Introduction
Pour le plus grand plaisir de tous les chercheurs de vérités mais aussi pour ceux et celles qui connaissent déjà le seul vrai Dieu, voici un nouveau montage vidéo inédit témoignant une fois de plus des merveilles de Dieu dans la vie d’individus de tous bords. Après une série de témoignages, ce montage présente quelques vérités divines importantes émanant du message du seul vrai Dieu. Les personnes présentées dans cette vidéo ont véritablement découvert ce Dieu grand et merveilleux qui ne saurait être contenu dans aucun système religieux. Effectivement, comment un système religieux pourrait contenir Celui de qui il a été dit : « les cieux et les cieux des cieux ne peuvent le contenir » (2 Chroniques 2.6) ? Les personnes de ce montage vidéo ont découvert un Dieu unique, puissant et glorieux qui se manifeste ouvertement aux coeurs sincères sans faire acception de personne, pour établir une relation réelle et vivante. Ce même Dieu condamne d’ailleurs ouvertement les religieux de toute époque, religieux qui tentent systématiquement de dominer et de contrôler les hommes en leur imposant toute une série de règles et de fardeaux pesant qu’eux même ne saurait remuer du bout des doigts. C’est évidemment ce que Jésus lui même reprocha aux religieux de son époque : « ils disent, et ne font pas. Ils lient des fardeaux pesants, et les mettent sur les épaules des hommes, mais ils ne veulent pas les remuer du doigt. Ils font toutes leurs actions pour être vus des hommes. » (Matthieu 23.4). Jésus exposera et dénoncera d’ailleurs sans hésitation le comportement hypocrite et le caractère faux et mensonger de ces religieux ayant l’apparence de la piété mais reniant ce qui en fait la force : « Pharisien aveugle ! nettoie premièrement l’intérieur de la coupe et du plat, afin que l’extérieur aussi devienne net. Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent beaux au dehors, et qui, au dedans, sont pleins d’ossements de morts et de toute espèce d’impuretés. Vous de même, au dehors, vous paraissez justes aux hommes, mais, au dedans, vous êtes pleins d’hypocrisie et d’iniquité. »(Matthieu 23.26-28).
Si l’on peut parler de religion alors la religion pure et sans tâche de Dieu consiste en ceci : l’amour de Dieu et de son prochain. Enfin, lorsque Jésus déclare cette somptueuse vérité : « Vous connaîtrez la vérité et la Vérité vous rendra réellement libre », il faut bien noter que cette liberté consiste (entre autres) en ceci : celui qui décide de suivre le seul vrai Dieu vivant échappe inévitablement à l’emprise et au contrôle des hommes religieux et à l’esprit de ce monde. L’esprit religieux ne supporte pas de voir un homme sortir de son périmètre de domination et de contrôle et grince des dents lorsqu’il le voit s’engager dans une marche avec Dieu dans laquelle il n’aura aucun contrôle. Le religieux enrage lorsqu’il voit un homme suivre le seul vrai Dieu avec liberté de coeur en se conformant à la parole révélée de Dieu et non à celle des hommes. Attention toutefois : cette liberté de coeur n’est pas comme un voile servant à recouvrir la méchanceté et toute sorte de mauvaises pratiques mais bel et bien la liberté et la grâce de suivre Dieu et d’obéir à sa parole et à ses commandements par amour et non pas obligation. C’est là toute la différence entre ce que la Bible appelle être sous la loi (suivre par obligation les lois de Dieu afin d’obtenir le salut, ce qui place une telle personne sous la malédiction puisque nul n’est justifié par les oeuvres de la loi) et être dégagé de la loi (suivre la loi par amour pour Dieu, dans le but d’honorer ce grand Dieu magnifique qui offre la vérité libératrice et le salut par la foi en Jésus-Christ à quiconque décide de se tourner vers Lui).
Mais revenons aux religions. En réalité, si la religion doit être traitée avec respect intellectuel, elle se doit alors de résister à l’épreuve de la vérité, et ce, en dépit de la mode du jour. Cette vidéo et cet article se veut être une apologie de l’unicité du message de Dieu. Le but de cette vidéo (et de ce site tout entier) est de vous montrer que Jésus-Christ, ce prince de vérité et de paix ayant marqué l’histoire comme nul autre, est bien plus qu’un homme, car étant véritablement celui qu’il a dit être : le Fils du Dieu vivant, celui qui vint chercher et sauver une humanité perdue en offrant le salut à quiconque croit et décide de le suivre. Christ a bouleversé et continue de bouleverser la vie de millions de personnes à travers l’histoire en manifestant d’authentiques fruits célestes à travers des prodiges, des miracles, des guérisons divines, des coeurs guéris et des vies transformées par la puissance irrésistible de son amour. Beaucoup des plus sceptiques ont expérimenté que celui qui décide de suivre par la foi le Christ en le prenant au mot, voit Dieu se manifester dans sa vie et répondre à ses prières tout en lui offrant le salut de son âme et une entrée dans le royaume des cieux à venir. La prise de conscience que Dieu donne à quiconque le cherche avec vérité l’amènera à réaliser la réalité de sa nature pécheresse et corrompu pour saisir l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ venu sur terre pour nous racheter et nous pardonner. Cette prise de conscience amènera alors cette personne dans un processus de transformation que la Bible appelle : sanctification, ce qui signifie être mise à part, aimer Dieu, aimer ses commandements et à se détourner de tout ce qui vient contredire sa nature d’amour et de bonté. Effectivement, comme dirait l’apôtre Jean : « Celui qui dit : Je l’ai connu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n’est point en lui. » (1 Jean 2.4), car « l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. » (1 Jean 5.3). Le même apôtre dira aussi : « Si quelqu’un dit : J’aime Dieu, et qu’il haïsse son frère, c’est un menteur; car celui qui n’aime pas son frère qu’il voit, comment peut-il aimer Dieu qu’il ne voit pas ? » (1 Jean 2.20), et Paul ajoutera : « L’amour ne fait point de mal au prochain : l’amour est donc l’accomplissement de la loi. » (Romains 13.10)
I] L’impact de la Vérité
Regardons un exemple parmi tant d’autre manifestant l’impact puissant du Christ dans l’histoire humaine et méditons la pertinence des propos de Napoléon au sujet de Christ. Dans une déclaration extraordinairement stupéfiante sur Jésus-Christ, Napoléon s’exprima en des termes que l’on ne retrouve pas chez un autre chef politique. Voici ses propos dans leur intégralité en raison de leur incroyable pertinence. Napoléon les écrivit pendant son exil sur l’île de Sainte-Hélène. Là, le conquérant de l’Europe civilisée eut le temps de méditer sur la portée de ses exploits. Il appela le comte Montholon pour lui demander : « pouvez-vous me dire qui était Jésus-Christ ? » Le comte refusa de répondre et Napoléon déclara :
« Eh bien, je vais vous le dire. Alexandre, César, Charlemagne et moi, nous avons fondé de grands empires, mais sur quoi s’appuyèrent ces créations de notre génie ? Sur la force. Seul Jésus fonda son empire basé sur l’amour et aujourd’hui encore, des millions meurent pour lui. Je crois comprendre quelque chose de la nature humaine : c’étaient tous des hommes, et j’en suis un ; nul autre n’est comme Lui. Jésus-Christ fut plus qu’un homme… J’ai suscité dans le coeur d’une multitude d’individus une dévotion enthousiaste à tel point qu’elles auraient donné leur vie pour moi… Mais pour cela, il me fallait être présent et les électriser par mes regards, mes paroles et ma voix. Quand je voyais des gens et que je leur parlais, j’allumais dans leur coeur la flamme du dévouement personnel… Seul Christ réussi à élever l’intelligence de l’homme vers l’invisible, de telle sorte qu’elle devient indifférente aux barrières du temps et de l’espace. Par-delà le gouffre de 1800 ans, Jésus-Christ émet une exigence qui, plus que tout autre, est difficile à satisfaire ; il demande ce qu’un philosophe peut souvent chercher en vain de la part de ses amis, ou un père de ses enfants, ou une épouse de son époux, ou un homme de son frère. Il demande le coeur humain. Il le veut tout entier pour lui. Il le demande sans conditions et sur-le-champ, il l’obtient. Merveilleux ! Au mépris du temps et de l’espace, l’âme de l’homme avec tous ses pouvoirs et ses facultés, se trouve annexée à l’empire de Christ. Tous ceux qui croient sincèrement en lui font l’expérience de cet amour remarquable, surnaturel pour Lui. Ce phénomène est inexplicable et se situe hors de portée des pouvoirs créateurs de l’homme. Le temps, ce grand destructeur, est impuissant à éteindre cette flamme sacrée. Il ne peut ni en amoindrir la force ni en limiter l’étendue. C’est ce qui me frappe le plus, j’y ai souvent réfléchi. Et c’est donc ce qui m’apporte la preuve convaincante de la divinité de Jésus-Christ. »
Napoléon comprit Jésus mieux que Pilate qui n’eut sans doute pas la moindre idée de ce que voulais dire Jésus lorsqu’il prononça ces mots : « mon royaume n’est pas de ce monde ».
Aujourd’hui encore, ce grand Dieu tend la main à quiconque décide de se tourner vers Christ afin d’être sauvé de ce grand jour du jugement et de la colère de Dieu qui s’en vient sur ce monde à la dérive. Par son sacrifice volontaire, Christ fut jugé à la place de quiconque croit puis ressuscita d’entre les morts et révéla au monde le mystère caché depuis tout temps : le dessin de Dieu et son grandiose plan de rédemption pour l’humanité permettant à Dieu de justifié le coupable tout en restant juste. La puissance du message de Christ contenu dans sa mort et sa résurrection se retrouve même dans des films à gros budget. Ce n’est pas sans raison que nous trouvons une parcelle des mystères de la résurrection du Christ dans certains films tels que « le monde de Narnia ». Dans ce film, Le lion Aslan est une figure de Christ. Il est dit au sujet du sacrifice du lion Aslan : « Il existe une magie encore plus profonde que les sorciers ne connaissent pas. Sa connaissance ne remonte qu’à l’aube du temps. Lorsqu’une victime consentante n’ayant commis aucune trahison et mis à mort à la place du traître, la table s’effondre et la mort elle-même se met à reculer. » Cette incantation à laquelle fait allusion ce passage est la volonté sublime de Dieu : celui qui ne connut pas de péché (Christ) offrirait de plein gré sa vie afin de payer le prix du péché. Comme cela avait été promis, la parole de Dieu s’est accomplit. Dieu avait prévu cela depuis tout temps et Christ a manifesté et accompli le projet divin. Ce n’est pas sans raison qu’il a marqué l’histoire et que notre calendrier même s’articule autour du glorieux nom du sauveur du monde. Il est bien au delà de toute religion et offre la vérité et la vie à quiconque s’approche de lui dans la sincérité et l’humilité. Nous sommes aujourd’hui au temps de la patience de Dieu, exactement comme à l’époque de Sodome et Gomorrhe ou de celle de Noé : le monde méchant et incrédule avance toujours plus dans le mal tandis que ceux qui aiment la vérité et l’amour viennent au vrai Dieu et le suivent mais sachez le : l’heure de jugement est plus proche que jamais et Dieu ne tardera pas à manifester sa justice et son jugement : tout homme doit donc prendre position, il s’agit de la destinée éternelle de chacun.
Dieu a donc consigné son message dans un livre : la Bible (si vous avez encore des doutes sur la véracité de la Bible, consultez donc les vidéos et articles de la rubrique fiabilité de la Bible).
II] Pourquoi toutes ces religions tandis que le message de Dieu est unique, clair et limpide ?
Une simple parabole peut nous aider à mieux comprendre :
Au milieu d’un magnifique paysage se trouve une grande et belle montagne. A un instant T, Il est demandé à diverses personnes positionnées en divers lieux de regarder en direction de cette montagne. Une personne se trouvant à l’ouest de cette montagne, à cause d’un nuage, ne la distinguera pas et dira donc : il n’y pas de montagne. Une autre personne se trouvant à l’est regardera en direction de la montagne mais un aigle royale volant dans sa ligne de mire lui fera dire la chose suivante : j’ai vu un aigle. Une autre personne située juste en face d’un arbre regardera et dira : je n’ai rien vu d’autre que cet arbre.
Finalement, un seul point de vue permettra à l’observateur de voir et d’apprécier directement la montagne sans aucun obstacle et c’est alors que seulement il pourra apprécier pleinement la beauté de cette montagne en y distinguant même son aspect grandiose couronné de ses neiges éternelles. Peu importe les dire des uns et des autres, la vérité demeure : il y a bien une montagne et elle est unique. Finalement, l’heureux observateur de cette grandiose montagne se tournera vers ses compagnons pour leur dire : venez mes amis ! Venez donc ici et contemplez cette montagne, c’est ici le point de vue idéal permettant de l’apprécier puis d’aller à sa rencontre ! Le premier refusera par incrédulité, l’autre se moquera, un autre encore, par lâcheté ou paresse refusera de se déplacer et enfin quelques rares personnes passant par là, sans préjugés mais ayant l’amour de la vérité, décideront de se rendre à l’endroit indiqué par le compagnon et contempleront alors avec lui la splendeur de la montagne. Ce groupe de personne décidera alors de marcher en direction de cette montagne afin d’y habitez tant le pays ou elle demeure semble bon et somptueux : c’est « un bon et vaste pays, un pays où coulent le lait et le miel, le plus beau de tous les pays ». (Exode 3.8, Ezéchiel 20.6).
C’est ici l’histoire des religions : il y a une vérité unique et immuable et un nombre considérable de religions ayant chacune une conception partielle ou erronée de la vérité divine. Mais heureusement il existe un endroit à partir duquel nous pouvons apprécier et accéder à la vérité qui nous a été donnée par le Dieu vivant : il se trouve dans la parole de Dieu : la Bible. Seul Dieu pouvait faire en sorte que la Bible soit le livre le plus lu, vendu et traduit de tous les temps ; pensez-à cela : ce n’est pas sans raison qu’il en est ainsi, quoi que puisse en dire ses détracteurs. En voulant détruire la seule source fiable de vérité, les détracteurs de la Bible perdent ceux qui les écoutent et se condamnent eux même mais surtout leur effort sont inexorablement inutiles quand à faire disparaître la Vérité : ils font autant d’effet sur la Bible qu’un homme frappant avec un marteau les pyramides d’Egypte dans l’intention de les faire disparaître…
Une des déclarations les plus controversées les plus critiqués de la foi chrétienne et sa prétention à détenir la vérité exclusive. Le christianisme est souvent méprisé comme la plus indigne des religions du monde et considérée comme la plus discutable par ses détracteurs parce que la tendance moderne rejette la notion de vérité absolue. La foi chrétienne est critiquée parce que la pensée contemporaine s’irrite devant tout élitisme des idées dans une société pluraliste. Comment pouvons-nous prétendre qu’une idée soit supérieure à une autre ? Après tout, nous formons une société multiculturelle ; la vérité ne se présenterait-elle pas aussi sous différents aspects ?
Toute affirmation qui se réclame de la vérité doit satisfaire à trois conditions comme préliminaire à tout examen plus approfondi. Ces tests sont la cohérence logique, la justification empirique et le bien-fondé expérimental.
Les critiques modernes du christianisme vivent dans une illusion pour le moins surprenante : ils croient que le christianisme est le seul système religieux à prétendre détenir une vérité exclusive. Cela est très révélateur de l’ignorance dans laquelle ils vivent au sujet de toutes les grandes visions du monde actuel. En fait, chaque système est implicitement exclusif. Le bouddhisme est né du rejet de deux doctrines fondamentales de l’hindouisme. Bouddha n’acceptait pas les Vedas comme vérité ultime et il dénonçait vigoureusement le système des castes. Ce système est évidemment très lié à la doctrine de la réincarnation ; c’est pourquoi le bouddhisme propose une doctrine différente, celle de la transmigration.
Les Sikh, quant à eux, rejettent à la fois l’hindouisme et le bouddhisme. Et dans un effort de tout réunir dans un universalisme religieux, le Baha’isme… Exclu ceux qui sont exclusifs. Même une connaissance superficielle de l’islam révèle son exclusivisme radical. L’islam est exclusif non seulement du point de vue théologique, mais également du point de vue linguistique. Selon la doctrine islamique, le Coran est unique miracle suffisant et parfait, à condition encore qu’il soit écrits en arabe. Toute traduction l’affaiblie et le désacralise. J’ajoute qu’il ne suffit pas de comprendre l’arabe, mais qu’il faut avoir une connaissance étendue et approfondie de cette langue. Quant à l’athéisme, il rejette toutes les autres conceptions théistes et les considère comme dénuées de raison. Soyons donc honnête : rejetons cette accusation portée par les athées contre le christianisme, et qui tranche, selon eux, avec l’admirable tolérance religieuse séculière des autres systèmes.
L’important est de voir si les réponses que le système religieux apporte aux questions vitales d’origine, de sens, de morale et de destinée résiste aux tests de la vérité. Sont-elles logiquement cohérentes, valable empiriquement et pertinente dans la vie ? Sont-elles indéniables ? Leur affirmation est-elle vraie ? Les solutions proposées aux quatre grandes interrogations de la vie doivent correspondre à la réalité, et leurs associations constituer un système cohérent. L’attitude qui consiste à dire : « vous n’avez pas de réponse à ma question, par conséquent je puis croire ce que je veux » est une hypocrisie intellectuelle.
Par définition, la vérité sera toujours exclusive. Jésus n’a pas dérogé à la règle ; il a affirmé son caractère exclusif. S’il ne l’avait pas affirmé d’une manière aussi radicale, il aurait pu faire croire que la vérité incluait tous, ce qui ne peut être le cas. La question fondamentale qui nous est posée est celle-ci : l’affirmation de Jésus sans laquelle il est la vérité résiste-t-elle au critère de vérité ? Dans sa personne, les a-t-il satisfait ? Nous verrons dans cet article (et à travers tout ce site web) que oui.
Maintenant, analysons ensemble ce qui gravite autour de la révélation divine, je pense aux multitudes de religions et de courants spirituels jetant malheureusement trouble et confusion autour du rocher de la vérité révélée par le Très Haut.
L’ensemble du texte ci-dessous provient d’extrait du livre « Jésus et les autres divinités » et du livre« L’homme peut-il vivre sans Dieu », livres tout deux écrit par Ravi Zacharias, un indien ayant grandi dans une culture indienne multi religieuse, aujourd’hui spécialiste en religions comparée, conférencier et écrivain. Vous pouvez retrouver son témoignage de rencontre avec Dieu en cliquant ici : témoignage de Ravi Zacharias.
III] L’athéisme
Certains diront à juste titre : comment la religion peut-elle justifier des milliers de personnes mises à mort en son nom ?
Voici une parabole intéressante : supposez que je vous vole votre manteau, que je le mette sur moi et que je fasse un hold-up dans une banque. Supposez encore que de loin, la police m’ait vu m’enfuir, mais qu’elle n’est pas pu m’arrêter. Elle dispose d’un indice important qui l’a conduit immanquablement chez vous : votre manteau. Que diriez-vous si elle vous accuse du braquage de la banque ? Il en est de même de ceux qui ont pris le manteau du christianisme authentique pour commettre le mal.
Malgré cette évidente comparaison, certains persisteront à déclarer que beaucoup de cruauté émanent de la religion. À cette question chargée émotionnellement, il n’est pas aussi difficile de répondre si le questionneur accepte d’expliquer d’abord les crimes perpétrés par ceux qui ont vécu sans Dieu, comme Hitler, Staline, Mussolini, Mao et tant d’autres. De la même manière, pourquoi ne pourrions-nous pas avec le même élan reprocher la violence exercée par certains de ceux qui rejettent toute religion ? Enfonçons le clou. Les adversaires de la religion ont oublié que ces crimes à vaste échelle dont se sont rendus coupables certains athées n’étaient en fait que l’aboutissement logique d’une philosophie négatrice de Dieu.
À l’opposé, le Christ des écritures n’aurait jamais approuvé la violence manifestée par ceux qui ont mis à mort sous le couvert de son nom. Les meurtriers au nom de Dieu n’étaient que des politiciens qui se servaient de la religion pour parvenir à leurs fins ; il s’agit d’un amalgame que le Christ a toujours combattu dans sa vie et dans son enseignement. Leurs moyens et leur message était contraire à l’Évangile. En revanche, l’athéisme pose la base logique d’une morale autonome, dominatrice et expéditive. Darwin a lui-même prédit ce glissement vers une violence accrue si la théorie de l’évolution était transposée dans la philosophie de la vie. Nietzsche a parlé de l’obscurité qui a enveloppé complètement l’humanité, et il en a discerné les prolongements. Le romancier russe Fiodor Dostoïevski évoque fréquemment l’enfer qui se déchaîne lorsque l’homme largue les amarres, s’éloigne de son créateur et devient son propre Dieu. C’est dire qu’il avait vu d’avance les résultats du rejet de Dieu. Aujourd’hui, nous disposons de preuves positives : nous constatons que notre culture dans son ensemble dérive vers l’anarchie ; nous assistons à la collision inexorable des autonomies.
Rappelons-nous des chambres à gaz utilisées par Hitler sous le terme de « solution finale ». Que ce projet ait pu être conçu et mûri dans l’esprit de la nation la plus civilisée à l’époque, et mis à exécution sur le sol même qui avait donné naissance au siècle des lumières, cela défie l’entendement. C’est pourtant l’enfant légitime de l’athéisme. L’homme avait commencé à vivre sans Dieu. C’est là que se situe le premier obstacle insurmontable pour celui qui veut vivre sans Dieu : l’incapacité d’échapper à l’emprise infinie de la loi morale. Si il y a une loi morale, il y a aussi un législateur moral et ce législateur moral est Dieu, il convient donc de l’écouter avec la plus grande attention.
Que dire de ceux qui sont tout simplement ignorant ?
La plupart du temps, l’ignorant est capable lui-même de surmonter son ignorance. Nous ignorons parce que nous ne voulons pas savoir. C’est notre volonté qui décide des sujets auxquels notre intelligence doit s’intéresser. Ceux qui ne discernent aucun sens au monde pensent généralement ainsi parce que, pour une raison quelconque, cette idée correspond à leurs livres qui déclare que le monde doit être dénué de sens.
Conclusion : dans notre recherche d’une morale et d’un bonheur en dehors de Dieu, nous les avons faits perdus tous les trois : Dieu, la morale et le bonheur.
IV] Les autres religions et la vérité
La vérité ne saurait être sacrifiée sur l’autel d’une prétendue tolérance. En termes clairs et nets, toutes les religions ne peuvent pas être vraies. Certaines croyances sont fausses et nous savons qu’elles le sont. Il ne sert donc à rien d’entourer d’un halo la notion de tolérance, comme si tout pouvait être vérité. Juger toutes les croyances comme étant d’égale vérité est un non sens pour la simple raison que l’inverse serait alors également vrai. Nous comprenons tous l’importance de la vérité. Jésus-Christ ne cessa jamais d’en évoquer la valeur suprême. Tandis que sa vie était soumise au feu de l’observation générale comme aucun autre ne le fut, il est remarquable que même les sceptiques aient admis et reconnus que sa vie et son impact était sans précédent. Voici par exemple l’opinion d’un érudit hautement respecté, le célèbre historien W.E.H Lecky : « La personne de Jésus n’a pas seulement été le modèle suprême de la vertu, mais aussi l’encouragement le plus puissant à sa mise en pratique. Elle a exercé une influence telle que l’on peut dire assurément à propos du simple récit de ces trois années de vie active, qu’ils ont fait davantage pour régénérer et adoucir le genre humain que toutes les dissertations philosophiques et toutes les exhortations des moralistes. »
Historien, poète, philosophe et une armée d’autres, l’ont considéré comme le personnage central de l’histoire. Lui-même fit une déclaration particulièrement impressionnante et osée lorsqu’il dit à l’apôtre Thomas : « Je suis le chemin la vérité et la vie. Nul ne vient au père que par moi ». Chaque mot de cette affirmation constitue un défi lancé à la culture indienne qui était la mienne, assertion qui, en réalité, se dresse aujourd’hui contre le monde entier.
Considérons les revendications implicites à cette déclaration. D’abord et avant tout Jésus affirma être le seul chemin menant à Dieu, un choc pour la mentalité et la mode post-moderne. L’hindouisme et le brahmanisme conteste depuis longtemps l’idée d’un seul chemin vers Dieu. La religion hindoue, avec son système de croyances à facettes multiples, attaque avec véhémence semblable exclusivité. Dans des propos dépourvus de toute équivoque, Jésus affirma aussi que Dieu est l’auteur de la vie et que celle-ci n’a de sens que si l’on vient à Lui. Cette affirmation est catégoriquement démentie par le bouddhisme, religions monothéistes, voire athée. Jésus se révéla comme étant le Fils de Dieu, le chemin qui mène au Père. Pour l’islam, cette présentation est blasphématoire. Comment Dieu peut-il avoir un fils ? Jésus proclama que nous pouvons connaître Dieu et la nature absolue de sa vérité de manière personnelle. Les agnostiques rejettent cette possibilité. On peut allonger la liste et voir que chaque déclaration relative à sa personne fut un défi aux assertions fondamentales de ma culture quant à la vie et à sa signification.
Bouddha était hindou avant de rejeter certaines doctrines fondamentales de l’hindouisme qu’il remplaça par la voie bouddhiste. L’islam diffère radicalement de l’hindouisme.
Ces considérations préliminaires comportent un élément d’insécurité personnelle, c’est compréhensible. Comment dire ce qu’on aimerait dire sans blesser qui que ce soit ou, dans ce cas, sans heurter une quelconque culture ? C’est difficile. Foyer et culture sont les trésors et le berceau de tout un chacun. Je me sens moi-même déchiré par l’amour pour la vérité et pour le prix à payer à la sincérité.
Quiconque affirme que toutes les religions sont les mêmes trahis non seulement son ignorance de toutes les religions, mais encore une vision caricaturale des plus connus. En bref, chaque religion est exclusive.
Nous constatons que de nombreux éléments surnaturels annoncés dans la Bible ont put être vérifié, et que Dieu est effectivement engagé dans l’histoire passée, présente et future. Je soulignerai en passant que l’islam ne peut se soumettre à une telle épreuve empirique dans l’histoire. Comme nous l’avons déjà dit, pour les musulmans, le prophète n’a accompli qu’un seul miracle : le Coran, rien d’autre n’étant nécessaire. Et ce miracle, je le répète, ne peut pleinement être compris et apprécié, selon l’enseignement islamique, que par des érudits maîtrisant parfaitement la langue arabe.
Voici donc l’homme de Nazareth qui déclara être d’origine céleste, son père n’étant autre que Dieu lui-même. Il n’est pas né de la consommation d’un mariage ni d’un besoin de communion, mais il est l’expression parfaite de Dieu dans la chair, en communion éternelle avec le père. Sa naissance ne fut pas naturelle. On ne peut pas en dire autant de celle de Mahomet, de Krishna ou de Bouddha. Tout en soutenant la thèse de sa naissance virginale, l’islam ni que Jésus soit le fils de Dieu ; il a donc jamais été capable de se libérer d’une contradiction de son propre cru quant à la filiation de Jésus. Son affirmation selon laquelle il est blasphématoire de suggérer que Dieu aurait eu un fils se fonde sur la notion d’une union sexuelle obligatoire pour concevoir un enfant, et, bien entendu, cela rabaisserait Dieu. Ainsi, nous nous trouvons ici en présence d’une demie vérité, d’une entorse ironique pour une religion dont le prophète fondateur eut de nombreuses relations sexuelles, toutes, prétendent les musulmans, inspirées par Dieu. Ceci mis à part, s’ils acceptent la naissance virginale, alors ils reconnaissent que Dieu, dans sa puissance infinie, peut permettre la naissance d’une vie en dehors de tout rapport sexuel. Note : En rejetant la notion et les termes de Fils de Dieu (employés par le Christ lui même) à cause de l’implication d’une relation sexuelle, tout en acceptant la naissance miraculeuse et virginal de Jésus-Christ en dehors de toute relation sexuelle, l’islam semble nager en plein paradoxe.
Aucun indice dans la vie de Jésus ne laisse entendre qu’il n’ait jamais subi les assauts de la sensualité ni qu’il ait eu à implorer le pardon pour quoi que ce fût. Jésus apparaît comme le seul être sans tache, purs de toute erreur d’omission ou de commission. D’après les récits mêmes de l’islam, quand Mohamed déclara pour la première fois avoir reçu des révélations, il fut dans la confusion, incertain de ce que cela signifiait. Ce sont d’autres personnages qui lui apprirent que ce pourrait être la voix de Dieu s’adressant à lui. Par contre, Jésus savait exactement qui il était et d’où il venait.
L’hindouisme ne résiste pas à un examen minutieux. Le badinage de Krishna et ses exploits avec les trayeuses dans le Bhagavad-Gita sont à franchement parler une source d’embarras pour de nombreux érudits hindous.
Comment Bouddha se mesurent-ils au standard de la pureté personnelle établie par Jésus ? Le fait même qu’il ait connu plusieurs renaissances implique une série de vie imparfaite. Quand il quitta sa demeure au palais, abandonnant épouse et fils, se fut pour partir à la recherche d’une réponse, car ce n’est pas par elle qu’il commença. Son illumination fut une conquête. Même pris au pied de la lettre, ce fut un chemin vers la pureté, non la pureté en soit. Or Jésus ne débuta pas sa mission en abandonnant un environnement confortable afin de parvenir à une illumination qui lui apporterait la réponse au mystère de la vie. Telle fut l’origine du bouddhisme.
Jésus n’est pas venu pour des raisons terrestres consistant à confirmer un peuple dans leurs croyances ou à complimenter les Grecs pour leurs dons intellectuels ni à exalter une culture récipiendaire de la loi morale de Dieu, fierté dont se délectaient les hébreux. Son assertion inébranlable et dépourvue d’équivoque fut celle-ci :le ciel est sa demeure et la terre son marchepied. Il n’y eu jamais de temps où il ne fut pas, il n’y aura jamais de temps où il ne sera pas. Sa position fut celle de la vérité depuis une perspective éternelle qui lui conféra une place unique dans l’histoire.
L’islam accuse le christianisme de profaner le nom de Dieu, qualifiant de blasphématoire l’incarnation de Jésus. Or, par son incarnation, il exalte le corps, tout d’abord par sa conception virginale, ensuite en prenant une forme humaine et en lui donnant l’expression glorieuse de Dieu dans la chair. L’Histoire de la chrétienté n’est pas exempte de perversion. Mais Jésus envoya un message fort et clair. Nous sommes son temple. Nous ne nous tournons pas dans une certaine direction pour prier. Nous ne sommes pas liés par l’obligation de nous rendre dans un édifice pour entrer en communion avec Dieu. Il n’existe pas de posture, de moment ni de limitation restreignant notre accès auprès de Dieu. Ma relation avec Dieu est intime et personnelle. Le chrétien ne se rend pas au temple pour adorer. Le chrétien emmène avec lui le temple. Jésus nous emmène au-delà de l’édifice et apporte au corps humain le meilleur hommage qui soit en faisant de lui sa demeure, l’endroit où il vient chaque jour à notre rencontre. Aujourd’hui encore, il renverserait les tables de ceux qui font de ce temple un lieu de marché pour leur propre convoitise, leur cupidité et leur richesse.
Saisissant la beauté de la transformation de l’eau en vin, le poète Alexander Pope écrivit : « l’eau consciente vit son maître et rougit. »
Analyse du leader de chaque religion
Au coeur de toutes grandes religions se trouve un chef de file. Lorsqu’on étudie les commentaires, on remarque l’émergence d’un point très significatif. Il existe une divergence entre la personne et son enseignement, Mahomet par rapport au courant, Bouddha par rapport à la voie noble, Krishna par rapport à sa philosophie et Zoroastre par rapport à son éthique. Quoi que nous fassions de leurs prétentions, il est une réalité incontournable. Ce sont des enseignants qui attirent l’attention sur leur enseignement ou montrent une voie particulière. En tous émergent une instruction, une manière de vivre. Ce n’est pas vers Zoroastre que l’on se tourne, mais vers celui que l’on écoute. Ce n’est pas Bouddha qui vous délivre, ce sont les vérités nobles qui vous instruisent. Ce n’est pas Mahomet qui vous transforme, c’est la beauté du Coran qui vous courtise.
Par contraste, Jésus n’enseigna pas où n’exposa pas seulement son message. Il fut identique à son message. En lui, déclare les écritures, habite corporellement toute la plénitude de la divinité. Il ne proclama pas seulement la vérité, mais déclara : je suis la vérité. Il ne montera pas seulement un chemin, mais affirma : je suis le chemin. Il n’ouvrit pas seulement de nouvelles perspectives, il dit : je suis la porte. Je suis le bon berger. Je suis la résurrection et la vie. Je suis celui qui SUIS.
Il n’offre pas seulement le pain de vie. Il est ce pain. C’est la raison pour laquelle être chrétien n’est pas uniquement une manière de se nourrir et de vivre. Suivre le Christ commence par une manière d’établir des rapports et une manière d’être.
Prenons comme exemple spécifique celui du bouddhisme qui fait beaucoup d’adeptes à Hollywood. Très souvent, et de façon simpliste, on le définit comme étant une religion de compassion et d’éthique. En vérité, il n’existe sans doute pas de système de croyances plus complexe que celui du bouddhisme. Certes, il débute avec les quatre vérités nobles relatives à la souffrance à l’abandon, mais évolue ensuite vers la voie à huit aspects sur la manière de mettre fin à la souffrance. Ensuite, lorsqu’on pénètre sur cette voie à huit aspects, on découvre des centaines et des centaines d’autres règles qui traitent des contingences.
À partir d’une base de quatre fautes qui aboutissent à la perte du statut de disciple s’édifie une construction incroyable de moyens pour parvenir à la restauration. Ceux qui suivent les enseignements de Bouddha se voient communiquer 30 règles sur la façon d’éviter ces pièges. Mais avant même qu’une personne ne puisse gérer ces dernières, elle découvre 92 règles traitant d’une seule de ces fautes. Il existe 75 règles pour ceux qui entrent dans l’ordre. Ce sont des règles de discipline : 227 pour les hommes, 311 pour les femmes. Les adeptes du bouddhisme savent qu’il fallût persuader Bouddha d’admettre les femmes dans le statut de la discipline. Il finit par accepter sur les instantes supplications de l’un de ses disciples, mais émis des règles particulières pour elles.
Quoique l’on pense de tout ceci, il faut être clair sur un point : l’éthique est au coeur d’un système non théiste, comme le bouddhisme, auxquels viennent s’ajouter des règles à l’infini. Bouddha et ses adeptes sont les auteurs de ces règles. Dans ce système, la prière la plus commune implorant le pardon, tirée du livre de prières bouddhistes, et le reflet de ce dédale numérique :
« J’implore le pardon ! J’implore le pardon, j’implore le pardon… Puissé-je être en tout temps libéré des quatre états du malheur, des trois fléaux, des huit circonstances mauvaises, des cinq ennemis, des quatre déficiences, des cinq malheurs et atteindre rapidement le chemin, la réalisation, la loi noble du Nirvana, seigneur. »
Tout au mieux, cet enseignement nous attire vers la moralité, mais n’est nullement efficace en soi. Il ressemble à un miroir qui peut nous montrer si le visage et salle, le miroir ne pourra pas le laver. Pour bien comprendre cette théorie compliquée, il faudrait presque avoir le niveau d’une licence en philosophie et en psychologie.
De par son essence et ses objectifs, l’hindouisme nous enseigne qu’il nous faut rechercher l’union avec le divin. Pourquoi l’union ? Parce que pour lui, nous sommes une partie de cet univers divin. L’objectif de l’individu est donc de découvrir la divinité de vivre en accord avec elle. Écoutons les propos de Deepak Chopra à propos de ce but de la vie. Dans la première partie de son livre, il affirme : « nous sommes une divinité dissimulée et les dieux et déesses qui sont en nous à l’état embryonnaire cherchent à se matérialiser pleinement. »
Une union avec un absolu impersonnel défie le langage, la raison et les réalités existentielles. Elle ne satisfait pas l’aspiration à la communion. C’est la raison pour laquelle certains des philosophes penseurs hindous les plus respectés l’ont qualifié de système d’objectifs de vie se rangeant au nombre des plus contradictoires qui aient jamais été embrassés. Non seulement cela, mais l’hindouisme ne pouvait pas survivre à la stérilité de ce genre d’auto déification. Des divinités personnelles ont vu le jour par millions et les temples fourmillent de gens qui cherchent à adorer. Non, la suggestion d’une divinité intérieure est un emprisonnement du point de vue psychologique et l’individu part la dérive.
L’islam se situe à l’autre extrême. Pour ce dernier, la distance qui sépare Dieu de l’humanité est si grande que le « je » ne peux jamais s’approcher de lui. En conséquence, puisqu’il est impossible de franchir la distance existante entre les deux, l’adoration nécessite un débordement d’activité, destiné à rapprocher l’adorateur. Répétition et soumission se substitue à la chaleur d’une relation personnelle. Il suffit d’observer un musulman en adoration pour constater la différence. Dans l’islam, le commun des mortels ne peut jamais avoir la certitude d’aller au ciel, malgré toutes ces observances et toutes les règles qui lui faut suivre. La destinée d’un individu est à la merci d’une volonté inconnue. Quand la relation personnelle disparaît sous un amoncellement de règles, pouvoirs politique et imposition d’une discipline devienne un moyen d’endiguement.
Un jour, un ami musulman et moi partîmes passer la journée ensemble. J’avais oublié que le ramadan venait juste de commencer et je lui suggérais de nous arrêter dans un restaurant pour prendre une tasse de café. « Cette tasse de café me coûterait des années de prison », me dit-il et, bien entendu, je lui présentais mes excuses pour cette suggestion. Puis, à voix basse, il admit que son jeûne se limitait à son aspect public, mais qu’il ne le pratiquait pas en privé. « Je ne peux pas travailler dix heures par jour sans manger », ajouta-t-il. Il se fit un silence gêné puis il murmura ces mots : « je ne pense pas que ce soit Dieu qui impose ces règles. » Comme le sait quiconque a interrogé n’importe quel musulman, tous ses coreligionnaires admettent avec un sourire sur le visage que, durant le mois du ramadan, il se vend plus de denrées alimentaires que pendant tout autre mois de l’année. Mais elles se consomment du crépuscule à l’aurore, et non l’inverse. Le légalisme entraîne toujours une certaine accommodation au détriment de l’objectif.
Dans le message chrétien, Dieu, distinct et distant, s’est approché de nous afin que, nous qui sommes faibles, devenions fort et que nous soyons attirés dans une communion plus profonde avec lui et notre identité est préservée, telle qu’elle est. Cet acte simple de communion englobe en soit l’objectif de la vie. L’individu conserve son individualité tout en demeurant dans la communauté. Le physique garde sa physicalité, mais il est transcendé par le spirituel. Les éléments conservent leur caractère distinctif mais deviennent les vecteurs de la vérité et ils attirent l’attention au-delà d’eux même, vers une communion spirituelle à laquelle aspirent notre esprit.
V] Réponse religieuse face au mal
La difficulté pour l’hindouisme est qu’il n’a pas de réponse monolithique au problème de la souffrance. En déclarant que tout ce qui est dans le monde physique n’est pas réel, illusoire, changeant, transitoire, il aboutit à des problèmes philosophiques au-delà de toute mesure.
Dans le bouddhisme, il est dit que derrière le monde réel se trouve en fait l’éphémère. Ainsi, tous nos désirs insatiables proviennent du fait que nous croyons en quelque chose de permanent, donc nous éprouvons ce désir. Le bouddhisme veut donc éliminer ces désirs qui finalement sont la cause de la souffrance. Dans l’état d’illumination, le soi s’éteint ainsi que tous les désirs. Ainsi, la souffrance disparaît. Tel est l’objectif du bouddhisme. Donc selon l’enseignement du bouddhisme, si nous parvenons à éradiquer le désir, nous supprimerons le mal.
Mais si l’absence de désir étant l’ultime Nirvana, il serait alors logique de dire qu’en cet état, il n’existe pas même de désir de voir le mal prendre fin puisque le désir n’existe plus ! Il y a bien d’autres problèmes insurmontables dans le bouddhisme qui défie la raison et l’entendement ce qui n’est absolument pas le cas avec le véritable Dieu vivant révélé dans la Bible. Le bouddhisme reconnaît donc le mal, puis, de façon fataliste, ferme les yeux sur lui, cherchant une issue de secours dans laquelle il sera incapable de jouir du plaisir d’avoir trouver la sortie puisque le néant du désir en est l’issue.
Le navire panthéiste, lui, se brise sur les récifs du mal. On ne peut parler de cessation de la souffrance sans donner aussi l’origine de la première mauvaise pensée.
Dans la Bible, la sainteté de Dieu est semblable à la lumière dans un monde obscur. La sainteté de Dieu dévoile ce qu’est la lumière en soi : le moyen de découverte et de libération des pièges du mensonge. Le prophète de l’Ancien Testament, Ésaïe, décrivit son état de prostration quand Dieu se révéla lui. Cet homme bon du point de vue moral, n’en tombera pas moins sur sa face, immédiatement conscient de son indignité devant la présence de Dieu. Il ne se trouvait pas seulement en présence d’un être meilleur que lui. Il était en présence de celui par qui et grâce à qui toute pureté trouve son point de référence, ce qui le laissa sans voix. Ici, l’islam et le christianisme trouve une perspective qui leur est partiellement commune. Dieu est transcendant, non seulement dans son être, mais dans sa nature.
Nous ne sommes pas, comme le prétend Jean-Paul Sartre, des bulles vides flottant à la surface de la mer du néant. Nous ne voguons pas sur un croiseur sans but, sans destination, sans instruments. Quand on saisit l’histoire du plan et du dessein de Dieu, produits de son personnage saint et pur, le bien et le mal s’expriment ensemble dans ce contexte. Sans Dieu, il n’y a pas de scénario et rien n’a de sens.
Pour Mahatma Gandhi, de toutes les vérités de la foi chrétienne, celle qui lui semblait être la plus importante pour lui était la croix de Jésus et il admis qu’elle n’avait pas de parallèle : un innocent mourant pour des coupables, le pur en échange de l’impur. Ce mal ne saurait se comprendre vu avec les yeux de ceux qui le crucifièrent, mais uniquement avec ceux du crucifié. C’est la femme violée qui peut comprendre ce qu’est le viol, non le violeur. C’est l’être calomniées qui peut comprendre ce qu’est la calomnie. Seul celui qui mourut pour nos péchés peut nous expliquer ce qu’est le mal, non les sceptiques. La croix est la voie qui mène à une parfaite explication. Ceci aboutit aux « comment » de tout. A ce sujet, n’hésitez pas à consulter le dossier complet et la vidéo sur le site : La souffrance plaide contre Dieu – Analyse d’une question difficile : Comment concilier l’amour de Dieu avec le mal et la souffrance ?
Je me rappelle une conversation avec un homme d’affaires très riches, couronné de succès qui, au cours de notre entretien, revint sans cesse sur cette question : « mais qu’en est-il de tout le mal dans ce monde ? » Pour finir, un ami assis à côté de moi lui dit : « je vous entends exprimer un désir permanent de voir une solution au problème du mal autour de vous. Mais êtes-vous autant préoccupé par le problème du mal en vous ? » Pendant le silence qui s’ensuivit, l’expression du visage de cet homme trahi sa duplicité.
Au cours d’un forum où je m’exprimais sur le thème du mal et de la souffrance, un athée me demanda : « si vous découvriez que Dieu n’existe pas du tout, que feriez-vous immédiatement que vous ne faites pas maintenant par peur de lui ? »
Cette seule question en dit long sur la mentalité de l’auteur. Il existe une sorte d’antinomianisme (contre la loi), un état d’esprit hostile à la loi : « si Dieu n’était pas sur mon dos, je pourrais faire beaucoup plus de choses. » On pourrait tout aussi bien demander : « s’il n’existait pas de policier pour veiller à votre sécurité, à quelle vitesse rouleriez-vous ? » Ou encore : « s’il n’existait pas de justice pénale, quel genre de crimes commettriez-vous ? » Ou bien : « si personne ne pouvait vous découvrir, dans quel genre de mauvaises actions vous engageriez-vous » ? En bref, c’est une grave erreur que de ne pas voir dans le coeur privé de garde-fou une prison pour chacun – une prison sans règles.
Le problème du mal commence en moi. G.K Chesterton écrivit en ces termes à un éditeur la lettre la plus courte jamais écrit : « Cher Monsieur, en réponse à votre article : qu’est-ce qui ne va pas dans le monde ? C’est moi. Sincèrement vôtre, G.K Chesterton. »
La preuve la plus irréfutable que le mal n’est pas l’ennemi du sens et cette réalité existentielle incontournable : l’absence de sens à la vie n’est pas le résultat de la lassitude due à la souffrance, mais de la lassitude du plaisir.
En définitive, le problème du mal n’a qu’une seule source. C’est la résistance à la sainteté de Dieu qui fit tomber une chape de plomb sur toute la création. C’est un mystère parce que nous sommes engloutis dans la cécité spirituelle. Il n’existe à cette maladie qu’un seul antidote : la manifestation glorieuse de Dieu à l’oeuvre dans une âme humaine, capable de la restaurer. Cette transformation rend le coeur tendre ; il devient ainsi une partie de la solution, et non une partie du problème. Pareille transformation commença à la croix de Jésus-Christ.
Enfin, tout comme l’aveugle, ceux qui font l’expérience personnelle de la puissance de Christ qui a transformé leur vie comprendront l’aveuglement bien plus grave auquel ils ont échappé.
La valeur authentique de la vie ne peut se trouver qu’en Dieu. Quand, au travers du mystère du mal, Dieu restaure votre vie spirituelle et votre vision spirituelle, nous devenons capables de discerner l’oeuvre accomplie par lui à l’intérieur même du cadre de la plus difficile de nos questions. Avec des larmes de joie, nous nous inclinons devant lui.
Beaucoup de personnes découvrant la réalité divine font la dure expérience qu’auparavant, au nom du plaisir, ils ont infligé autour d’eux et en eux-mêmes des souffrances suprêmes. Tout ce qui était chargé de valeurs avait été perdu. Cependant, c’est au sein de ce genre de tragédie que l’oeuvre de Dieu peut se manifester. Et Dieu au sein du chaos et du mal vient apporter des plaisirs d’une valeur infiniment supérieure aux plaisirs profanes et éphémères qu’une vie déréglée en dehors de Dieu peut apporter. L’étreinte d’une épouse qui pardonne, la consécration renouvelée aux valeurs sacrées de la vie, telles sont les trésors véritables de la vie. La chose qui nous avait enlacé dans ses filets peut devenir soudainement pour nous nauséabondes et répugnantes lorsque l’on découvre la puissance et l’amour de Dieu.
En résumé, pour le chrétien, le mal est une réalité, ce monde est une réalité, le temps est une réalité. Jésus n’est jamais venu pour dominer les peuples par la force. Il n’a même pas parler de système politique. Il est venu pour régner sur le coeur des individus non pour établir un pouvoir politique. Jésus est venu délivrer l’homme du mal en le conduisant sur le chemin de la vie éternelle et du royaume des cieux à venir. Il demande à vivre en vous, non pas dominer notre Etat.
VI] La Vérité dévoilée en Jésus-Christ
N’avez-vous jamais été confus face à une reproduction apparemment dépourvue de sens sur un poster qui semble n’être qu’un assemblage de formes ou de points ? vous Continuez a les fixer, à incliner la tête d’un côté et d’autres, et voilà que soudain un mot ou une image se dégage de ce désordre. Nous qualifions cela de cryptogramme. Il se reproduit un événement fascinant quand vous avez enfin compris que les points où les formes masquaient le message réel. Puis vous vous mettez à pencher à nouveau la tête pour essayer de perdre de vue le schéma ordonné et pour retrouver le désordre initial. Vous vous adonnez à ce dernier exercice parce que, tout simplement, vous vous demandez comment vous avez pu, dans un premier temps, passer à côté du message. Une fois que l’oeil a capté l’image, il interprète le message pour ce qu’il est. Quand l’oeil le perd, la confusion règne. Puis-je émettre une suggestion ? Le défi que fut le ministère terrestre de Jésus eut pour but de nous rendre capable de discerner le message afin que nous puissions comprendre l’image. En observant le cryptogramme de la vie, soit nous voyons inévitablement son nom resplendir, soit nous constatons la confusion des religions sans le moindre message, un embrouillamini de croyances qui accablent notre existence, chacune trouvant sa justification dans la voie de la culture. Ce peut être la tragédie du sentiment séducteur que nous appelons tolérance et qui s’est transformé en euphémisme pour désigner la contradiction. Le résultat est traître.
Pour ma part, je dois avouer que ceux qui ne cherchent pas a étayer ce qu’ils croient m’inquiètent plus que ceux qui s’en préoccupent.
Ne devons-nous pas risquer ou du moins faire un effort de recherche à propos d’un individu se voulant être celui qui est la seule réponse au but et à la destinée de la vie ? Cette prétention doit nécessairement faire l’objet d’une mise à l’épreuve d’une justification parfaite.
Le bon sens veut qu’en affirmant une conviction ou des croyances, nous offrions plus qu’un désir du coeur. La défense authentique de n’importe quelle déclaration doit faire ses preuves face à ce qui constitue pour elle un défi ou qui la contredisent. En d’autres termes, la vérité n’est pas uniquement une question d’offensive, en ce sens qu’elle se livre à certaines affirmations ; c’est aussi une question de défensive, en ce sens qu’il faut être capable d’apporter une réponse pertinente et raisonnable au contrepoint soulevé
On a dit que la nature humaine qu’elle a horreur du vide, il en est de même de notre foi. Nul parmi nous ne pourrait être à l’aise avec une foi vide. Il faut qu’il y ait à la fois substance et objets à notre foi. La foi chrétienne n’est pas un saut dans le noir, loin de là. Il s’agit d’une confiance bien placée dans la lumière, la lumière du monde qui est Jésus.
En conséquence, pour résumer tout ceci, la foi en Jésus-Christ est un engagement cognitif, passionné et moral envers ce qui tient debout sous le regard scrutateur de l’intelligence, du coeur et de la conscience. Il ne s’agit pas d’une compréhension qui fuirait la réalité et qui nous servirait de bouée de secours quand tout dans la vie échappe à notre contrôle. Avoir la foi, c’est refondre toutes les menaces et les possibilités qu’apporte l’existence dans le projet de Dieu.
Dans l’entretien bref mais important entre Jésus et Pilate, celui-ci a demandé à Jésus : « Es-tu Roi ? » Nous imaginons sans peine le rire sardonique sur le visage de cet homme, marionnette entre les mains de César, lorsqu’il a questionné le charpentier juif sur sa royauté. Jésus a répondu à Pilate en lui posant à son tour une question : « Cette question émane-t-elle de toi-même, ou quelqu’un te l’a-t-il soufflé ? ».
Jésus procédait souvent ainsi. Il remettait en question l’interrogation de son interlocuteur pour l’obliger à dévoiler ses pensées profondes. Pilate sembla quelque peu exaspéré par cette insolence apparente. « Regarde, dit-il, ce n’est pas moi qui t’ai amené ici, ce sont tes propres compatriotes » Jésus lui répondit : « Mon royaume n’est pas de ce monde, répondit Jésus. Si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi afin que je ne fusse pas livré aux Juifs; mais maintenant mon royaume n’est point d’ici-bas. »
- Tu es donc Roi ! repartit Pilate
La réponse de Jésus met Pilate dans une situation difficile : « Tu le dis, je suis roi. Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité. Quiconque est de la vérité écoute ma voix. »
Cette réponse est à la fois subtil et osée. Ce que Jésus révèle à la foi à Pilate et au monde, c’est moins la pauvreté de la vérité accessible que l’hypocrisie de notre recherche. Pour Jésus, la droiture de cœur précède la vérité objective. L’intention passe avant l’action. Dans son entretien avec Pilate, Jésus affirme de façon provocante que la manière dont l’homme réagit face à lui révèle si son coeur est droit ou fourbe. La conséquence est incontournable : Jésus était, et il est toujours la vérité. Votre attitude en face de lui est plus révélatrice de vous-même que de lui.
Jésus-Christ ne se contente pas d’apporter des réponses aux questions existentielles ; il est la réponse lui-même. Je vous encourage à étudier sérieusement les déclarations de l’enseignement de Jésus ; vous découvrirez alors un message qui répond amplement à tous les besoins de la nature humaine et dépasse tout ce que l’intelligence de l’homme peut concevoir. La vie de Jésus offre un merveilleux tableau : un petit enfant peut le comprendre, mais un sceptique aussi enraciné que Paul n’arrive pas épuiser toutes ses richesses et finit par fléchir les genoux devant lui en l’appelant Seigneur.
VII] La victoire de l’amour
C’est l’histoire d’un jeune homme qui vivait dans un village et qui tomba amoureux d’une femme d’un village voisin. Il l’aimait sincèrement et la demanda en mariage. De son côté, la jeune fille n’éprouvait aucun amour particulier pour le garçons et se mit à exploiter à son profit les sentiments du jeune homme. Elle s’amusa à exiger de sa part des preuves toujours plus fortes de son amour pour elle.
À la fin, lorsqu’elle eut épuisé toutes ses ressources, elle exigea de lui une chose inconcevable. « Si tu m’aimes réellement, dit-elle, j’aimerais avoir l’assurance que c’est un amour sans partage. Pour le prouver, je te demande de tuer ta mère et de me porte son coeur comme un trophée de ma victoire sur ton amour pour elle. » Le jeune homme, très attristé, resta perplexe durant des semaines. Incapable de résister plus longtemps et voyant sa mère seule, il se jeta sur elle et la tua. Il prit son coeur et couru aussi vite qu’il put pour apporter ce trophée à la jeune fille qu’il aimait. Il fuyait en même temps le sentiment de culpabilité qui le tourmentait. En traversant la forêt très dense, il trébucha et tomba, laissant échapper le coeur de sa main. Avant de reprendre sa course, il chercha frénétiquement où avait bien pu tomber le coeur. Finalement, il l’aperçut et le ramassa. Tandis qu’il frottait la poussière de ses genoux, il entendit une petite voix qui venait du coeur : « T’es-tu blessé, mon petit ? T’es-tu fais mal ? »
Au milieu des détails horribles ressortaient clairement un message : celui de l’amour immortel d’une mère. Mais permettez-moi de vous poser une question. Que trouvons-nous dans cet amour qui force notre plus profonde admiration ? N’est-ce pas le triomphe de l’esprit sur la chair ? Le fait que l’amour supérieur a vaincu l’inférieur ? Allons encore plus loin. Où a pris naissance le concept de l’amour ? Ne pouvons-nous pas affirmer qu’un amour sacrificiel comme celui-ci ne pouvait en aucun cas procéder de la matière inintelligente, mais qu’il a été placé en nous par le créateur, par Dieu lui-même ? Augustin dit avec raison : « tu nous as fait pour toi-même, et nos coeurs ne trouvent le repos qu’en toi ». Notre capacité à reconnaître l’amour vient de Dieu ; c’est pourquoi les composantes précises d’amour et de sacrifices que l’amour implique doivent également venir de lui. La Bible dit non seulement que Dieu nous aime, mais qu’il a démontré son amour d’une façon inouïe.
Le docteur Stanley Jones, un remarquable missionnaire en Inde, respecté et admiré même par le Mahatma Gandhi, racontait souvent l’histoire d’un homme, haut personnage hindous du gouvernement, à qui il s’efforçait d’expliquer le concept de la croix. L’homme répétait sans cesse au Dr Jones qu’il était impossible de trouver un sens à la croix et à l’amour de Dieu. Les deux interlocuteurs semblaient tourner en rond dans leur discussion ce qui n’était pas pour satisfaire le missionnaire. Un jour, suite à une série de circonstances, l’homme se trouva entraîné dans une liaison sentimentale illicite qui tourmenta sa conscience. Ils ne se supportaient plus lui-même ; finalement, il regarda droit dans les yeux sa femme dévouée et lui raconta l’histoire navrante de sa trahison. Les heures et les jours d’angoisse et de souffrance devinrent des semaines d’abattement pour elle. Après avoir surmonté le premier choc, elle exprima à son mari qu’elle avait été profondément meurtrie, mais elle l’assura de son engagement et de son amour indéfectible. Tout à coup, ce fut comme si un éclair illuminait le ciel noir et tout le paysage en dessous, et il murmura : « maintenant, je sais ce que signifie l’amour crucifié par le péché ». Il fléchit les genoux pour adorer son sauveur, et enlaça son épouse avec une ferveur renouvelée en s’engageant solennellement à l’aimer toute sa vie. C’est le sentiment bouleversant de l’immense amour de Dieu.
L’amour est exigeant. L’amour réclame le sacrifice. Mais dans notre vie agitée, nous avons inversé les priorités : nous dilapidons le sacré pour protéger le profane. C’est l’amour de Christ qui bouleverse nos priorités et les remet dans l’ordre ; cet amour qui répond aux besoins du coeur humain d’aimer et d’être aimé. Christ est l’expression consommée de l’amour ; en connaissant Christ, nous possédons l’amour qui donne un sens à notre vie. Mais Christ nous a fait don de ce qui va au-delà d’un amour simplement relationnel. Si vous deviez discuter avec l’un ou l’autre philosophe religieux du concept de l’amour tel qu’il est enseigné dans les autres religions, vous ne seriez pas un peu surpris par vos découvertes. Dans le bouddhisme, Gautama Bouddha, le fondateur, a abandonné femme et enfants pour partir à la recherche de la paix intérieure. Dans l’hindouisme, l’amour se résume à un sentiment de pitié. Quant à l’islam, il préconise une attitude de soumission à un Dieu miséricordieux, mais plus la manière d’agir de ce Dieu compatissant est observée, plus le mot de miséricorde semble vide de sens. Seule la religion chrétienne présente la vie avec Dieu comme une relation d’amour. Relevons toutefois que le christianisme ne conçoit pas l’amour comme une simple émotion ou comme une expression verbale. Dans la relation avec Dieu, l’amour conduit immanquablement à l’adoration. Toutes les relations terrestres telles que nous les connaissons ici-bas prendrons fin un jour. C’est dans l’adoration que l’émerveillement et la vérité se fonde ensemble et que nos coeurs sont enrichis par l’amour de Dieu. Cet enrichissement qui procède de l’adoration nourrit toutes nos autres relations et nous aide à tenir nos engagements sacrés. Ce concept est trop important pour le passer sous silence.
À moins que ce courant ne s’inverse, notre civilisation court à sa ruine, car l’absence de sens à la vie déchaînera la violence même sur ceux qui prétendent aimer. L’amour de Dieu est indispensable pour conférer un sens à la vie ; cet amour est révélé en Christ et peut-être expérimenté personnellement.
VIII] De quelle manière la foi chrétienne s’avère-elle être unique ?
Voici la première : la conversion. Le message de Jésus révèle que tout individu, juifs, grec ou Romain, ou originaires de tout autre civilisation, parvient à la connaissance de Dieu, non pas en vertu de sa naissance, mais par un choix conscient, à savoir celui de le laisser dominer sa vie personnelle. Le royaume de Jésus n’est pas de ce monde, et notre héritage dans son royaume n’est pas un monde dans lequel nous pénétrons grâce à notre naissance physique. Il ne faut pas oublier que personne ne née chrétien. Tous les véritables chrétiens le deviennent en vertu de la conversion. Demander à un chrétien de ne pas parler de sa foi à une personne qui en a une autre, c’est demander à ce chrétien de renier sa propre foi.
L’enseignement de Jésus est clair. Nul ne devrait être contraint à devenir chrétien. Ceci met la foi chrétienne en opposition radicale à l’islam. Dans aucun pays ou la foi chrétienne est majoritaire, il est illégal de propager une autre foi. Je ne connais pas de pays au monde où la renonciation à la foi chrétienne fasse courir un individu le risque de perdre la vie sous le coup des pouvoirs étatiques. Il existe par contre, de nombreux pays islamiques où il est illégal de proclamer en public l’Évangile de Jésus-Christ et où, un musulman ou une musulmane qui renonce à sa croyance en l’islam pour en embrasser une autre met sa vie en danger. La liberté de critiquer le texte du Coran et la personne de Mahomet est interdite par la loi pour qui cela constitue un blasphème. Quiconque le fait s’expose un châtiment atroce. Il faut respecter le souci d’une culture de protéger ce qui lui semble sacré, mais contraindre quelqu’un à croire en Jésus-Christ est étranger à l’Évangile, et c’est là une différence fondamentale. Le contraste n’est que trop clair. L’Évangile ne doit pas se propager à la pointe de l’épée. Lorsque la chrétienté eut recourt à de telles méthodes, ce ne fut pas l’Évangile de Jésus-Christ qui fut proclamé, mais une théorie politique mettant l’Évangile aux services d’institutions et d’individus avides de pouvoir. Les peuples éprouvent de la crainte, et à juste titre, quand il pense à la religion faisant tandem avec le contrôle politique. La méthode de Jésus consistait à toucher le coeur de l’individu afin que ce dernier puisse lui répondre par amour pour lui, non sous l’effet d’une contrainte ou d’un contrôle quelconque.
La pratique de Mahomet est diamétralement opposée. Quel que soit l’interprétation que l’on aimerait donner, l’épée et la guerre sont parties intrinsèques de la foi islamique. Même les meilleurs apologistes de l’islam reconnaissent l’usage du glaive dans cette religion, mais cherchent à édulcorer le fait en disant qu’en chaque cas, l’épée fut employée à des fins défensives. Je suggère au lecteur la lecture du Coran et l’histoire de l’islam pour qu’il détermine si ce fut ou non le cas. Même le meilleur des apologistes musulmans se voit contraint de tourner autour de l’injonction de Mahomet de tuer, telle que nous la trouvons dans un verset du Coran connu comme « verset de l’épée ».
Là où l’islam et christianisme sont d’accord, c’est sur le fait que la vérité est suprême mais ils voient la vérité révélée dans différents personnages, l’islam dans Mahomet et le christianisme en Jésus-Christ. C’est la raison pour laquelle la comparaison entre eux deux s’avère nécessaire.
Pour les musulmans, le Coran est parfait et l’ultime révélation est Allah. Allah fut celui qui se révéla, et Mahomet le récepteur. Les textes lui furent dictés. Pour eux, c’est lui le dernier grand prophète. La preuve de sa suprématie et la beauté du Coran. C’est le livre considéré comme étant l’expression ultime de la perfection et le dépositaire de la vérité.
Ici, la difficulté revêt de multiples aspects. Comment peut-on soutenir que ce texte écrit soit parfait ? Examinons un seul aspect troublant, les erreurs grammaticales qui ont été prouvées. Ali Dashti, auteur iranien et musulman convaincu, déclara les erreurs du Coran si nombreuse que les règles de grammaire devraient être modifiées pour que l’on puisse déclarer le Coran parfait. Il cite de nombreux exemples dans son livre intitulé twenty-three years : the life of the prophet Mohammed (la seule précaution qu’il ait pris avant de publier son livre, c’est de demander qu’il paraisse à titre posthume). Autre problème auquel se trouve confronté les premiers compilateurs du Coran : le nombre de lectures variante de certains textes importants. Actuellement, certains érudits ont commencé à examiner le Coran et ont soulevé quelques questions très importantes quant à son origine et à sa compilation. De nombreux érudits islamiques essaient, tant bien que mal, de trouver une réponse. Mais il est un point sur lequel il convient de s’accorder : la poésie et le style sont très beaux. L’intelligence postmoderne, dominée par l’image, a beaucoup à apprendre sur la place de la beauté dans le langage. Mais la question qui nous préoccupe est celle de savoir si ce livre peut être considéré comme étant la parole de Dieu. De plus, pour l’islam qui considère Mahomet comme un prophète pour le monde, le miracle se réduit à une seule langue, en grande partie considérée comme incompréhensible, même par ceux qui la connaissent. En d’autres termes, afin d’être en mesure de voir le miracle, il faut non seulement parler arabe, mais être aussi particulièrement versé en la matière. Pareille prétention est donc limitée et très restrictive.
Quant à la vérité et aux hindous, le terrain devient rocailleux. Ainsi par exemple, Gandhi déclara : « Dieu est la vérité et la vérité et Dieu. » Mais que cela signifie-t-il ? Ce n’est pas une réponse à la question la plus fondamentale de savoir si l’existence de Dieu est réelle ou fausse. Shankara, l’un des principaux chefs de file de l’hindouisme, éludant la question en disant que l’adoration de Dieu d’un individu n’est qu’une manière inférieure d’exprimer la vérité. En fin de compte, l’adorateur tend vers la vérité suprême selon laquelle il est identique à Dieu. L’essentiel est que pour les hindous, leur écrit son vérité. Ici, le défi se fait très complexe. Les écrits hindous se rangent en faite en deux grandes catégories : les Smriti et les Sruti. Smriti signifie « ce que l’on se rappelle ». Les auteurs sont nombreux et leurs affirmations sont radicalement différentes. Ce corpus englobe les spéculations des sages indiens dont l’éventail va du plus profond au plus bizarre, ils le reconnaissent. De l’autre côté, Sruti veut dire « ce qui révélée ». Il s’agit de la révélation éternellement vraie de l’hindou pieux. C’est ici que sur une question plus profonde : si ce qui est révélée est l’autorité éternelle, alors la question logique du panthéisme pour qui tout est un est celle-ci : qui donne la révélation ? Tenter seulement d’y répondre prendrait tout un livre en soit. Certaines paroles de Sri Ramakrishna lève le voile sur le problème : « Dieu seul est et c’est lui qui est devenu cet univers… En tant que serpent je mords, en tant que guérisseurs je guéris. » Dieu est l’homme ignorant et Dieu est l’homme éclairé. Dieu en tant qu’homme ignorant reste victimes d’illusions. Et encore, Dieu en tant que gourou apporte la lumière à Dieu dans l’ignorant. » Mais alors quand Bouddha rejeta les Védas, était-il Dieu en état d’ignorance ou Dieu en état d’illumination ?
Contraste saisissant, les écritures bibliques nous donnent la conception chrétienne de la révélation. L’affirmation de l’auteur est très claire : « avant tout, sachez qu’aucune prophétie de l’écriture ne peut être l’objet d’interprétations particulières, car ce n’est nullement par une volonté humaine qu’une prophétie n’a jamais été présentée, mais c’est poussé dans le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu ». La Bible dite encore que « Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils » (hébreux 1.1).
Tout d’abord, par contraste avec le Coran, la Bible n’eut pas un seul auteur mais plusieurs auteurs humains. Elle fut écrite sur une période couvrant plus de 1500 ans par des écrivains d’origine, d’époques et de niveaux intellectuels différents et qui, sous l’inspiration de Dieu, consignèrent la révélation. Tout au long de ce laps de temps si grand, leur message resta le même : ils annoncèrent tous la naissance, la mort et la résurrection du fils de Dieu, Jésus-Christ. Réfléchissez bien, nous avons une convergence de pensée incroyable, presque bimillénaire. Ce laps de temps en soi défie toutes explications naturelles. Très longtemps avant l’apparition de Jésus-Christ, sa venue avait été envisagée, annoncée et décrite en détail. Après sa mort, les écritures évoquèrent la vie dont la naissance, la vie, la mort et la résurrection furent tellement extraordinaires. En d’autres termes, Dieu a parlé et nous a donné sa parole dont le point culminant est la personne Jésus-Christ. La parole écrite est complète. Dieu est parfait. Il nous rappela que les écritures ne sauraient être prises en défaut : sa parole ne varie jamais.
De plus, en accomplissement de la prophétie, lorsque Jésus resta silencieux, il dévoila un autre aspect de l’autorité scripturaire. La Bible n’est pas seulement un ouvrage de référence, c’est un livre dont l’histoire, la géographie et le contenu prophétique miraculeux et d’autres actes furent soumis au principe de vérification.
Comment la sexualité humaine et le mariage firent une irruption dans le schéma évolutionniste des choses ? J’aimerais demander un spécialiste comment le big bang en arriva à conférer à la sexualité son immense combinaison d’intimité, de plaisir, de consommation, de conception, de gestation, de satisfaction et d’expression de tendresse et d’amour. Tout ceci procéda-t-il de l’explosion d’une singularité ? Aucune autre discipline n’absorberait une telle densité d’information sous la rubrique « hasard ».
Il est possible de contrer facilement toutes les déductions des naturalistes, depuis notre arrivée à l’existence jusqu’aux relations que nous vivons avec les autres, jusqu’aux impératifs moraux présents dans nos vies. Des milliards, oui des milliards d’individus dans le monde ne feront jamais fi du surnaturel, si fort que les naturalistes fassent entendre leur voix. Non parce que ces milliards seraient des insensés, mais parce qu’une pure certitude intuitive leur apprend qu’une chose d’une telle complexité spirituelle et physique ne pourrait voir le jour à partir du néant.
Le bon sens nous apprend qu’il nous est impossible de vivre sans loi morale. Comment peut-on créer une loi morale si Dieu n’a pas parlé ? La seule réponse est de concocter une moralité de son propre cru : elle est certes mystique transcendante, mais il est toutefois possible d’y parvenir par ses propres efforts. De cette façon, nous en appelons à notre inclination spirituelle, mais en même temps, nous plaçons au centre notre propre moi. Si nous réussissons à être bon sans Dieu, tout en gardant une certaine religiosité, alors nous y gagnons sur le plan séculier et sacré. Les philosophies du nouvel âge virent le jour pour satisfaire cette exigence. Quel meilleur moyen d’appliquer la théorie économique de l’offre et de la demande que de fabriquer une religion illimitée dans son offre et qui peut s’adapter à la demande personnelle ? Une religion personnalisée sans Dieu : voilà ce qu’elles sont. Par nature, ce type de religion possède l’immense capacité d’être le reflet du rêve pragmatique du caméléon. Il y en vérité une réinterprétation de la révélation divine par une manipulation du contexte. Il n’est pas de religion qui ait davantage fait pour prouver la réalité de cette tentation que l’hindouisme et le bouddhisme. En déployant des trésors d’énergie, des célèbres érudits et pratiquants tentèrent de nuancer les vérités du christianisme pour les faire ressembler à leur propre conception du monde. Ils se servent des versets pour étayer le panthéisme. Cependant la lecture du contexte des déclarations de l’écriture montre de façon très nette de l’usage illicite de ces textes par des gens qui cherchent à les dénaturer.
Ce qui, au début, semble n’être qu’un éloignement subtil de la vérité du fait de la séduction d’une auto déification, aboutit en fin de compte à la déification de chacun et de tout. Un tel monde serait détruit par des forces conflictuelles, car chacune d’elles pourrait revendiquer son autonomie. C’est la raison pour laquelle les récits épiques de l’hindouisme abondent en récits de guerre et de massacres, réalité inhérente au fait d’être Dieu ou déesses. Des caractéristiques bestiales cohabitent avec le divin et ses récits nous plongent dans une profonde perplexité. À ce mélange de polythéisme et de panthéisme s’ajoute d’autres divinités : Rivière, vent et feux. L’univers de la fabrication des Dieu avait vu le jour.
Les écritures chrétiennes sont radicalement différentes. Quand, dans l’Ancien Testament, Dieu envoya les 10 fléaux sur l’Égypte, son but était de lui prouver que lui seul était souverain sur les objets que ce pays avait déifiés (Rivière, planète, créatures, magie etc.), que nul autre était semblable à lui. Nature, humanité et tout autre entité ou quantités sont distinctes de Dieu. Nous ne pouvons pas évacuer cette distinction en toute impunité. Depuis le panthéisme jusqu’à l’adoration de la nature, la tentation du désert est aussi la nôtre aujourd’hui : c’est d’avoir une religion sans Dieu. Le rejet des paroles de Dieu a tracé la voie à l’humanisme et le rejet de son contexte celle du polythéisme ou du panthéisme : une multitude de Dieu ou auto déification.
Un passage de l’écriture parmi tant d’autre résume finalement le comportement à adopter face à ce grand Dieu, parfait, juste, saint plein de miséricorde et riche en bonté mais qui ne tient pas le coupable pour innocent et qui ne fait pas acception de personne : « ôtez du milieu de vous les dieux étrangers et les Astartés, dirigez votre coeur vers l’Eternel, et servez-le lui seul; et il vous délivrera » 1 Samuel 7.3.
Dans cette recherche du seul vrai Dieu, Dieu a offert à chacun les même ressources pour le trouver : un coeur qui est en mesure de l’invoquer avec sincérité et de le trouver. Peu importe qui nous sommes, si nous sommes sincère et le cherchons avec un coeur vrai, il se révélera et nous montrera le chemin qui est en Christ seul. Fuir Christ alors qu’il se présente à nous ne fait que trahir une volonté de fuir la vérité mais Dieu dans sa bonté a prévu que chaque homme puisse être libre de choisir et de mettre en action sa volonté non pour suivre le mal mais pour suivre le bien. Le choix de notre destinée éternelle, une fois de plus nous appartient. « Dieu a fait que tous les hommes, sortis d’un seul sang, habitent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure; il a voulu qu’ils cherchent le Seigneur, et qu’ils s’efforcent de le trouver en tâtonnant, bien qu’il ne soit pas loin de chacun de nous, car en lui nous avons la vie, le mouvement, et l’être. » Actes 17
La conclusion est la suivante :
Christ est l’oeuvre de Dieu, la religion est une oeuvre humaine ; L’un est le remède mais l’autre est virus ; La religion vous met dans des liens, le Christ vous libère ; La religion vous rend aveugle mais Jésus vous rend la vue ; Jésus et la religion sont deux clans différent : La religion c’est l’homme en quête de Dieu mais Christ c’est Dieu qui vient à l’homme.
Au final, dans ces derniers temps de l’humanité, Dieu s’est révélé pleinement à l’homme par le Christ afin que quiconque vient à lui et le suit par la foi soit sauvé du jugement éternel et de la colère à venir car soyez en sur : Dieu va juger ce monde mauvais et quiconque aura rejeter le Fils de Dieu devra assumer les conséquences de ce dramatique choix éternel. Le Christ des écritures est très clair : ce n’est ni Bouddha, ni Krishna, ni Mohammed ni aucune philosophie, ni aucune organisation ou religion qui peut transformer le coeur mauvais de l’homme, le sauver et lui offrir l’entrée dans le royaume du seul vrai Dieu. Seul Christ permet à chaque homme de saisir l’espérance véritable et concrète du Salut offert par Dieu dans son Fils, Christ le dira en ces termes simples et sans équivoques : « Je suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé » (Jean 10 : 9).
Puisssiez-vous prendre position et marchez dans ce nouveau chemin de Vérité et de vie.
Source:
Toujours ce besoin impérieux de l'homme de vouloir s'identifier comme le font les jeunes à leurs stars. Jésus est la star à laquelle ont veut s'identifier et à qui ont demande des remèdes pour guérir nos maux.
RépondreSupprimerCette vidéo ne va pas au-delà des religions comme le dit le titre, elle fait l'éloge de Jésus et du Christianisme comme étant la seule vérité, faut-il voir là une propagande du NOM pour instaurer sa "religion mondiale" ?
Cette "vérité" se base dès le départ sur des textes sacrées tronqués, manipulés et plagiés sur d'autres évènements bien plus anciens. Comment construire la vérité sur des bases qui sont fausses, construire la vérité sur le mensonge ou la déformation de la réalité ? C'est comme bâtir une maison sur des fondations pourries. Cette vidéo me fait penser à la propagande des évangélistes américains, avec ses grands orateurs, ses prédicateurs capables de chauffer une salle et de manipuler des foules, les choses n'ont pas changé sous le soleil de Satan... Suivre les commandements ou les lois de Dieu sont déjà des exigences auxquelles il faut se plier et qui sont incompatibles avec une véritable liberté. S'il est vrai qu'il faille se libérer des religions, ce n'est pas pour en adopter une autre... avec ses discours enjoliveurs et édulcorés.
Si tu sait faire simplement la différence entre le bien et le mal, alors tu as tout compris!
SupprimerIl parait que "Dieu" nous a fait à son image....c'est inquiétant tout de même !
RépondreSupprimerBen voui, vous la voyez ou vous la perfection ??
Notre monde est un cloaque ou toutes les perversions sont réunies et là nous avons atteint des degrets effroyables.
Evolution, vous avez dit évolution...vers une totale destruction c'est certain !
Ce sont les "dieux" (Elohim est un pluriel) qui nous ont fait à leurs images en mélangeant leurs gènes avec des anthropoïdes existants déjà sur place, ils en ont fait plusieurs races (Abel, Caïn...) dans le but de les servir, le terme Adam signifie "animaux, troupeaux", et l'Edin n'était pas un paradis pour les hommes comme on le croit, mais un enfer, une plaine situé entre l'Irak et la Turquie où travaillaient comme esclaves les hommes créés par les dieux. Le Serpent de la Genèse (Enki) les a libéré de la servitude en leur donnant la connaissance des dieux, métallurgie, tannerie.... Dans les textes sacrés, les rôles ont été inversés au profit de l'idéologie patriarcale du dieu An, celui qui s'est révolté et qui a sauvé les hommes (Enki) est devenu un paria tandis que celui qui les a exploité est devenu le Dieu tout puissant An / Anu / Yahvé qui régnait au ciel alors que son fils et bras droit Enlil, le Grand Satam (administrateur territorial) régnait sur la Terre. Les dieux se sont fais la guerre et cette guerre pour le contrôle de la Terre continue aujourd'hui...
SupprimerLes vérité d'Anton Parks dérangent de plus en plus. L'humain est aveuglé pas la manipulation et notre monde a la mercie des trois prophètes du monothéisme, Moise,Jésus, et Mahomet, doit impérativement être sauvé par les dieux qui le peuvent et libéré de toute ces religions. Oui comme tu le dis, l'homme était esclave, travaillant pour ces dieux, éliminé lorsque plus utile. Nous étions tous négroides, et un troupeau d'esclave et je ne serait pas surpis également qu'on nous mangeait comme de la viande de choix.
SupprimerJe te recommande les écrits d'Anton Parks, et cette interview ici:
Supprimerhttp://www.antonparks.com/main.php?page=inter_humanite
non, car tu as le choix de changer....
SupprimerQuand les pasteurs disent qu'il suffit de croire en Jesus pour être sauvé, ça veut donc dire qu'on a plus rien a faire pour être sauvé ? donc on est sauvé ? mais j'aimerais bien qu'on m'explique en detail ce que l'on met dans ce terme "croire" en Jesus ? ça doit bien impliquer des changements de vie non ? les quels ? des exemples ? Il suffit pas de dire "je crois" ça serait trop facile, a quoi on reconnait un croyant dans les faits ? a part qu'il est censé aimer Dieu son prochain, et si il a des mauvaises pensées en disant qu'il "croit" en Jesus, il sera sauvé ? si ya quelqu'un qui peut me répondre ça serait sympa.
RépondreSupprimerHello. Dieu a change ma vie quand j ai accepté Jésus christ dans ma vie
Supprimerla réponse est en toi, cherche et tu trouvera....
SupprimerEmûna Elis – Origine des Dieux :
RépondreSupprimerhttp://fargin.wordpress.com/2011/12/16/emuna-elis-origine-des-dieux/?relatedposts_exclude=1106
Jean Bottéro (né le 30 août 1914 à Vallauris et mort le 15 décembre 2007 à Gif-sur-Yvette), est un dominicain français, historien assyriologue, spécialiste de la bible, du Moyen-Orient antique et l'un des plus grands spécialistes internationaux de la Mésopotamie.
http://www.dailymotion.com/video/xwvy09_tradition-sumerienne-par-jean-bottero-lorsque-les-dieux-faisaient-l-homme_webcam