“La technologie mettra à la disposition des grandes nations des procédés qui leur permettront de mener des guerres furtives, dont seule une infime partie des forces de sécurité auront connaissance. Nous disposons de méthodes capables de provoquer des changements climatiques, de créer des sécheresses et des tempêtes, ce qui peut affaiblir les capacités d’un ennemi potentiel et le pousser à accepter nos conditions. Le contrôle de l’espace et du climat ont remplacé Suez et Gibraltar comme enjeux stratégiques majeurs” (Zbigniew Brzezinski, principaux concepteur de la politique étrangère américaine avec Henry Kinsinger).
Un premier reportage, diffusé par la chaîne ITV et déjà publié sur ce site, présentait succinctement le projet HAARP : http://www.prisedeconscience.org/science/projet-haarp-itv-86
Voici maintenant un documentaire plus complet abordant précisément ce funeste projet.
Sous le sigle HAARP se cache un des programmes de recherche appliquée qui, bien que présenté comme inoffensif et d’usage civil, est considéré par un grand nombre de scientifiques de renom comme une arme secrète redoutable, développée par les Américains et qui serait déjà opérationnelle. Que les sceptiques prompts à la moquerie facile veuillent bien prendre le temps de s’informer en lisant cet article. Nous ne prétendons pas que cette arme soit utilisée, nous pensons donner suffisamment d’indices pour suggérer qu’elle existe et nous posons le problème moral de son emploi.
Il y a une trentaine d’années, Zbigniew Brzezinski, Conseiller pour la Sécurité Nationale américaine, écrivait dans son livre « Entre deux âges » que : « La technologie permettra tôt ou tard aux chefs des grandes nations d’utiliser des techniques pour mener des guerres secrètes. Des techniques, de modification sélective et ciblée du climat, pourront être employées pour déclencher des périodes prolongées de sécheresse ou d’orage ». Rappelons que Brzezinski co-fonde alors, avec David Rockefeller, la commission Trilatérale en 1973, qu’il dirige jusqu’en 1976.
Rosalie Bertell est couverte de diplômes et a été conseillère scientifique du président Carter pour les technologies de défenses au cours des années 1970. Elles a réalisé de nombreuses études sur des sujets comme la radiation émises par les essais nucléaire et a dirigé de nombreuses commissions internationales sur diverses catastrophes. En 2005, Rosalie Bertell a été sélectionnée parmi les “milles femme de paix” pour le prix nobel. Elle compare Haarp à un “four gigantesque qui peut entrainer une déchirure dans l’ionosphère et générer non seulement des trous, mais de grandes entailles dans la couche protectrice qui empêche les radiations mortelles de bombarder notre planète“. Pour elle la question ne se pose pas : “Ce sont les militaires qui ont détérioré le climat et la couche d’ozone“.
Rosalie Bertell confirme que « Les scientifiques militaires américains travaillent sur des systèmes atmosphériques pouvant être employés comme armes potentielles. Les méthodes incluent l’intensification des orages et la canalisation des vapeurs de rivières dans l’atmosphère terrestre pour produire des sécheresses et des inondations ciblées ».
En février 1998, le Comité des Affaires Étrangères de Sécurité et de Défense du Parlement Européen, interpellé officiellement par un rapport de Britt Theorin, Membre du Parlement suédois, a tenu des audiences publiques à Bruxelles sur le programme H.A.A.R.P. Les conclusions officielles de ces séances furent que : « Le Comité considère que H.A.A.R.P, compte-tenu de son puissant impact projeté à distance sur l’environnement, est un problème global qui exige que ses implications éthiques, légales et écologiques soient examinées par un corps d’experts internationaux indépendants. Le Comité regrette les refus répétés de l’Administration des Etats-Unis de témoigner et donner des preuves sur les risques publics et environnementaux du programme H.A.A.R.P ». Cette demande fût alors rejetée, lui étant opposé le fait que la Commission Européenne ne peut s’immiscer dans « les liens entre l’environnement et la défense » (sic), et Bruxelles voulant éviter un rapport de force avec Washington.
Nicholas Begich (présent dans la 1ère partie de cette vidéo), docteur en médecine, est profondément impliqué dans la campagne contre le projet Haarp. Il est coauteur avec la journaliste Jeanne Manning, spécialisée dans les recherches sur les énergies dites “non conventionnelles”, de l’ouvrage “Les anges ne jouent pas de cette Haarp” (rubrique “livre” de ce site). Il affirme sans ambiguïté que l’un des buts de ce projet est de mettre sur pied une arme de destruction, aussi bien massive qu’individuelle.
Dès 1952, le docteur José Manuel Rodriguez Delgado, professeur de physiologie à Yale, avait découvert que l’on pouvait affecter le comportement émotionnel et la façon de penser d’un individu par l’utilisation de certaines fréquences et de certaines ondes. Avec d’autres scientifiques comme Robert Becker, ils ont réussi à démontrer que des ondes de types ELF, identiques à celles utilisées par Haarp qui sont couplées avec l’emploi de courant alternatif, génèrent des fréquences “où la plupart des fonctions cérébrales profondes de l’être humain peuvent être manipulées de l’extérieur avec des résultats tangibles“. Le docteur Begich explique que certaines ondes peuvent provoquer dans le cerveau l’apparition de substances neuro-chimiques qui génèrent “un vaste arsenal de réponses et de comportements émotionnels ou intellectuels comme des sentiments de peur, de dépression, de désir, d’amour“.
Marc Filterman, ancien officier de l’armée française, distingue plusieurs sortes d’armes “non conventionnelles” qui utilisent des radiofréquences. Il estime que les Etats-Unis et l’union soviétique maîtrisent parfaitement la manipulation du climat depuis le début des années quatre-vingt, grâce à ELF.
Ces brefs paragraphes d’introduction pouvant donner à penser que H.A.A.R.P n’est pas une fumisterie du type du monstre du Loch Ness ou de l’abominable homme des neiges, il convient d’en dire un peu plus sur ce programme.
Haarp est donc une installation militaire conjointe entre l’US Navy et l’US Air Force, financée directement par le département américain de la Défense, sans avoir à passer par un processus d’évaluation par des chercheurs américains comme c’est le cas d’habitude.
Voyons ce qu’en dit Michel Chossudovsky dans la revue The Ecologist et dans Global Research : « HAARP est une arme de destruction massive, capable de déstabiliser des systèmes agricoles et écologiques au niveau mondial. » La guerre climatique (il s’agit bien de cela) est susceptible de menacer l’avenir de l’humanité.
Comment ça marche ?
Cette technologie revient à pointer vers l’ionosphère un faisceau d’ondes (comme le ferait un émetteur radio) à la haute fréquence afin de voir ce qui s’y passe. Le bombardement d’une zone donnée de l’ionosphère avec ces HF a pour effet de créer un énorme miroir virtuel qui agit comme une antenne. Cette « antenne » virtuelle émet des fréquences extrêmement basses vers la Terre. C’est un peu comme si on créait une sorte de four micro-ondes géant dans un territoire donné de l’ionosphère. Ces ondes sont de nature à dérégler les systèmes de guidages électroniques aussi bien d’avions qui passeraient par là, que des missiles, jusqu’à les faire se désintégrer en plein vol. Mais Haarp peut aussi bien déclencher des séismes.
Et si certains récents séismes étaient provoqués ? Grâce à ces ondes, on peut aussi « scanner » la croûte terrestre à des profondeurs extrêmes pour en faire une sorte de radiographie afin de détecter n’importe quelle implantation secrète nucléaire. L’injection de fortes quantités d’énergie dans l’ionosphère a la capacité d’influencer la météorologie, provoquant des effets bénéfiques dans une région ou cauchemardesque dans une autre. On peut également provoquer la libération soudaine d’une énorme quantité d’énergie, en imitant par exemple le flash provoqué par une explosion nucléaire à haute altitude. Ce type d’action ne relève pas de la science-fiction, il a été utilisé en 1991 au cours de la guerre du Golfe et de l’opération « Desert Storm ». Selon le périodique militaire officiel Defence News (n19 du 13 avril 1992), les Etats-Unis avaient déployé sur le champ de bataille une arme à impulsion électromagnétique (EMP Weapon). Le but de cette arme est double: il permet, comme le fait une explosion nucléaire, d’empêcher toute forme de communication radio chez l’ennemi et a un effet redoutable en matière de guerre psychologique. On comprend mieux dans ce cas pourquoi des dizaines de milliers de soldats irakiens se sont rendus sans combattre. Il serait peut-être temps d’arrêter de jouer aux apprentis sorciers…
Haarp aurait donc la capacité d’interrompre toute forme de communication hertzienne, de modifier la météorologie, d’influer sur le cerveau humain, de provoquer des tremblements de terre en bombardant d’onde certaines zones à failles sismique par exemple, et pourrait générer des explosions aussi puissantes qu’une bombe atomique.
A noter que l’Australie et la Russie dispose d’une telle installation..
Enfin, voici un lien portant sur une étude complète de l’astrophysicien Jean-Pierre Petit, intitulée : “Le projet Haarp et ce qu’il cache” :
Et un dernier, détaillant ce projet de manière complète :
POUR VOIR LE LIEN ET LA VIDEO C'EST ICI
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