"Cinq jours après la vaccination Cervarix, la vie de Paige, 14 ans, s’est transformée en véritable cauchemar. Paige était comme d’habitude en train de travailler à son ordinateur. A un moment donné, sa sœur dégringola les escaliers en hurlant que Paige faisait une convulsion. On appela une ambulance et Paige fut conduite à l’hôpital aux soins intensifs.
Après avoir séjourné un certain temps aux soins intensifs, elle fut transportée dans un autre service où elle est restée 9 mois. Les crises ont continué et la situation ne cessait de se dégrader au point qu’elle ne voyait plus rien, éprouvait d’énormes difficultés à s’exprimer ; au début elle parvenir tout juste à dire un mot, par après, elle devait terriblement lutter pour pouvoir formuler ses phrases.
Son état mental n’est pas encore tout à fait normal ; elle éprouve beaucoup de difficultés d’apprentissage. Elle doit littéralement se battre pour pouvoir faire ce qu’une fille de 14 ans ferait sans aucune difficulté. Avant son vaccin, elle était une des filles les plus brillantes de sa classe à l’école Thomas Telford, une très bonne école. Elle avait beaucoup d’amis et était très sociable. Aujourd’hui, elle n’a plus d’amis, n’a plus la capacité de véritablement communiquer, elle est comme un petit enfant.
Deux semaines après le vaccin, elle était incapable de vous voir, de vous entendre, incapable d’avaler quoi que ce soit. Elle devait être nourrie artificiellement. Son système immunitaire s’est retourné contre elle. L’état de Paige a évidemment terrifié ses copines. Pourrait-on dire qu’il est sage d’utiliser ce vaccin pour vacciner des jeunes-filles ? Sûrement pas. Le seul regret que j’ai est de n’avoir pas approfondi ma recherche avant de la faire vacciner.
J’ai perdu énormément de temps, ce fut une terrible erreur. Ce que Page vit n’est plus une vie ! Les mois qu’elle a dû passer à l’hôpital ont bouleversé toute la vie de famille. Après le vaccin HPV, on a diagnostiqué chez Paige une encéphalite (anti-NMDA encephalitis), une maladie auto-immune récemment découverte et qui provoque de graves symptômes neurologiques."
Voir l’interview (vidéo) de la maman de Paige qui avait cru pouvoir protéger sa fille du cancer du col de l’utérus grâce à la vaccination.
Margaret n’exprime qu’un seul regret : « Pourquoi n’ai-je pas approfondi mes recherches ? »
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