Sandro Portner de Riggisberg (BE) est un des premiers Suisses à s'être fait implanter des micropuces sous la peau. Un de ces dispositifs a été placé dans sa main gauche par un studio de tatouage zurichois. Il a implanté l'autre puce lui-même à l'aide d'une seringue (photo). Les deux dispositifs font à peine deux millimètres de long. A chaque fois qu'il passe sa main sur un téléphone portable, le nom de sa copine Meret s'affiche sur l'écran.
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Sandro Portner se fait souvent traiter de «taré» lorsqu'il parle de ses micropuces. «En Amérique, ces puces implantées dans la peau cartonnent», explique le Bernois de 19 ans qui se moque de ce que peuvent bien penser les autres de lui.
Un studio zurichois précurseur en la matière
En Suisse, il est possible de se faire greffer des micropuces sous la peau depuis le 31 août dernier. Un studio de tatouage zurichois a été le premier à se lancer. Coût de l'opération: 150 francs suisses. Depuis le lancement de cette offre, une vingtaine de personnes se sont présentées pour se faire implanter ces micropuces sous la peau, écrivait «Le Matin» le 23 septembre dernier.
Deux millimètres de long
«La puce de ma main droite me permet d'ouvrir la porte d'entrée de mon appartement. Avec celle de gauche, je peux déverrouiller mon téléphone portable ou contrôler certaines applications», raconte l'informaticien en formation. Mais ces petits dispositifs, à peine plus grands que deux millimètres de long, sont également une véritable preuve d'amour pour Sandro Portner. «Lorsque je mets ma main sur un téléphone portable étranger, le nom de ma copine s'affiche sur l'écran.» «Les gens s'intéressent beaucoup à mes implants. Je leur explique que mes puces n'ont pas de batterie et qu'elles sont alimentées par une source d'énergie extérieure, comme mon smartphone. Lorsque j'approche mes mains de mon natel ou de l'appareil que j'ai installé à la porte de mon appartement, ils envoient des ondes magnétiques aux puces qui s'activent et font ce pourquoi elles ont été programmées.»
Pas de problème pour la santé
Le jeune Bernois a eu l'idée de se faire greffer ces deux micropuces en lisant un article de nos collègues alémaniques de «20 Minuten», publié le 22 août dernier (voir encadré). «Le premier implant a été placé dans ma main gauche par un studio de tatouage zurichois. J'ai commandé la deuxième puce via internet pour 30 francs. Je l'ai implantée grâce à une seringue. Les deux puces ne sont pas dangereuses pour la santé. Elles sont en verre bioactif. Cette matière n'a pas d'effet répulsif sur le corps.» Ses deux bijoux high-tech ne lui posent pas non plus de souci dans la vie de tous les jours. «J'ai pu passer sans problème les contrôles de sécurité à l'aéroport.»
Source:
20min
Apocalypse 13:16-18
En outre, il fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, à marquer sur la main droite ou sur le front, de sorte que personne ne puisse acheter ni vendre, sans avoir la marque, qui est le nom de la bête ou le nombre de son nom. C'est ici la sagesse: que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête, car c'est un nombre d'homme, et son nombre est 666.
La puce prend gentiment la place en Europe et en Suisse...
Refuser cette marque DIABOLIQUE !!
Une autre vidéo avec un type qui ouvre les portes de son laboratoire avec une puce implantée dans sa main.
RépondreSupprimerhttp://www.dailymotion.com/video/x293ywg_les-dangers-de-la-technologie-rfid-sky-news_tech
quelle bande d'abrutis, c'est pas gagné !
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