes se résument aux points suivants :
1. Tous les bébés ont reçu plusieurs vaccinations. Il n’existe dès lors aucun groupe placebo.
2. Dans le groupe de 988 enfants, les 2/3 approximativement ont reçu le vaccin contre le rotavirus et 1/3 a reçu le placebo. Les chercheurs ont comparé les résultats « like for like ». Cette comparaison n’est pas possible du fait qu’un groupe est significativement plus important que l’autre.
3. Du fait que les enfants ont reçu plusieurs vaccins, il est impossible de préciser quel vaccin a produit, si c’est le cas, des effets secondaires.
J’ai voulu examiner les chiffres avec plus de précision.
658 bébés ont reçu tous les vaccins y compris le vaccin contre le rotavirus, ce qui équivaut à 66,6% du total des bébés qui ont été testés.
Le total des bébés qui ont reçu tous les vaccins, sauf le vaccin contre le rotavirus s’élève à 330 ; ce qui équivaut à 33,3% du nombre total de bébés qui ont été testés.
Réactions graves
Dans le groupe des bébés qui ont reçu le vaccin contre le rotavirus, 5,1% ont présenté une réaction grave, soit un total de 33 enfants.
Dans le groupe qui a reçu le placebo 6,2% des bébés ont présenté une réaction grave, soit 20 enfants.
Réactions moins graves
Jetons maintenant un coup d’œil à ce que les chercheurs appellent « effets indésirables non sollicités ».
Les chercheurs disent que ces effets comprenaient : de la fièvre à plus de 39,5C, six épisodes de diarrhée par jour ou plus ; trois épisodes de vomissements par jour ou plus ; perte d’appétit et irritabilité.
Dans le groupe qui a reçu le vaccin contre le rotavirus 29,3% des bébés ont donc eu des effets indésirables non sollicités, soit un total de 192 enfants.
Dans le groupe qui a reçu le placebo, 40,7% des bébés ont eu des effets indésirables non sollicités, soit un total de 134 enfants.
En présumant que les enfants ayant fait des réactions graves étaient différents des enfants qui ont eu des effets indésirables non sollicités, on peut dire qu’un total de 225 enfants sur les 688 qui ont reçu tous les vaccins y compris le vaccin contre le rotavirus ont, en fait, présenté des effets secondaires.
Ceci correspond à un nombre impressionnant de prématurés qui ont souffert d’effets secondaires. Malgré cela les chercheurs ont précisé :
« Suite au risque plus élevé que le rotavirus humain fait courir aux bébés prématurés, l’étude nous amène à encourager l’utilisation de ce vaccin chez les bébés âgés de plus de 27 semaines et dont la santé est « médicalement stable au moment de quitter la maternité ou dans la suite. »
C’est là ce type d’études sur la vaccination sur lesquelles nous, le public, nous devons nous appuyer pour nous faire une idée avant de nous y soumettre. Est-ce que quelqu’un à l’OMS, à la FDA, au CDC se donne la peine de lire ces études en détail ou se contentent-ils de lire le paragraphe de la conclusion ?
L’étude a été imparfaite depuis le départ vu le nombre de variables inhérentes aux groupes testés. Les chercheurs ont, il est vrai, fait connaître l’âge des enfants, ainsi que les autres vaccins qui pouvaient avoir un impact sur les résultats. Ils n’ont cependant pas révélé d’autres variables susceptibles de présenter des influences conflictuelles . Ces variables peuvent avoir trait à des facteurs culturels, sociaux et économiques, au poids, au parcours médical, aux médicaments avec lesquels les bébés avaient déjà peut-être été traités.
Un quidam avec un brin de bon sens qui lirait cette étude pourrait rapidement se rendre compte qu’elle penche en faveur de la thèse que défendaient les chercheurs.
Pour l’amour du ciel, prenons quand même conscience qu’il s’agissait d’une étude sur des bébés prématurés !
C’est déjà suffisamment grave d’utiliser ces petits êtres vulnérables comme un peu plus que des rats de laboratoire, mais de falsifier les résultats de l’étude pour que ces vaccins puissent être administrés aux bébés prématurés est tout à fait criminel
Il n’y a pas que cela ; il s’agit ici d’une étude réalisée sur un produit de GlaxoSmithKline financée par GlaxoSmithKline et dont la majorité des chercheurs avaient effectivement des liens financiers avec GlaxoSmithKline. Incroyable !!!!
A la fin du rapport on peut lire (Avertissement) :
« Divulgation : Un certain nombre de chercheurs ont rapporté des liens financiers avec GlaxoSmithKline Biologicals, qui a financé l’étude ».
Il y a quelques jours j’ai écrit un article au sujet du décès d’un bébé prématuré en Belgique (2) Ce bébé est décédé après avoir reçu un cocktail de vaccins y compris le vaccin contre le rotavirus. Peut-on s’étonner que des parents aient perdu leur petite fille s’ils devaient s’appuyer sur pareilles études ?
Sources:
- Human rotavirus immunogenic, well-tolerated for preterm infants’ by Felix Omenaca MD. PhD, and colleagues http://www.pediatricsupersite.com/view.aspx?rid=91652
- Baby Dies After 9 Vaccines In One Day http://vactruth.com/2012/01/19/baby-dies-after-first-shots/
- Expovaccins
La grippe aviaire, cette inépuisable poule aux oeufs d'or
RépondreSupprimerAprès les vaccins "à base de plante" de Medicago contre la grippe aviaire et les projets de vaccin universel contre la grippe saisonnière, voici venu le temps du futur vaccin universel contre différents sous-types de grippe aviaire
Cette si chère grippe aviaire! On l'aurait presque oubliée....
La firme pharmaceutique Inovio, à l'origine de ces recherches, parle bien sûr de son vaccin SynCon en termes très enthousiastes (comment pourrait-il en être autrement?), un vaccin dont la prétendue utilité ne repose QUE sur sa seule capacité à induire des anticorps alors que:
- la littérature médicale a montré qu'on peut faire la maladie malgré la présence d'anticorps vaccinaux.
- des chercheurs ont récemment démontré le caractère non indispensable des anticorps dans la défense de l'organisme contre différents virus.
Chose intéressante, et qui ne devrait pas non plus échapper au lecteur, c'est que cet article de News-medical.net du 17 mai dernier poursuit un but depréparation progressive de l'opinion publique, en recourant aux prétextes suivants:
- le réassortiment possible entre le H5N1 et une souche comme le H1N1
- plusieurs études controversées récentes ont démontré qu'on pouvait rendre les virus H5N1 plus transmissibles.
Et à partir de ces deux prétextes (prémisses de la fausse démonstration), de conclure alors , comme par hasard: "Il y a, par conséquent, un besoin clair de vaccins antigrippaux universels, capables de protéger contre de multiples et changeantes versions du virus grippal."
Le vaccin d'Inovio est un vaccin à ADN synthétique codant pour 3 antigènes grippaux (hémaglutinine/HA- Neuraminidase/NA & nucléoprotéine/NP). Il est important de mentionner le caractère aléatoire et incontrôlable de ce type de technologie (personne ne pouvant assurer que cet ADN n'interférera pas de façon préjudiciable avec le nôtre), bien qu'Inovio, avec son enthousiasme commercial prévisible, affiche déjà fièrement une prétendue bonne tolérance avec seulement... 17 personnes à ce stade qui ont reçu un schéma vaccinal complet en deux injections intra-musculaires avec vaccins à triple antigènes, suivies de deux injections intradermales avec vaccins à un seul type d'antigène.
Ce vaccin induirait soi-disant une forte réponse, spécifique, impliquant les lymphocytes (T) de l'immunité cellulaire. Toutefois, nous ne devrions pas oublier que les risques de ces nouveaux jeux d'apprentis sorciers se mesurent déjà aujourd'hui avec la survaccination et l'immersion toxique de notre monde actuel (métaux lourds, OGM, etc), un sujet que le Dr Jean-Pierre Willem évoquait encore dernièrement dans une vidéo, en rappelant à quel point chaque transgression des lois naturelles se paye cash!
Source: News-medical.net