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jeudi 21 mars 2013

LA MACHINE A TRAHIR ET A TUER DU “CLAN MAUDIT”





Citoyens réveillons-nous, ayons le courage de voir les choses en face, aussi terrifiantes soient-elles...!

Nous sommes malmenés dans nos existences depuis déjà bien des années, mais au vu de la tournure que prennent les choses depuis ces derniers temps, l’instant est venu pour nous de prendre conscience, alors que notre nation se trouve désormais systématiquement engagée dans une succession de guerres criminelles qui la déconsidèrent, que celle-ci et nous, sommes bel et bien tout simplement, mais dramatiquement, les victimes d’une infâme “trahison”, et qu’un énorme sursaut nous sera nécessaire pour nous sortir de cette situation...!

C’est bien la constitution même de notre nation que des traitres s’emploient à saper, elle qui a fait devant l’histoire, la promotion de l’idée républicaine jusqu’au bout du monde. Car le fait de nation constitue le dernier rempart pouvant encore résister, mais pour combien de temps, à la volonté de domination hégémonique sur l’ensemble des humains, qui constitue dans toute sa folie et son obscénité, le projet funeste et criminel d’un “clan maudit”.

Nous devons comprendre par cette appellation volontairement simplificatrice, le fait d’une pluralité d’organisations aux ramifications internationales, qui s’opposent justement par les nécessités mêmes de leur constitution, au fait des nations, et qui se trouvent unifiées dans une synergie qui tient à leur projet commun de suprématie, afin de contraindre les peuples pour bien sûr en tirer des avantages matériels, mais surtout pour leur satisfaction narcissique et maladive, de se réaliser selon leur délire commun, en maitres incontestés de la planète.

Nous sommes aujourd’hui à l’heure ou la mise en œuvre de ce projet diabolique par des traitres à notre nation que ce clan maudit est parvenu à faire choisir “démocratiquement”, c’est à dire en usant avec talent il faut bien le dire, de la manipulation politique et médiatique, par une majorité alors totalement médusée et subjuguée de nos concitoyens, prend une allure dramatique absolument insupportable et qui ne peut manquer de chahuter nos consciences.

Que nous ont fait ces nations, ces peuples, ces citoyens du mondes, ces humains, nos frères, pour que nous nous en allions jusque par chez eux, pour bombarder leurs pays, ruiner leurs équipements, assassiner leurs chefs, et les massacrer par dizaines de milliers ?

Que nous ont-ils faits ?

Rien, absolument rien...!

Qui peut venir dire ici que des Ivoiriens, des Libyens, des Syriens et d’autres encore, s’en sont venus en France pour nous porter atteinte, ou auraient seulement porté atteinte à nos intérêts légitimes quelque part de par le monde ?

Ces gens ne nous ont absolument rien fait. Alors pourquoi allons-nous les tuer ?

Ce qui est surprenant dans cette affaire c’est le fait que des citoyens d’un pays qui se veut pourtant être un exemple de civilisation et de démocratie, et qui n’a de cesse de célébrer sa religion des droits de l’homme, demeurent sans jamais être un tant soit peu alertés par le fait qu’alors même que nous ne nous connaissons nul ennemi à l’horizon, notre armée censée défendre notre territoire, sa population, et les intérêts légitimes et supérieurs de notre nation, soit désormais à longueur d’année en train de guerroyer quelque part à l’autre bout du monde. Ceci, en massacrant sans honte, par dizaines de milliers, des hommes et des femmes que nous ne connaissons ni d’Eve ni d’Adam, avec lesquels nous n’avions jusqu’alors nul contentieux, et qui ne nous ont strictement rien fait.

S’ils étaient encore dignes, et c’est justement là toute la question qui aujourd’hui se pose, les citoyens de ce pays devraient se souvenir que c’est le trait de caractère commun de tous les régimes abominables et criminels, que de parvenir à trouver des raisons d’aller massacrer des populations, parfois lointaines, qui n’ont pourtant absolument rien fait, en leur reprochant tout simplement d’être ce qu’elles sont, ou d’avoir les chefs qu’elles ont.

Car, il aura suffit pour obtenir l’aval des citoyens pour ces opérations criminelles, que des chefs félons viennent nous dire qu’il y a dans ces pays de cruels dictateurs qui y règnent par la terreur, et qu’ils flattent le narcissisme de ces citoyens en faisant d’eux les membres d’une nation exceptionnelle à laquelle il revient un droit divin de dire le bien et le mal sur cette Terre, de châtier les contrevenants à ses verdicts, et à laquelle le ciel à en outre confié la noble charge de se porter au secours de populations qu’elle estime selon elle-même, martyrisées. Et ce, même s’il fallait pour cela massacrer une bonne partie de la population de ces pays secourus, réputée alors être mauvaise, parce qu’elle à l’heur de soutenir le dictateur.

Comment tout un peuple qu’on pouvait encore penser majeur, a-t-il pu sombrer dans un tel océan de malpropretés et d’inepties, pour donner sa caution à de telles opérations ?

Pour comprendre cela, il nous faut remonter à l’origine de nos difficultés pour comprendre comment avons-nous pu tomber dans le piège de la trahison, puisque c’est bien de cela qu’il s’agit.

Bien sûr, il ne manque pas de raisons objectives pour pouvoir expliquer le marasme économique et social dans lequel nous nous enfonçons chaque jour davantage. Mais il nous faut tout d’abord remarquer qu’aucune de ces raisons n’est naturelle. Car, aucun météore n’est venu frapper soudainement notre planète pour y semer un tel désordre, et de plus, un rapide recensement de tous les éléments formels naturels qui sont nécessaires à la vie des humains sur notre bonne Terre, montre qu’ils y sont tous en quantités très largement surabondantes. Et ceci, quoique pourront dire certains qui nous parlent déjà de pénurie d’eau, pouvant alors être à l’origine de conflits à venir, alors même que les trois-quarts de la surface de notre globe sont recouverts d’immensités aquatiques de plusieurs millions de kilomètres cubes d’eau...!

Bien sûr, cette eau ne se trouve ni dans la qualité, ni dans les endroits de sa nécessité, mais il s’agit en cette disposition, d’une faveur qu’il nous faut bien comprendre comme cela, que nous a fait le ciel, en nous laissant ainsi à charge de la traiter et de la transporter, pour que cette eau nous soit disponible. Ceci, pour que nous ayons à cette occasion matière à “exercer”, car ceci est nécessaire à notre “bien-être”, et c’est bien ainsi que le conçoivent par exemple les Antillais, lorsque pour saluer quelqu’un en s’inquiétant de sa santé, au lieu de dire comme en français, “comment vas-tu ?”, ils disent, “qu’est-ce que tu fais ?”.

Ainsi, le ciel a-t-il fait sa partie, en nous fournissant tous les éléments nécessaires, et il nous a laissé l’espace de faire la nôtre, pour que nous ajoutions à ces éléments, notre effort, notre intelligence, notre bonne volonté, et surtout, notre amour les uns pour les autres, pour que nous puissions établir au bénéfice de tous, les arrangements les plus intelligents et les plus profitables pour nous, de ces éléments, et que nous parvenions à la juste répartition à la fois, des efforts, et des profits tirés de ces efforts, les uns et les autres étant nécessaires à notre “bien-être”.

Ceci signifie clairement que quelle que soit la difficulté objective qui à un moment de notre histoire nous échoit, nous avons fondamentalement tout à la fois vocation et capacité de parvenir, par une fructueuse concertation de nos intelligences, sinon à leur règlement définitif, mais pour le moins à l’acquisition d’un “mieux” par rapport à la situation initiale, selon ce que nous désignons alors comme étant le “progrès”.

C’est pourquoi nous devons être particulièrement attentifs et alertés, lorsque dans une société comme la nôtre, nous constatons la persistance tout au long des années qui passent, des mêmes problèmes qui paraissent alors insolubles, et qui s’accompagnent manifestement de la part des responsables politiques, d’un renoncement au progrès, au prétexte de réalisme.

Car, cette situation témoigne par elle-même, d’un manque désolant d’intelligence de la part de ces responsables, d’un manque total de bonne volonté de leur part, et particulièrement de celle d’organiser la concertation entre citoyens pour tenter de trouver des solutions aux problèmes, et surtout, d’un manque total de cet amour qu’ils devraient avoir pour leur concitoyens, afin de leur rendre l’existence la meilleure possible.

En effet, quiconque s’intéresse quelque peu à ces questions constate très rapidement que le niveau considérable des sciences et des techniques qui a été atteint par notre époque, fait qu’aucune, absolument aucune, des pénuries qui offensent encore jusqu’à aujourd’hui une si grande partie de notre humanité, ne possède de raisons strictement objectives, car une mise en œuvre intelligente et généreuse de ces techniques, aurait permis d’y mettre fin depuis longtemps.

Mais voilà, que signifieraient le marché, les profits, la possession, les privilèges, et la domination sociale, s’il régnait la satiété, et que signifieraient les prêts, la finance, l’usure, et la domination économique et financière, s’il n’était la pénurie ?

C’est précisément pour lutter contre cette perspective inscrite sur la voie du progrès, et qui les mettrait hors d’état de nuire, que les rapaces charognards, profiteurs, exploiteurs, et assoiffés de domination, traitres à notre nation, mais étant parvenus à accéder à ses rouages, s’emploient à gripper ceux-ci, pour la rendre incapable de sa charge vis à vis des citoyens.

Ceci, pour que son discrédit soit tel que ces citoyens se laissent alors gagner par ce sentiment renforcé en eux par la propagande, et selon lequel les problèmes seraient devenus d’une telle échelle, qu’ils ne pourraient plus guère trouver de solution que grâce à ces fameux organismes supranationaux qui s’emploient à vider les états de toute leur responsabilité, et donc de toute leur substance, et qui, ne détenant leur autorité d’aucune consultation des peuples, sont totalement sous la coupe réglée des assoiffés de pouvoir et de domination du clan maudit.

Soyons clairs. Il existe à l’origine du problème global qui nous est posé et qui nous a disqualifiés dans la concurrence établie entre les nations, un fait parfaitement identifié qui est le vieillissement de la population, dont l’irresponsabilité des politiciens les a amenés à en faire une fatalité. Ceci, de sorte qu’aucun des gouvernements s’étant succédés en ce pays depuis plus de quarante ans, n’a pris à temps les moindres mesures conservatoires qui s’imposaient alors, en matière de politique nataliste ou de politique de l’immigration, pour nous épargner de nous trouver dans l’incohérence démographique d’aujourd’hui qui, d’une façon plus ou moins directe, se trouve à l’origine de tous les déficits que nous affichons, sociaux, budgétaires, et finalement commerciaux, avec bien sûr toutes les conséquences en matière d’emploi.

Malheureusement, il n’en fallait pas plus que cet affaiblissement du à l’irruption dans le champ de la politique, de carriéristes désireux d’accéder au pouvoir uniquement afin d’en tirer pour eux-mêmes un maximum de gratification, pour que la nation soit l’objet des attaques opportunistes de la part de ceux qui rêvent de domination planétaire. Etant ainsi parvenus dans les allées du pouvoir, et tout comme on tend la bouteille à l’alcoolique pour s’en rendre maitre, ils vont entrainer les gouvernements incapables sur la pente délicieuse de toutes les facilités budgétaires et donc de tous les vices financiers, qui vont nous conduire à la situation désastreuse d’aujourd’hui.

Par la puissance financière qu’ils ont ainsi acquise, et par la mise sous tutelle de nos gouvernements désormais fauchés et endettés, les commanditaires de ces infiltrés ont poussé l’avantage jusqu’à se trouver en situation d’activer les “taupes” dont ils avaient parallèlement assuré la promotion au sein des deux partis gouvernementaux.

Nous connaissons la spectaculaire efficacité de cette technique depuis la stupéfiante affaire “Philby”, où le redoutable KGB soviétique était parvenu à l’aide de taupes, tapies dans l’ombre des années durant en menant leur petit traintrain, à infiltrer jusqu’au plus haut niveau l’administration et les services britanniques, au point que le chef du contre-espionnage de ce pays, l’homme qui était justement chargé de pourchasser sans relâche les espions soviétiques, Philby, en était un...!

Toute la puissance et la protection de Philby, qui a tenu le poste des années durant, c’est qu’il était à cet endroit au-dessus de tout soupçon, c’est lui qui déléguait les enquêtes, et il n’en lançait évidemment pas contre lui. Il a fallu bien des déconvenues au gouvernement britannique pour qu’il commence à se poser des questions, mais trop tard, Philby avait déjà rejoint l’Union Soviétique...

C’est le caractère raisonnablement insoupçonnable de la taupe, qui fait son effroyable nocivité, et qui nous laisse à des années lumière de soupçonner que par extraordinaire, notre nation, avec tous ses rouages normalement bien huilés, et avec tous ses services secrets, ait pu être victime par deux fois, du fait de ces taupes. Celles-ci nous étant familières, et faisant si bien “de chez nous”, tout comme l’élégant Philby faisait “so british”, et qui ne sont connues que comme étant des apparatchiks poussiéreux et sans aucun charisme de partis politiques, sont pourtant parvenues par deux fois de suite, aux plus hautes fonctions de l’état français.

Bien sûr, il est particulièrement difficile et douloureux d’avoir à se résoudre à un tel constat, sans tenter de se trouver toutes les raisons de ne pas y croire. Cependant, il y a dans l’objectivité des faits, des éléments formels qui ne peuvent laisser aucun patriote indifférent, sans souffrance, et sans se poser des questions quant à la raison de cette situation.

En effet, supposons que ces deux hauts responsables délégués par leur partis respectifs pour se présenter face au peuple afin d’assurer cette haute fonction, n’aient pas été des taupes, mais tout simplement des politiciens incapables et mal inspirés. Il est cependant spectaculaire de voir à quel point l’action qu’ils ont menée et mènent encore, aura eu très exactement, point par point, le résultat que des puissances hostiles à notre nation auraient exigé d’obtenir de taupes éventuelles qu’elles nous auraient envoyées.

Ces agents auraient eu en effet pour mission d’anéantir nos capacités d’indépendance nationale, pour s’assurer de conserver la mainmise sur notre nation, de soumettre notre peuple en le rendant redevable d’une grande partie du produit de son effort au bénéfice des citoyens des nations hostiles, et de détourner les capacités et les hommes de notre nation, pour les utiliser dans des entreprises de basse besogne où elle n’a rien à y gagner, tout à y perdre, au seul bénéfice de ces puissance hostiles...

Qui peut nier que c’est très exactement ce qui nous est arrivé ?

En effet, ces malfaisants traitres à notre nation nous ont fait réintégrer une organisation militaire qui n’avait pourtant désormais plus aucune raison d’être, dès lors que les raisons de se création avaient disparues avec le démantèlement du bloc soviétique. Ceci, parce que le clan maudit a entrepris de maintenir et même d’élargir cette organisation à d’autre nations, pour en faire un instrument de domination universel, s’octroyant le droit de frapper n’importe quelle nation qui ne se plierait pas à ses injonctions. Et c’en fut fini par cette réintégration, de notre indépendance militaire.

Quant à notre indépendance économique, il y a déjà un moment que par le moyen de la dette, ces malfaisants ont réduit notre peuple en un véritable esclavage qui ne dit pas son nom, en le condamnant jusque dans les générations à venir, à payer sans cesse des sommes de plus en plus importantes aux sociétés financières des nations hostiles, pour constituer ainsi la rente des citoyens de ces nations.

On pourrait dire beaucoup de choses de toutes les décisions qu’on prises ces malfaisants pour nous dévêtir de notre protection nationale et nous offrir en pâture aux exploiteurs internationaux, mais le pire est bien le fait que ces traitres ont mis à la disposition du clan maudit, notre nation et sa puissante armée, au service de menées impérialistes que les nations racistes et prédatrices, n’entendent plus mener par elles-mêmes, pour ne pas courir le risque de s’égratigner.

Ainsi nous ont-elles fait bombarder la Côte d’Ivoire et la Libye pour l’une, sous le prétexte d’y apporter la démocratie, alors que ce sont des sociétés nominalement françaises, mais dont le capital est principalement détenu par l’étranger, qui ont bénéficié des concessions d’exploitation ainsi obtenues à coup de bombardements, et les traitres s’apprêtent maintenant à nous lancer dans un conflit de tous les dangers, contre la Syrie et contre l’Iran, pour satisfaire à sa place et au prix de la vie de nos soldats, les intérêts de l’autre nation raciste et prédatrice.

Se débarrasser de ces traitres ne sera pas une affaire facile, mais nous n’avons pas d’autre choix, il faut absolument le faire...


Paris, le 17 mars 2013
Richard Pulvar


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