Des milliers de G.I.’s, pendant la guerre du Golfe (et non de l’Irak), ont été victimes d’intoxications dues au Coca-Cola light. Les Coca-Cola light sont édulcorés à l’aspartame. Pendant les hostilités, les palettes de canettes étaient entreposées au soleil, chaud dans ces régions.
A partir de 33°C, l’aspartame devient du méthanol (alcool à brûler) très toxique, qui, ensuite, se dégrade en formaldéhyde (formol) encore plus toxique. Et que se passe-t-il dans l’estomac, à 37°C bien tassés ?
Bizarre, bizarre, l’aspartame a été inventé par… Monsanto, dans le cadre de la guerre chimique (acésulfamine de potassium). Depuis deux ans, des scientifiques et des médecins dénoncent sa dangerosité (diabètes graves et cancers du cerveau, Journal of Neurology and Experimental Neurology, 1996). Ils réclament son interdiction.
Et, cependant, il est toujours largement consommé dans 90 pays, et notamment par les jeunes par souci (erroné) de mincir.
Objet de polémique depuis sa création. L’aspartame ne serait pas dangereux pour la santé ? « Non », selon l’autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) qui a démenti ses risques sur la santé dans un communiqué. Bruxelles devait se prononcer sur le sujet, à la suite d’une mise en garde du Réseau Environnement Santé (RES) mi-janvier. Il mettait en avant deux études, qui indiquaient pour l’une que les édulcorants chimiques pourraient favoriser des naissances avant terme, et pour l’autre que l’aspartame provoquerait certains cancers chez des souris mâles.
Mais pour l’Efsa, il n’y aurait aucune preuve « disponible » pour « affirmer qu’il existe un lien de causalité entre la consommation de boissons non alcoolisées contenant des édulcorants artificiels et l’accouchement prématuré » pour la première étude. Et pour la seconde : « les résultats ne fournissent pas suffisamment de preuves scientifiques qui justifieraient de revoir les évaluations précédentes ».
« Actualiser l’évaluation des risques »
L’Efsa confirme de précédentes conclusions ou bien se répète. En effet, déjà en mars 2009, l’agence avait annoncé que « rien n’indiquait un potentiel génotoxique ou carcinogène de l’aspartame et qu’il n’y avait aucune raison de réviser la dose journalière acceptable de 40 milligrammes par kilo de poids corporel ».
Cette autorité européenne fera-t-elle la même annonce l’année prochaine ou d’ici quelques semaines ? Car, début février, une étude américaine a dévoilé un autre risque que causerait l’aspartame : les consommateurs réguliers de sodas-light auraient plus de risques cardiovasculaires que les autres, notamment des AVC. Et de son côté, l’Agence nationale française de sécurité sanitaire (Anses) a invité « à mener des travaux scientifiques complémentaires » afin « d’actualiser l’évaluation des risques liés à ces substances »
« Vous pensez bien qu’ils vont tout faire pour noyer le poisson, lobby pharma oblige…!!! »
Source: https://realinfos.wordpress.com/2011/02/28/le-faux-sucre-aspartame-rehabilite-par-bruxelles/
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